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Kai Hendry
Kai Hendry
Scumbag Loser
https://sinking-past.forumactif.com/t2728-tellement-de-princesses-et-aucune-de-ces-ps-n-est-encore-a-mes-pieds
Pseudo : Nagel / Thibonosaure.
Avatar et crédit : Itzan Escamilla - NUIT
CW : Langage vulgaire - incel - machisme - misogynie - homophobie - sexe - violence.
Messages : 93
Tellement de princesses et aucune de ces p***s n'est encore à mes pieds Soy-un-idiota-samuel-garcia
Occupation : Ex-étudiant en droit, crypto-trader & influenceur muscu.
Âge : 24 Quartier : Petit appartement à Wester Hails & la maison Hendry, située à Leith.
Situation familiale : Célibataire, mais c'est parce que je le veux bien, pas parce que je me prends des râteaux.
Date d'arrivée à Edimbourg : Il y a toujours vécu.
Don : Dès qu’il abandonne un projet dans lequel il s’était lancé précédemment, ce projet aboutit mais pour quelqu’un d’autre. Il confère ainsi une chance incroyable à ses rivaux et considère, de son côté, être un « poissard de l’extrême ». Ce qu’il ne réalise pas, c’est que s’il poursuit ses efforts sans baisser les bras, son don lui permettra de réaliser assurément de très grandes choses.

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Lun 2 Oct - 0:38

KAI HENDRY

Ô combien d’actions, combien d’exploits célèbres
Sont demeurés sans gloire au milieu des ténèbres,
Où chacun, seul témoin des grands coups qu’il donnait,
Ne pouvait discerner où le sort inclinait !
Prénoms : Kai.
Surnoms : Son prénom seul suffit de surnom. Sinon, pour l’interpeler, certains s’amusent à lui donner des épithètes moqueuses comme « le beauf », « le crétin », « Biscoteaux » ; mais jamais aucun pour souligner un trait de caractère valorisant.
Lieu et date de naissance : 30 Juin 1999.
Âge : 24 ans.
Nationalité : Écossais.
Origines : Purement britanniques.
Situation familiale : Célibataire, même s’il aimerait rapidement se mettre en couple avec une belle bimbo blonde. Il est aussi fils de parents divorcés et a un beau-père qu’il déteste plus que tout.
Occupation : Ancien étudiant en droit – influenceur musculation – crypto-trader à ses heures perdues.
Date d'arrivée à Édimbourg : Il y a toujours vécu.
Groupe : Voyageur.
Avatar : Itzan Escamilla.
Crédits : NUIT.

Don

De ce don, Kai n’a aucune connaissance. Il pense juste que le monde s’est ligué contre lui et que le Destin se « fout de sa gueule » ; pour reprendre ses termes. En vérité, il n’a pas tout à fait tort. Sa capacité latente agit assez clairement contre lui puisque, dès lors qu’il abandonne un projet dans lequel il s’est lancé (études, drague, entreprenariat, art, etc.), une autre personne réussit où lui a échoué. C’est systématique et cela a tendance à le rendre fou. Le don ne lui confère pas nécessairement une malchance anormalement élevée ; bien au contraire. Il peut réussir quelques entreprises, à la seule condition de s’y efforcer et de ne rien lâcher, comme un chacun. Son pouvoir en revanche est là pour sanctionner sa paresse et son manque d’efforts en couronnant aléatoirement une personne qui lui était rivale dans cette entreprise. Ce qu’il n’a pas encore découvert, c’est que dès qu’il réalise un projet, celui-ci s’auréolera forcément d’un succès retentissant et le fera devenir ou riche, ou puissant, ou heureux selon la nature de ce qu’il a accompli.

Regrets

Au vu de sa trajectoire, Kai regrette certainement de ne pas avoir été plus investi dans les différents projets qui ont juché sa vie. Son don, particulièrement nocif, le punissant à chaque abandon, il se dit quotidiennement qu'il aurait sans doute dû continuer ses études même si ces dernières ne lui plaisaient pas ; qu'il aurait dû continuer à jouer au loto, à pousser un peu plus ses projets musicaux ou sportifs afin de devenir une superstar ; aussi qu'il aurait dû plus d'efforts dans ses maigres relations amoureuses afin d'avoir quelqu'un sur qui compter. Il regrette également, parfois, de s'être embrouillé avec son père et de lui en avoir toujours voulu pour ses déboires passés tant il adorait celui-ci. Parfois également, il regrette les mots durs qu'il a pu adresser à sa mère et les quelques mois où il l'a plongé dans la détresse financière avec ses dépenses importantes et le fait qu'il soit totalement dépendant d'elle et des revenus de ses « parents » (incluant son horrible beau-père, Trent) alors qu'il est désormais en âge de subvenir seul à ses besoins.

Caractère

Kai, c'est ce gars qui, quand une belle fille passe, la siffle. Sans doute pense t-il la flatter. Aussi s'étonne t-il très souvent de la voir s'offenser. Lui ne pense pas à mal, veut simplement lui faire remarquer à quel point sa petite jupe lui fait un boule tout simplement phénoménal. Alors, quand c'est comme ça, il l'insulte en retour car il a horreur de voir ses efforts ne pas être couronnés de succès. Malheureusement pour lui, il n'a que trop l'habitude d'échouer. C'est devenu un leitmotiv chez lui. Tout ce qu'entreprend l'écossais est voué à l'échec. N'ayant pas une grande patience et une abnégation sans bornes, il lui arrive trop souvent d'abandonner en cours de route une entreprise qui, pourtant, aurait pu aboutir avec plus d'acharnement. Frivole, il laisse souvent ses pensées furieuses vagabonder dans tous les sens sans qu'il ne parvienne à leur fixer un cadre. Ne parvenant pas à se forger lui-même son avis ou ses propres objectifs, il se laisse trop souvent influencer par des personnes bien plus charismatiques que lui, notamment par son meilleur ami, Max. Même s'il a, tout de même, son avis sur un sujet, il perd assez facilement confiance en lui si quand il pense « bleu », Max dit « rouge ». Suiveur, il prend sans réfléchir le même chemin que ses amis afin de ne pas être laissé pour compte et abandonné par ceux qu'il considère comme les personnes les plus importantes de sa vie et à travers qui il a l'impression d'exister. Afin de servir au mieux son meilleur ami, d'ailleurs, Kai joue très souvent les gros bras et n'hésite pas à s'interposer à tout bout de champ entre son groupe d'amis particulièrement chaotique et de potentiels opposants qui voudraient corriger leur attitude néfaste.

Camouflant un complexe d'infériorité, Kai cherche à régler celui-ci par tous les moyens. Il s'exerce quotidiennement à la salle de sport afin de se forger un physique d'athlète pour cacher derrière ses gros muscles un esprit peu affûté. Même s'il n'est pas profondément débile, il n'est tout de même pas le mec le plus intelligent qui ait foulé les couloirs de l'université d’Édimbourg et c'est aussi en partie pour cela qu'il n'a pas réussi à valider sa première année de licence. Préférant toujours l'amusement au travail, il a fini l'année scolaire en n'assistant qu'à très peu de travaux dirigés et à encore moins de cours magistraux. Il a tendance à penser que le monde ne tourne jamais à son avantage et qu'il joue à contre-courant ; que cette société n'est pas adapté à des types comme lui. Des mecs paresseux désirant tout obtenir sans le moindre effort. D'ailleurs, s'il s'en sort plus ou moins aujourd'hui, c'est en partie parce que, seul garçon d'une fratrie de quatre, Kai s'appuie énormément sur les ressources financières de ses parents qui, bien qu'extraits de la classe moyenne écossaise, ont un capital nécessaire pour payer à leur flambeur de fils quelques gadgets nécessaires à la fortification de son ego qui lui permettent aussi d'exister un minimum aux yeux de ses amis ; dont la fréquentation est très souvent critiquée allégrement par ses sœurs. Néanmoins, en bon machiste qu'il est, l'avis de ces dernières l'importe peu et il n'hésite pas à se montrer méchant à leur égard ce qui occasionne bien souvent des prises de tête assez importantes ; d'autant que sa mère ne jure que par lui et accorde à son petit dernier le moindre de ses caprices.

Cependant, afin de contraster un peu l'image qui est donnée de lui, Kai est un ami fidèle qui aime sincèrement les personnes qui l'entourent et pour qui il serait capable de réaliser de sérieux efforts ; les protégeant contre n'importe qui en utilisant ce qu'il a forgé durant toutes ces années : son corps. C'est aussi un garçon assez amusant - souvent à ses dépens - qui n'a pas peur de prendre la parole en société ou en petit comité bien qu'il se taise fréquemment pour laisser porter la voix de Max qu'il suit comme son ombre. Quand on cherche réellement à le connaître et que l'on fait fis de son caractère des plus problématiques qu'il affiche en particulier en présence de ses amis, on constate que Kai est en réalité un garçon gentil et attentionné qui cherche à faire plaisir ; cependant, il a honte de cette facette de sa personnalité et la cache aux siens, faisant jurer toute personne qui la découvre de se la fermer pour ne pas ébruiter la douceur qui se cache derrière ses gros muscles. Enfin, puisqu'il s'est essayé à tout, il est également très curieux et a développé des aptitudes dans de nombreux domaines sans réellement être excellents partout mais affiche tout de même un panel de capacités assez large : il sait faire des instru grâce à son ordinateur, a des connaissances en crypto-monnaie, connaît relativement bien les outils de musculation et sait faire des séances adaptées à chacun, sait danser, joue très bien au football, etc.

Derrière l'écran

Pseudo : Nagel / Thibonosaure.
Où as-tu entendu parler du forum : Sextuple compte de Menno.
Fréquence de connexion : Le plus souvent possible.
Parle nous de toi : :keur:
Recevoir une aide à l'intégration  : Nop.
Kai Hendry
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Situation familiale : Célibataire, mais c'est parce que je le veux bien, pas parce que je me prends des râteaux.
Date d'arrivée à Edimbourg : Il y a toujours vécu.
Don : Dès qu’il abandonne un projet dans lequel il s’était lancé précédemment, ce projet aboutit mais pour quelqu’un d’autre. Il confère ainsi une chance incroyable à ses rivaux et considère, de son côté, être un « poissard de l’extrême ». Ce qu’il ne réalise pas, c’est que s’il poursuit ses efforts sans baisser les bras, son don lui permettra de réaliser assurément de très grandes choses.

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Tellement de princesses et aucune de ces p***s n'est encore à mes pieds Empty Re: Tellement de princesses et aucune de ces p***s n'est encore à mes pieds

Lun 2 Oct - 0:39

Anecdotes
Sous-titre

1. LE MESSIE.

CW : Violence conjugale.

Luke et Deborah sont tombés amoureux dès l'âge de 16 ans. Le premier venait de quitter les études ; l'autre était une élève studieuse, discrète mais intelligente. Les parents de Deborah n'appréciaient pas énormément le jeune Luke ; enfant désinvolte qui roulait des mécaniques et poussait peu à peu la jeune fille contre eux. A force de conflits, une rupture naquit alors entre Debbie et ses parents ; le divorce fut entamé le jour où, appelé par la capitale afin d'y réussir sa vie, Luke « enleva » Deborah pour l'emmener avec lui à Edimbourg. Ils vivaient un parfait idylle, se destinaient à une vie heureuse, entourés de beaux enfants, baignant dans la richesse et l'opulence. Très vite, le jeune Luke trouva une place sur les chantiers et, à mesure que les années passaient, parvint à obtenir une place de choix, devenant alors contremaître d'un chantier naval à Edimbourg. Tout, à l'époque, leur souriait. Jusqu'à ce qu'ils n'aient leur premier enfant.

Elle s'appelait Lisbeth. Elle naquit quatre ans plus tard, alors que les jeunes parents venaient tout juste d'avoir vingt ans. Chérie par sa mère, la jeune fille grandit dans la joie et l'amour. Son père, cependant, plus en retrait, déplorait souvent le fait que Lisbeth ne soit pas un garçon. Fils unique de sa famille, Luke avait en admiration son père, qu'il revoyait fréquemment, et espérait lui donner un petit-fils qui le rendrait fier comme lui l'avait fait. Deborah s'en était, étonnamment, voulue de ne lui avoir donné qu'une fille.

Tous les dimanches, monsieur et madame Hendry venaient dîner chez le jeune couple. Ils avaient déménagé non loin de la capitale ; assez excentrés pour ne pas participer à la cohue urbaine mais assez proches tout de même pour rendre fréquemment visite à leur unique enfant. Monsieur Hendry était un gros monsieur, fort, avec une massive moustache qui dévorait et son nez et sa lèvre supérieure dans une large toison grise ; son crâne, chauve, semblait plus dur que l'acier. Madame Hendry elle, était assez revêche, toujours très fermée, beaucoup plus fine, plus squelettique, avec des cheveux sombres coupés au carré et portant toujours une longue robe qui cachait l'ensemble de son corps. De son père, Luke avait hérité de la force physique et, de sa mère, ses cheveux de jais. Il était plus athlétique cependant, plus sec, et avait des yeux plus sombres que la nuit elle-même. Lisbeth avait hérité de ces cheveux et de ces yeux. De sa mère, elle n'avait aucun trait. Deborah, en effet, était une petite dame rousse, assez forte, se baladant toujours avec un large tablier du fait qu'elle passait le plus clair de son temps à cuisiner. Plus tard, ce tablier large permit de cacher les traces que font l'amour sur le corps d'une femme.

Au fur et à mesure des années, Luke s'était mis à boire. Pour supporter les gars, disait-il. Contremaître, il n'avait désormais plus le même lien de fraternité avec les hommes qui constituaient son équipe et, les responsabilités ainsi que l'autorité qu'il exerçait sur ces gamins rebelles, l'épuisaient au plus haut point. Alors, il s'était mis à sortir plus fréquemment et, lorsqu'il revenait, il se devait d'accomplir son devoir conjugal et de prouver à sa femme qu'il l'aimait avec force. Lisbeth, souvent, entendait tout et faisait mine de dormir.

Trois ans après la naissance de Lisbeth, naquit Judith. Là encore, Luke exprima son mécontentement, sa déception liée à la naissance d'une nouvelle fille tandis qu'il attendait qu'on lui donna un fils avec qui il pourrait, à l'avenir, pratiquer des activités d'homme et qu'il formerait à la vie. Debbie pleurait beaucoup suite à la naissance de sa fille. Pour ne pas aider, Luke commençait à en voir d'autres. Elle ne le découvrit jamais avec assurance et ne l'en entretint jamais mais elle sentait bien qu'il se pavanait fièrement avec l'odeur d'une autre ; qu'il lui manquait parfois des vêtements qu'il laissait sans doute chez elle(s). Pour la première fois de sa vie, elle commençait à douter. Elle commençait à croire qu'il y avait d'autres moyens, sans doute, de clâmer son amour à une femme qu'en la molestant avec tendresse. Parfois, son amour débordait tellement qu'il n'avait pas la pudeur de le cacher devant ses parents. Madame Hendry pensait sans doute la rassurait en lui disant que c'était ainsi la vie d'une épouse et qu'avec le temps, elle apprendrait à mieux encaisser encore. Cette pensée glaça Deborah.

Comme toujours, une femme trop aimée a du mal à faire constater aux autres son bonheur. Deborah cacha un long moment, sous des robes amples et à grands coups de maquillage, les caresses trop appuyées de son fougueux amant. Elle les cacha d'ailleurs si bien qu'elle vint même à dissimuler aux yeux de tous, son époux compris, sa troisième grossesse. Et, comme un cadeau du Ciel, afin d'interrompre l'amour grandissant de son homme pour elle, Deborah lui donna enfin un fils. Ce dernier prit pour nom celui de Kai ; simplement parce que, selon son père, il avait du caractère, ce prénom. Sans doute pour sa brièveté, son [k] sonore qui démarrait le mot, sa proximité phonique avec une onomatopée guerrière. En gallois, il signifie « gardien des clés » ; comme pour symboliser, peut-être, qu'il était celui qui détenait la clé d'une union paisible entre Luke et sa femme, Deborah. Les premières années, ce fut ainsi. Kai permit à la maisonnée de vivre plus calmement. Les étreintes reprirent, les câlins, les baisers. Deborah se sentait idiote de s'être sentie mal pendant toutes ces années, se disant simplement que son mari était frustré par la situation plus qu'elle et désormais, maintenant qu'il avait son fils, il était redevenu ce jeune homme mystérieux dont elle était tombée amoureuse plus jeune.

Kai grandit, aimé et chéri, gâté par son père, différencié de façon assez notable de ses soeurs. Enfant-roi, le petit dernier avait droit à tout. Il obtenait les jouets de ses soeurs, les brisait, parvenait à les faire accuser à sa place, n'était soumis à aucune tâche ménagère dans la maison et s'en contentait bien. Très rapidement, ses deux soeurs, de cinq et deux ans ses aînées, s'agacèrent du comportement de ce petit prince qui leur rappelait avec une certaine fierté qu'en sa qualité de garçon il n'avait pas à se plier aux règles de la maison et qu'il leur incombait, à elle, de faire la vaisselle ou de ranger derrière lui. Sa mère, qui avait toujours vécu sous les diktats du patriarcat, ne trouvait trop rien à redire et, si jamais elle venait à vouloir rendre l'équation égale entre les deux parties, la main du père s'abattait durement sur elle.

2. LE REBELLE.

« Va te faire foutre, Daniel. »

Et puis un jour, c'en a été assez. Kai avait neuf ans et s'était déjà forgé un caractère bien trempé. Dans la maison, il était celui à qui revenait la parole en second après son père. Sa mère n'y voyait aucun inconvénient et s'enthousiasmait devant chacune des interventions de son fils. Ses deux soeurs elles, peinaient à exister au sein de la cellule familiale et craignaient plus que tout leur père. Ce dernier, malgré l'obtention de son fils, n'était jamais redevenu aimant envers leur mère et n'a jamais manifesté le moindre intérêt pour ses filles qui, pourtant, faisaient tout pour être remarquées positivement. La première surtout s'illustrait à l'école en brillant tant en littérature anglaise qu'en arithmétiques ; la seconde elle, beaucoup plus timide et chétive, faisait de son mieux et avait récemment remporté un concours de chant, poussée par sa mère. Luke n'était pas venu la voir. Kai non plus, par ailleurs. Le premier était rarement à la maison et prétendait avoir de plus en plus de travail ; devait faire des heures supplémentaires pour répondre aux besoins croissants de leur famille en expansion ; le second lui, ne prêtait juste aucun intérêt aux prouesses de ses deux soeurs, si ce n'est quand elles lavaient sa chambre ou triaient son linge.

Un soir, c'en fut trop. Revenu une ultime fois ivre, Luke avait franchi la ligne rouge. Deborah vivait un enfer depuis trop longtemps et, recluse chez elle en bonne petite femme au foyer, n'avait personne à qui se confier. Les voisins voyaient son époux comme un homme fort, robuste, volontaire et amical qui prêtait sans rechigner sa tondeuse et avait toujours la blague pour faire rire. Elle n'avait aucune amie ; ne connaissait personne. Alors, ce soir-là, elle appela son frère, Daniel. Daniel était ambulancier du côté de Glasgow. Il était le seul parent qui restait à Debbie depuis qu'elle était partie de chez ses parents ; lesquels étaient décédés entre temps. En larmes, elle se confia à son frère qui, quelques heures plus tard, au petit matin, entra en trombes dans la maison afin de se battre avec son beau-frère dans une scène défiant tout réalisme. Kai, qui n'en avait pas l'habitude, se leva aux aurores en entendant les coups portés et découvrit avec horreur la scène. Ce père qu'il admirait tant, au sol, boxé par cet oncle qu'il ne connaissait que de nom et qui chassait son paternel sous les sanglots de sa mère effondrée dans les escaliers. Les jurons partaient, Luke titubait, s'enfuyait la queue entre les jambes avec la voiture familiale en proférant des menaces qui tombaient à plat : il venait d'être défait, n'était plus crédible ; n'était plus un homme, pour Kai.

Comme un lion vient en chasser un autre pour dominer le groupe et s'accaparer les lionnes, Daniel s'installa un temps à la maison. Il reprit la couronne qui était celle du paternel, s'assura qu'il ne reviendrait pas et aida sa famille à subsister. Deborah fut écoutée, consulta un psychologue et extériorisa des années de violence conjugale ; tous les mercredis. Pour le jeune Kai, voir s'installer dans la maison Daniel était une insulte à son père. Lui ne voyait pas cette violence quotidienne, ou du moins la considérait comme naturelle. Daniel fut le premier à remettre à sa place et le père, et le fils. Il apprit à Kai qu'il n'était pas le Roi de ces lieux, qu'il devait considérer sa mère et ses soeurs, s'investir davantage dans les tâches ménagères, être sérieux à l'école, travailler avec acharnement. Le jeune enfant ne l'entendit pas de cette oreille et commença sa révolte.

« Va te faire foutre, Daniel. »

Il avait appris, deux ans plus tard, que son père était encore en ville. Les ponts avaient longtemps été coupés mais un jour, sa mère lui remit les quelques lettres qu'il avait daigné écrire à son fils. Dans sa correspondance, il ne s'adressait par ailleurs qu'à sa femme, qu'il souhaitait reconquérir, et à son fils qui lui manquait horriblement. Ni Lisbeth, ni Judith ne furent évoquées un seul instant. Daniel ayant trouvé un logement non loin de chez eux, il ne vivait plus quotidiennement dans la maison familiale et, avec le temps, Deborah avait laissé petit à petit Luke revenir dans sa vie derrière le dos de son frère protecteur qui l'avait en horreur et qui était prêt à le battre à tout instant s'il venait à se représenter au domicile de sa sœur.

Dans une de ses lettres, Luke avait fait parvenir son adresse. Kai s'y rendit un jour, déposé par sa mère qui ne pouvait pas se résoudre à le revoir pour l'instant. Il vivait dans un endroit misérable de la banlieue de Niddrie. Un petit appartement insalubre où la lumière sautait une fois sur deux. Il ne s'habillait presque plus, semblait porter toujours les mêmes vêtements qui avaient fini par se salir et dont les auréoles vertes déclinées en plusieurs teintes attestaient d'un manque d'hygiène certain. Sa barbe épaisse et foisonnant sur son visage fatigué démontrait que cet homme n'était plus son père. S'il restait avec lui quelques après-midi, c'était surtout par pitié. Au cours de ces après-midis, ils ne faisaient que parler, ne jouaient pas ensemble, n'évoquaient que la mère de Kai, si elle avait de l'argent, des amis, des amants. Parfois, il pestait, lâchait des insultes que le jeune enfant ne comprenait qu'à peine mais dont il reprenait souvent les mots au quotidien, à l'école, pour impressionner les roublards du collège avec un vocabulaire foisonnant de vices. Finalement, après quelques semaines, Kai ne souhaitait plus le voir et ne répondit plus à ses appels. Il ne voulait pas d'une loque comme modèle. Ce jour-là, Daniel avait "tué" son père ; ce jour-là, Kai était entré en rébellion.

3. LE SECOND.

Tous les jeunes enfants ont un modèle. Parfois, c'est simplement un parent : un père travailleur qui s'échine sans jamais se plaindre pour sa famille, une mère infirmière qui sauve des vies constamment et trouve encore le temps de jouer avec ses enfants, un grand-frère puissant, une grande-soeur intelligente. D'autres fois, les enfants sont obligés de se tourner vers des personnes totalement extérieures : un acteur de renom, un sportif qui cumule les records, un scientifique philantrope. Aussi, la fiction joue un rôle là-dedans : pour les uns, c'est Superman, Spiderman ou AutreTypeEnMan ; des héros de romans, de films, de séries tous droits sortis de l'esprit brillant d'artistes en tout genre. Kai lui n'en avait plus aucun depuis la déroute de son père. Fan des films d'action bourrins, il avait en adoration les Stallone et autres Schwarzeinegger et adorait les voir repeindre son écran de télévision avec les tripes d'extra-terrestres ou de vilains nazillards. Sa chambre puait la testostérone, le son hurlait à travers les murs pour perturber ses soeurs qui, ayant gagnées en assurance, venaient constamment se plaindre à la porte fermée à clé de leur petit frère rebelle dont l'odeur suffisait parfois à les faire fuir. Âgé de 14 ans, Kai était devenu un « vrai mec ». Souvent, sa mère était obligée de contacter son frère Daniel pour le faire sortir de sa chambre mais de plus en plus, il tenait tête à cet oncle envahissant. Un jour, elle reprit même contact avec Luke afin qu'il ait une conversation avec son fils. Cette fois-ci, Luke était plus présentable : il s'était peigné, avait mis un t-shirt propre et semblait avoir repris du muscle tout en ayant perdu du bide. Kai cependant n'avait que faire désormais de ce mec qu'il avait vu pleurer dans son coin pour récupérer sa grognasse. L'adolescent devenait de plus en plus ingérable et pourtant, sa mère ne parvenait toujours pas à s'opposer à lui et le chérissait encore comme le petit prince qu'il avait été naguère, et qu'il continuait d'être aux yeux de sa maman.

Néanmoins, pendant quelques années, Kai évolua sans réelle direction. Véritable électron libre, il oscillait beaucoup dans sa façon d'être avec les autres. Tantôt renfermé et taciturne, tantôt violent et perturbateur. L'année de ses 14 ans, un conseil de discipline fit qu'il dût quitter son collègue ; exclu après avoir tabassé à la sortie un de ses camarades de classe sans raison apparente. Une simple démonstration de force, sans doute. Une volonté de montrer qui il était. Qui dominait. Néanmoins, en arrivant dans sa nouvelle école, bien plus grande à la manière d'une grande usine industrielle que la sienne qui n'était qu'un vulgaire petit commerce, il afficha plutôt une attitude plus en retrait. Nouvel animal inclus dans un écosystème déjà bien défini, il devait faire ses preuves pour ne pas être considéré comme une proie par les grands prédateurs de la cour de la récréation. Bête adaptative, il chercha aussitôt le mâle alpha afin de se retrancher derrière lui et de le servir au mieux. Et c'est dès lors qu'il rencontra celui qui devint son meilleur ami, et modèle, Max'. Charismatique, influent, confiant, machiste et provocateur, Max' incarnait tout ce que Kai voulait être.

« Eh, tu t'appelles Max, c'est ça ?
- Il veut quoi le nouveau ?
- Je m'appelle Kai et ...
- Je m'en fous, mec.
- Je voulais juste te dire que je te trouve cool. Tu veux faire un foot ? »

Ce regard de dédain. Kai en frissonnait. Il avait l'impression de n'être rien pour ce type, juché sur une barrière, entouré par ses larbins qui ne juraient que par lui. Son ballon sous le bras, le jeune Hendry mesurait la distance qui le séparait encore de son interlocuteur qui fit naître un sourire sur son visage avant de bondir pour s'approcher de Kai.

« Pourquoi tu t'es fait virer de ton collège toi déjà ?
- J'ai rafalé la gueule d'un type.
- Pourquoi t'as fait ça ? Demanda alors en ricanant le meneur du groupe, soudainement intrigué.
- Parce que ... J'étais plus fort que lui ? »

La logique implacable et l'absence totale de raisonnement du grand brun fit rire à l'unisson tout le groupe que Max fit taire alors en pestant avant de reporter son attention sur l'adolescent qui se tenait désormais à quelques centimètres seulement de lui.

« Tu fais du foot ?
- Parfois.
- Tu n'es pas dans un club ?
- Non. Ca me motive pas de m'impliquer dans un club. Le dimanche je dors, je joue pas.
- Et tu joues quel poste ?
- Partout.
- Tu connais pas les règles, je me trompe ?
- Si. Un peu.
- Moi je joue buteur. Lança alors Max en souriant. Parce que le but c'est ce qui fait se soulever la foule. Le buteur c'est celui qu'on remarque, qu'on admire. Mais pour qu'il marque son but, il a besoin d'être soutenu par d'autres joueurs. Des joueurs forts. Rugueux.
- Je suis fort. S'enthousiasma alors Kai qui voyait où il voulait en venir.
- Je veux bien qu'on joue ensemble. Lança alors Max. Seulement, dans le jeu comme dans la vraie vie, c'est moi qui marque ... Et toi, qui défends. »

C'est ainsi, alors, que Kai trouva sa place après avoir perdu ses repères familiaux. Dès lors, Max devint en quelque sorte son mentor, son ami, la personne qu'il tenait le plus au monde à protéger mais aussi à ressembler. Il commença à singer la moindre expression de son nouveau meilleur ami, adopta le moindre geste, forgea son opinion sur le sien et fit tout pour être désormais perçu comme l'ombre de ce dernier.

4. L'ETUDIANT.

« Putain, putain, putain ... Pas maintenant, non ... »

Dans l'ombre de la petite chambre étudiante, les silhouettes des deux étudiants se découpaient sous l'effet d'une petite lumière qui s'était infiltrée entre les rideaux afin de révéler la scène. Kai, totalement nu, s'extirpa des couvertures en se tenant ses cheveux totalement défaits et lança dans un coin de la chambre une capote pleine qui tomba sur l'arceau de la poubelle.

« Je te jure que c'est la première fois que ça m'arrive. Je comprends rien.
- Oui, sans doute. Dit alors la jeune femme qui récupérait déjà ses vêtements pour les serrer contre elle.
- Eh, va pas dire aux autres ce qui s'est passé ! Ou je t'éclate la gueule, hein !
- Pauvre con. » Après avoir remis sa culotte, la petite blonde passa son t-shirt au-dessus de ses seins nus et sortit après avoir fait un "fuck" à son coup d'un soir qui la menaçait encore.

Jusque dans le couloir de la résidence universitaire, Kai, sexe à l'air, prévenait encore l'inconnue qu'elle n'avait aucun intérêt à révéler qu'il avait fini trop vite ; sans quoi, il dirait à tout son entourage qu'elle l'avait chauffé, que c'était qu'une pute, une fille facile. Une fois celle-ci disparue au détour d'un couloir, il se tourna vers le mur et frappa sa tête contre, accompagné de son poing en proférant des insultes qui pleuvaient à foison.

Cette année-là, Kai était étudiant de droit à l'université d'Edimbourg. Il avait fini ses études dans le secondaire il y a quelques mois seulement et, incertain sur son avenir, avait décidé de suivre Max comme il le faisait déjà depuis des années maintenant. Sa mère, crédule, ne voyait aucunement la fréquentation du jeune riche comme un problème et préparait très souvent des cookies aux deux garçons mais était constamment repoussé par son fils qui lui en voulait encore beaucoup pour la chute de la maison Hendry ; surtout depuis qu'elle avait épousé un nouvel homme, Trent, un informaticien complètement idiot qui lui parlait comme à un gosse de quatre ans, particulièrement couard, sans l'ombre d'un muscle, avec de larges lunettes carrées accrochées à son nez biscornu. Alors, quand l'occasion de quitter la maison familiale pour prendre son envol, il n'a pas hésité beaucoup. Cependant, la paresse aidant, il a pris la décision de ne pas prendre de job étudiant sous prétexte qu'il avait besoin de temps pour réviser et réussir ses études alors, sa tendre mère, qui avait réussi à mettre quelques euros de côté depuis qu'elle avait repris le commerce d'un diner américain dans une grande rue passante d'Old Town, s'engagea à payer le faible loyer de la chambre étudiante de son fils.

Si les premiers mois, Kai chercha à jouer le jeu en dépit de son manque d'intérêt pour les matières étudiées ainsi que ses nombreuses difficultés scolaires ; il tomba bien vite dans ses travers habituels et passa le plus clair de son temps à sécher les CM afin de privilégier quelques après-midis « détentes » en compagnie d'une nouvelle bande d'amis centralisée autour de Max. Puis vinrent les soirées, au cours desquelles il se mit à boire en abondance, à tester toute sorte de produits illicites, les filles qui commençaient à fantasmer sur les muscles qu'il commençait à se sculpter à force de se rendre dans une salle de sport, et les études devinrent si secondaires qu'il ne parvint pas à valider sa première année de licence et qu'il renonça finalement à mener des études.

5. LE MALCHANCEUX.

« Je t'explique en quelques mots le projet, OK ?
- Mec, tu vas encore abandonner, comme tu le fais à chaque fois.
- Non, pas cette fois ! J'ai appris de mes erreurs. A chaque fois que j'interrompts un truc, c'est là que ça pète. Et ce truc-là mec, je le sens vraiment vraiment trop ! C'est une révolution. Le meilleur moyen de se faire du fric HYPER facilement !
- On est déjà tous au courant pour ton compte TikTok. On en parlait déjà à la fac. Crois pas que tu vas percer et devenir comme tous ces influenceurs de merde qui sont invités en soirée aux quatre coins du globe pour faire la promo de gels ou de shampoings anti-calvitie.
- Mais de quoi tu parles, toi ? Je te parle d'un vrai truc là. TikTok c'est un hobbie et un moyen de serrer des meufs.
- Et donc c'est quoi ton truc miracle ?
- La crypto, mec, la crypto.
- Mais la crypto c'est déjà connu par tout le monde. C'est de l'arnaque. Tu vas encore te planter.
- Mais arrête d'être si négatif, putain. Je me suis déjà fait un peu de thunes.
- Et c'est comme ça que t'as claqué pour t'acheter ta vieille caisse de merde et ta moto flambant neuve ?
- Alors déjà, la caisse s'appelle Lucille et je te signale qu'elle a fait le tour des îles britanniques. C'est une putain de championne mec et sans ma vieille caisse comme tu dis, on pourrait à peine se déplacer dans ce bled de merde.
- Lucille, t'es sérieux là ?
- Mec. Ecoute-moi, merde !
- Mais ça sent le plan foireux de fou. T'es un vrai poissard mec. Tout ce que tu essayes te file sous le nez quand c'est la hype et qu'il y a de la maille à se faire dessus. Là ça te motive pour deux ou trois mois la crypto et derrière, tu vas encore abandonner pour un nouveau projet fou comme l'achat d'actions ou la musique.
- Je compose déjà des trucs mais c'est pas ça l'histoire. Ecoute-moi bien. Là, avec la crypto, j'ai qu'à rester toute la journée posé devant mon pc à gérer quelques trucs : un paquet de chips sur le bureau, la main sur mes couilles, et le fric rentre tout seul.
- Je te jure que ça pue ton truc. Tu vas perdre ton appart', t'auras aucun moyen de le payer et tu vas finir SDF comme ton vieux.
- Ta gueule mec. Mon vieux est pas SDF je te signale. Et l'appart', je gère. Ma daronne a des trucs à se faire pardonner, elle paye bien.
- Bah heureusement que t'es le fils à môman parce que sinon tu serais déjà mort dans le game depuis un moment. Tu peux pas mener la vida loca comme Max, t'as pas les thunasses qui suivent.
- Mec, bien sûr que si je peux. Je vais devenir riche en ... Allez, trois mois ?
- Bah putain, j'attends de voir ça.
- Trois mois, jour pour jour, top chrono. »


Expression libre

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Ashley Khan
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Kai Hendry
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Don : Dès qu’il abandonne un projet dans lequel il s’était lancé précédemment, ce projet aboutit mais pour quelqu’un d’autre. Il confère ainsi une chance incroyable à ses rivaux et considère, de son côté, être un « poissard de l’extrême ». Ce qu’il ne réalise pas, c’est que s’il poursuit ses efforts sans baisser les bras, son don lui permettra de réaliser assurément de très grandes choses.

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Lun 2 Oct - 6:57
Re-bienvenue par ici ! :ananas: Dis donc Kai promet, avec Ashley ils risquent de faire la paire - pas bravo ! boude



Tellement de princesses et aucune de ces p***s n'est encore à mes pieds Brxa
Aizah Zaman
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Don : Aizah est une empathe. A l'inverse de son jumeau, elle ressent essentiellement le bonheur des autres et toutes les émotions positives qui en découlent

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Spoiler:

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Lun 2 Oct - 7:09
Re-Bienvenue par ici avec ce nouveau personnage ! Hihi Bon courage pour la rédaction de ta fiche. rire



Alors, souris.
“ Dans 150 ans, on s'en souviendra pas, de ta première ride, de nos mauvais choix. Du temps qui avance, de la mélancolie. De la chaleur des baisers, de cette pluie qui coule. De l'amour blessé et de tout c'qu'on nous roule.”
Dorcas Oliveira
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Occupation : Étudiante en sciences politiques - Doctorante (Social and Political Science), Université d'Édimburg
Âge : 26 Quartier : New Town avec Alexander Mitchell comme petit ami et colocataire
Situation familiale : Un Néo-Zélandais (the one & only) - Madame Oliveira-Mitchell
Date d'arrivée à Edimbourg : Quelques temps maintenant
Don : Rémanence :

Poétiquement, elle appelle celui-ci la 'Rémanence'. Ou le fait pur et simple de voir des esprits quand ils ne sont pas passés de l'autre côté. Il y en a qui restent et qui accomplissent le même rituel en attendant d'être sauvés. Une boucle temporelle, qu'elle observe quand elle est un peu trop fatiguée et que la frontière entre illusion et réalité, s'avère être un peu trop fine.

Grâce à un carnet offert par sa mère, et sa grand-mère avant elle, Dorcas est le pont entre le tangible et l'intangible. Nullement, Médium, parce qu'elle ne s'en accorde point le droit. Considérant par ailleurs, ce Don comme une Malédiction. Une Malédiction qui lui occasionne alors, des céphalées atroces et des saignements de nez, importants.

Ainsi que des cauchemars, qui peuvent prendre pied dans sa réalité.

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Lun 2 Oct - 7:50
Rebienvenue ! Hihi




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Lun 2 Oct - 9:54
Re bienvenue !





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Lun 2 Oct - 10:10
Rebienvenue cheers



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Lun 2 Oct - 11:29
Re - bienvenue ! J'aime beaucoup l'humour du personnage (et son don aha)
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Kai Hendry
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Situation familiale : Célibataire, mais c'est parce que je le veux bien, pas parce que je me prends des râteaux.
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Don : Dès qu’il abandonne un projet dans lequel il s’était lancé précédemment, ce projet aboutit mais pour quelqu’un d’autre. Il confère ainsi une chance incroyable à ses rivaux et considère, de son côté, être un « poissard de l’extrême ». Ce qu’il ne réalise pas, c’est que s’il poursuit ses efforts sans baisser les bras, son don lui permettra de réaliser assurément de très grandes choses.

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Lun 2 Oct - 12:28
Merci tout le monde ! Hate

@Nash Ormond Le meilleur duo, avant la formation du meilleur quintet Rolling Eyes

@Cillian Farrell Don sympa mais ça dépend pour qui ... :sob:
Anonymous
Invité
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Lun 2 Oct - 19:53
Je suis tellement fan de son don omg Cri Crypto-trader et influenceur de muscles (aka l'homme qui murmurait à l'oreille des biscotos :3 ) ça annonce la couleur cérébrale.
Rebienvenue tout plein ! Hâte de le voir en jeu !!
Maddox A. Rutherford
Maddox A. Rutherford
aka Mad Dog M*therf*cker
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Occupation : Détective privé depuis décembre 2021. Ex-inspecteur de la Metropolitan Police, à Londres, viré suite à une affaire très médiatisée où il s'est fait accuser à tort d'avoir tué sa collègue et petite amie, en réalité une espionne qui le manipulait et qui a fui après l'avoir poignardé.
Âge : 33 Quartier : Leith (Maison - Portobello Beach) la plupart du temps, avec Lilly ; Old Town (appart au-dessus de l'agence où il bosse - Cowgate) quand le boulot l'y oblige.
Situation familiale : En couple avec Lilly Dawson.
Date d'arrivée à Edimbourg : De retour depuis septembre 2021, après 21 ans à Londres.
Don : En touchant un objet, Maddox peut avoir un aperçu de ce qui s’est passé autour de ce dernier dans les 24-48 h précédentes. Plus il recule dans le temps, plus les images sont floues et fragmentées, voire dans le mauvais ordre. Le don subit aussi l'influence de sa fatigue et de sa concentration. Le contrecoup s'il en abuse ? Migraines, mauvaise humeur, trous de mémoire...

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Tes sujets RP : Party like Gatsby (évent), ft Aizah & Bear ¦ Break a sweat on the floor, ft Alistair ¦ Lights off, ft Dorcas ¦ Basically a weirdo, ft Dafydd ¦ And then it was over, ft Lilly ¦

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Crackship by Jeyith Tellement de princesses et aucune de ces p***s n'est encore à mes pieds 1904749874

facts ✅:

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Lun 2 Oct - 21:28
Rebienvenue avec ce vrai mâle alpha, mwhahaha 💪 Rire

Le don est énorme, j'adore Mdr Drame

Bon courage pour le reste de la fichette Tellement de princesses et aucune de ces p***s n'est encore à mes pieds 1904749874





fake is the new dope
There is fun, there is sun, But the music sounds dull, It's so weird to be here. There is fun, there is sun, But the people are dull, As if this ain't real. Fake is the new dope, Fake is the new hope, We are living in a plastic world.
Logan J. Vasquez
Logan J. Vasquez
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Pseudo : Wendighost
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Messages : 181
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Occupation : Lieutenant de Police
Âge : 36 Quartier : au Sud d'Old town, dans un apartement au-dessus d'une superette de Meadow Lane
Situation familiale : célibataire sans enfant
Date d'arrivée à Edimbourg : Septembre 2019
Don : Spirite - il voit et entend les esprits qu'à la condition qu'ils soient liés à sa famille (des ancêtres, ou victimes éventuelles desdits ancêtres). Un don auquel il ne croit pas encore véritablement, préférant mettre ses visions sur le compte du stress, de la fatigue, de l'alcool, n'importe quoi d'autre.

Tellement de princesses et aucune de ces p***s n'est encore à mes pieds Yzk9
Tes sujets RP : [3/3]

Rp 1 : Hope
Rp 2 : Duncan
Rp 3 : Damian

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Mar 3 Oct - 16:54
Ce perso, ce don, ça promet ! J'ai hâte de voir Kai à l'oeuvre Rire

Re-bienvenue à toi et bon courage pour la fin de ta fiche !
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