Party like Gatsby

Party Like Gatsby

Aizah + Maddox + Bear

Bonne année 1920 !

Il s’était pris la tête. Réellement. Il avait pris le temps de trouver une tenue parfaite pour la soirée, mais son gabarit était bien plus imposant que le Léonardo Dicaprio du film… Il avait dû demander de l’aide à sa mère… Mère qui n’avait pas hésité à l’amener voir un modiste, puis un styliste, et qui avait même eu le culot (parce qu’à ce niveau là, c’est du culot) de l’emmener de force pour une coiffure. C’était ça de passer un week-end avec sa mère en lui avouant qu’il comptait ne rien faire pour l’époque de la Saint-Valentin. Il avait dû accepter de sortir pour s’amuser, et le dernier point avait été non négociable. Sa mère avait même menacé d’harceler Léo et Cole, qu’elle avait adopté dans son cœur, si Bear venait à travailler une seule seconde. Pas cool.

Il avait donc trouvé une tenue plus ou moins cohérente avec le thème grâce à sa mère. Il avait une chemise blanche sous une autre couche d’un vert foncé. Il avait essayé, mais il ressemblait plus à … Il ne serait même pas à quoi il pourrait ressembler. Dans tous les cas, qu’importe le costume, il faisait deux mètres. Il se voyait. Arriver devant la place de l’évènement, il s’étira doucement avant de se rattraper… Il ne faudrait pas qu’il craque les coutures de la chemise. Vraiment, l’inventeur de la chemise devait avoir des cure-dents à la place des bras. Il avait invité la sœur de sa meilleure amie dans un élan un peu incertain. Il ne lui parlait pas beaucoup, même s’il l’appréciait comme il appréciait beaucoup de monde, et il trouvait cela dommage. Surtout que, de son point de vue de gros ours, les histoires entre les membres du groupe ne l’atteignaient pas. Donc, ça ne le dérangeait pas le moins du monde de sortir avec Aizah, et elle ne pourrait pas ressentir le moindre jugement de sa part. Il la reconnait tout de suite et vient à son encore.

- Bonsoir, fit-il avant de la prendre dans ses bras par pur mouvement de bisounour. Tu es magnifique.

Il était honnête. Sa taille était bien plus imposante que celles des autres. Il se voyait mais ça ne le dérangeait pas. Il finit par l’inviter à rentrer pour commencer la soirée par leur consommation gratuite. Il prit un cocktail et la laisse passer la commande alors qu’une femme sur des hauts talons le pousse sur une autre personne derrière lui.

- Je suis désolé, s’excusa-t-il tout de suite alors qu’il se plia pour ne pas donner l’impression qu’il toise l’inconnu de sa taille.

(// @Maddox A. Rutherford si jamais tu veux être celui qui se fait pousser, n’hésite pas !)

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Aizah + Maddox + Bear

Bonne année 1920 !

HRP – Pas de soucis pour moi, éclates-toi
Bear regarde l’homme après s’être excusé. Vue sa taille, il était plus grand que tout le monde, il avait l’impression d’être justement un rugbyman au milieu des danseurs classiques. Tout le monde semblait si fragile avec leur froufrou et leurs plumes, il pourrait les écraser sans le vouloir, c’était vraiment déstabilisant. Il se demandait si ça se voyait sur la photo envoyé à Nadim. Cela devait se voir, non ? Bah… Il essaie de se dire que s’il était assez grand et fort, il pourrait protéger tout le monde au cas où un souci arriverait. Après tout, il en arrive souvent, bien qu’il espère que ça ne soit pas le cas. Il sourit à Aizah, après tout il avait le sourire facile notre ours national.

- Je ne sais pas du tout danser, mais je vais faire comme toujours, apprendre sur le tas, qu’il rigole en faisant un clin d’œil.

Il était comme ça Bear. Il était le genre à rire et à sourire comme il faut, à essayer, à se planter en rigolant. Pour lui, il n’y avait pas d’échec, pas de honte non plus. Il avait peur de blesser les gens autour de lui par inadvertance à cause de sa force, mais il n’avait pas honte de sa corpulence, ni de ses capacités. S’il faisait peur, il faisait un sourire pour essayer de faire passer tout ça. Alors, il emmène avec plaisir la jeune femme sur la piste de danse, faisant même une jolie petite place pour elle. Bah, oui, un mammouth qui va sur le dancefloor, ça fait de la place. Bref. Il sourit et la laisse alors qu’il laisse l’homme à côté de la jeune femme pour qu’il puisse suivre les pas. Dans tous les cas, il va faire n’importe quoi, alors ça ne le dérange de laisser leur nouveau camarade plus proche de la professeure.

- Voyons voir qui s'en sors le mieux entre nous ? qu'il défie les deux par plaisir bien qu'il n'avait pas de doute, il avait le rythme d'un caillou, ou d'une montagne et la grâce d'un moulin à vent.

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Aizah + Maddox + Bear

Bonne année 1920 !

Lui ? Il savait valser… en gros. Sa mère l’avait obligé à aller à des bals de bourges jusqu’à être banni à cause de sa taille qui dépasse celle de tous les autres. Donc. Les musiques des communs des mortels ? D’ordinaire il était plus occupé pendant les fêtes « autres » à aider à droite ou à gauche pour danser. Cependant, Aizah était un bon modèle, ou en tout cas arrivait-il à suivre ses pas. C’était un peu comme apprendre un enchainement de boxe qui userait des pieds et des mains. Il trouva même une idée pour pouvoir apprendre à boxer avec cette danse. Oupsie. Déformation pro, dirait-il. Il avait oublié de se présenter, et avait sourit quand la jeune femme avait précisé son véritable prénom. Il avait tellement l’habitude qu’on l’appelle Nathan que ça en devenait vraiment une blague. Il avait même oublié de se présenter comme il faut auprès de plusieurs nouvelles rencontres dernièrement. Il suit alors les pas de Aizah avec la grâce d’un moulin à vent que l’on aurait ensorceler d’un stupefix dans la tête. Mais il avait fait de son mieux. Son corps était plus habitué à des gestes rapides et forts qu’à un jeu de jambes élégant. Quand la musique s’arrête, il n’est pas essouffler … cependant, il regarde son camarade de galère, il avait décidé qu’il serait son camarade, avant de faire un rire rauque et heureux.

- Je ressemblais à une statue mal articulé mais j’ai presque réussi à suivre la jolie nymphe que tu es ! qu’il réponds avant de secouer la tête à nouveau.

Il fit un geste vers le bar, pour aller boire quelque chose de désaltérant, de l’eau pour son cas parce qu’il ne boit pas d’alcool, simplement pour rappeler aux deux personnes avec lui de ne pas non plus oublier de boire et de se reposer entre des activités sportifs intensives. Il savait faire à nouveau de la déformation professionnel avant de réaliser quelque chose en regardant Aizah.

- D’ailleurs, tu n’es jamais venu faire un cours avec moi, fit-il semblant d’être outré avec son sourire toujours lumineux, je pourrais mal le prendre.

Il se tourne ensuite vers l’homme (//qui s’était présenté je pense depuis) avant de faire un sourire encore taquin, mais surtout de connivence vers cet inconnu. Bear était comme ça, il se faisait rapidement de tout le monde un ami. Une vraie boule qui n’hésite pas.

- Il faudra que tu viennes à un cours avec moi, pour prouver que je suis meilleur professeur qu’elle et pouvoir le dire à tout le monde. D'ailleurs, vous travaillez dans quoi ?

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Aizah + Maddox + Bear

Bonne année 1920 !

Mad Dog ? Bear pensa un instant à une amie qui avait été surpris de son surnom, puis en pensant que le punch était le nom d’un autre colaborateur. Qu’aurait-elle dit avec un « Mad Dog » ? Cela lui plait bien, cette idée en tout cas. Il en sourit en revenant avec son verre d’eau. Il allait encore être le SAM de la soirée, mais ça lui convient parfaitement. Il ne boit pas d’alcool au moins que cela serve. Il hausse les épaules pour ce que gagne le gagnant, qu’importe, il perdrait avec humilité.

- Aux statues non fainéantes alors, qu’il lève son verre avant d’en boire une longue gorgée avant de s’occuper de la conversation. Cours de boxe. Mais pas la boxe pour faire mal ! J’apprends à se défendre, à se tenir, à se contrôler. J’adore la boxe dont je suis professeur !

Et le propriétaire de cette salle de boxe. Ainsi que propriétaire d’un défouloir en train d’être monté… et d’action dans l’entreprise de ses parents qui sont mondialement connu, mais Bear n’était pas le genre à se vanter. Tellement pas qu’il avait fallu presque 10 ans à son meilleur ami, le frère d’Aizah, pour apprendre qu’il était riche, de manière indécente. Bear se voyait plus comme un professeur que comme un riche. Tout comme il s’était toujours plus vu comme un protecteur qu’un combattant.

- Et mes amis sont toujours les bienvenus chez moi, qu’il dit avec un clin d’œil, mais je ne vais pas vous forcer à venir suer dans ma salle. Mes deux meilleurs amis n’y ont mis les pieds que pour venir me parler.

Il allait parler de Porter mais comme il ne savait pas la relation du moment avec Aizah il préféra rester flou (même si elle sait qui sont ses meilleurs amis). L’annonce du travaille de l’homme le surprends, et il sourit vers Aizah.

- C’est très clairement ce que dirais un espion sous couverture. Même si je ne vois pas pourquoi un détective serait intéressé par nous, tu as brisé le cœur de quelqu’un récemment, qu’il reprend vers Aizah, la seule des deux à pouvoir briser des cœurs puisque lui était célibataire depuis … sept ou huit ans, il ne sait plus. En tout cas ! Si jamais tu as besoin d’aide, je suis tout à fait disposé à faire diversion en faisant semblant de m’évanouir si tu dois t’enfuir ! Je promets qu’une armoire à glace noire qui tombe dans les pommes, ça se remarque.

Il rit vers le jeune homme, Maddox donc, en faisant un petit signe vers la société trop petite pour l’espèce de montagne noire qu’il était. Et ça le fait rire, en plus. Il pense qu’il n’aimerait pas être détective privée. Ni même en utiliser un pour apprendre sur les autres… mais ça donne vraiment une dimension presque « sherlockienne » à la soirée. Ils auraient dû y penser ! Faire un jeu d’énigme comme un cluedo, ça aurait pu être trop bien. Et il aurait dû emmener ses petits avec lui !

(HRP – ça vous tenterait d’ailleurs ? Si on peut faire tout ce qu’on veut, on pourrait voir pour mettre une énigme mignonne et sympas organisé par les personnes qui organisent ? )

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Aizah + Maddox + Bear

Bonne année 1920 !

HRP – je précise que j’ai jamais fais ça, si c’est nul vous vous plaigniez à… heu… Nadeem, je lui colle tout sur le dos j’ai décidé :p

- C’est gratuit pour les amis, qu’il annonce en sous-entendant donc que c’était gratuit pour Maddox aussi … Bear ne se faisait clairement pas trop de sous sur les abonnements pour venir se défouler à la salle. Je venais de Londres. Mais ça fait longtemps que je suis venu ici.

Il sourit, assez content de pas avoir dit son nom de famille alors… Sa famille était connu pour l’entreprise de divertissement sportif la plus lucratif du moment, en plus d’avoir une mère qui ressemble à une petite fée noire qui illumine le monde de sa présence. Clairement de quoi être connu comme un « people ». Il se penche vers Maddox quand il parle de la boutique d’Aizah.

- Tu crois que j’ai eu comment cette peau de bébé, que des échantillons de chez elle !

C’était vrai et faux. Il avait des échantillons de ses produits, donner de la part de Nadeem, mais comme il n’avait foutrement aucune idée de ce que ça peut servir, il ne les avait pas utilisé et les avait conservé comme il faut dans le frigo (on se demande tous pourquoi le frigo, mais lui il avait trouvé ça logique) sans oser les utiliser. Si Aizah vient réellement faire de la boxe, il se promet de lui demander un post-il pour chaque. Alors qu’il allait faire une blague, pleine de bon sens et littéraire comme il sait le faire (qu’il croit) un homme les interrompt. Bear fronce les sourcils mais Aizah semble décidé à faire le jeu. Pourquoi pas. Il fait un signe de tête à Maddox (Bear hésite entre dire que c’est un nouvel ami ou une pauvre victime prit entre la tempête et la montagne) et ils partirent pour la pièce. Là, une femme était au sol, en train de pleurer toutes les larmes de son cœur. Elle pleurait tellement que son maquillage avait coulé en des traits disgracieux et rejoignant sa poitrine. Bear était sûr que même avec une tonne de mascara, le maquillage ne devrait pas aller si « bas ». Une quinzaine de personne était dans la pièce et un groupe fut formé par les curieux solitaires qui trainaient par là. Six équipes donc. L’homme revient sur la place, montant sur une table alors que la lumière se fit sur lui et la femme en larmes.

- Mesdames et Messieurs… Aujourd’hui une terrible chose vient d’arriver. Terrible. Que dis-je ? Effroyable ! Monstrueuse ! Inadmissible dans une soirée comme la notre !

Bear ne pu s’empêcher de lever les yeux au ciel. Oui… C’était clairement le genre des riches clichés de faire d’une brindille une poutre pour ne pas s’occuper de toute la cargaison de bois au milieu de la route. Il vote pour une histoire de collier et le glisse à l’oreiller d’Aizah.

- Ce soir, l’inestimable collier de perle de la péninsule de Manoca a été volé !
- Manoca ? répète une personne dans l’assistance, il veut dire Monaco ?
- Chut, lui intime une autre.
- MON COLLIER, hurla la femme au sol avant de se prostré pour pleurer encore plus et faire taire les joueurs bavards.

Dans la longue liste des métiers qu’il n’aimerait pas faire, il y avait acteur. Il avait été cascadeur un temps (pour the roc mais chut) mais il aurait aucune envie d’être à l’écran pour pleurer à chaude larmes pour un foutu collier. Mais c’était mieux qu’un meurtre.

- Il vous faut le retrouver, reprit la femme en se levant sur ses deux jambes, pas du tout embêté par ses cheveux roux qui collent sur ses fausses larmes. Vous avez tous vue quelque chose pendant ce vol, tous ! Et je veux que vous trouviez mon précieux !
- Là, là, reprit le présentateur en tapotant sa main ganté, nous allons le retrouver.

Pendant la scène une personne passa pour donner des cartes à chaque participant. Il y avait une indication sur chaque carte qui devait être tenu secrète, sauf des autres du groupe. Cependant, il ne fallait pas la montrer. La personne qui passait pour montrer les cartes les reprenait une fois lu.

- Votre mission, si vous l’accepter, et Bear fit un sourire à Maddox quand le présentateur utilisa cette structure de phrase, sera de retrouver le coupable de ce vil larcin, ainsi que le mobile et la méthode. Vous avez une heure pour enquêter, pas une de plus. Chaque personne possède des informations sur la situation, quelques mensonges y sont glissés et quelques indices pour trouver d’autres indices sont dans les trois pièces derrière moi. Si vous voulez quitter le jeu avant la fin, merci de venir me voir pour me dire votre indice pour que je puisse redistribuer celui-ci. Certaines personnes possèdent, d’ailleurs, le même indice. Mais il y a les menteurs et les honnêtes, à vous de faire la part des choses. Ne mentez pas aux membres de votre équipe, seulement aux autres.

Bear attendit que la femme en larme et le présentateur se déplace comme des automates sur la place la plus éloignée, dans un canapé, avant de regarder autour de lui, les surplombant de sa taille tout le monde dans la pièce. Il finit par sourire.

- Je propose qu’on aille dans la pièce numéro 3 … Comme ça, au cas où.

Après tout, il avait eu l’indice qu’un indice vital était dans la pièce numéro 3 et qu’il se devait de dire la vérité.

HRP – N’hésitez pas à faire tout ce que vous voulez pour les indices, les faux-indices ou quoi, j’ai mis ça en place mais j’ai aucune idée de finalité donc vous pouvez rebondir comme vous le désirez (et sorry pour la longueur !)