Sinking Past
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Maddox A. Rutherford
Maddox A. Rutherford
aka Mad Dog M*therf*cker
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Pseudo : Shadowing
Avatar et crédit : Jack Lowden by Shadowing + signa by Astra.
CW : Langage grossier, violence
Messages : 1951
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Occupation : Détective privé depuis décembre 2021. Ex-inspecteur de la Metropolitan Police, à Londres, viré suite à une affaire très médiatisée où il s'est fait accuser à tort d'avoir tué sa collègue et petite amie, en réalité une espionne qui le manipulait et qui a fui après l'avoir poignardé.
Âge : 33 Quartier : Leith (Maison - Portobello Beach) la plupart du temps, avec Lilly ; Old Town (appart au-dessus de l'agence où il bosse - Cowgate) quand le boulot l'y oblige.
Situation familiale : En couple avec Lilly Dawson.
Date d'arrivée à Edimbourg : De retour depuis septembre 2021, après 21 ans à Londres.
Don : En touchant un objet, Maddox peut avoir un aperçu de ce qui s’est passé autour de ce dernier dans les 24-48 h précédentes. Plus il recule dans le temps, plus les images sont floues et fragmentées, voire dans le mauvais ordre. Le don subit aussi l'influence de sa fatigue et de sa concentration. Le contrecoup s'il en abuse ? Migraines, mauvaise humeur, trous de mémoire...

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Tes sujets RP : Party like Gatsby (évent), ft Aizah & Bear ¦ Break a sweat on the floor, ft Alistair ¦ Lights off, ft Dorcas ¦ Basically a weirdo, ft Dafydd ¦ And then it was over, ft Lilly ¦

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Jeu 4 Avr - 14:33
LIGHTS OFF

Le vendredi 26 mars

« Allez Madds, rentre chez toi. Je termine ton rapport, j’ai rien de mieux à faire. » Maddox eut une légère grimace. « Euh... T’as forcément quelque chose de mieux à faire un vendredi soir, Rowan. Je refuse de croire que ce n’est pas le cas. » « Peut-être, ou peut-être pas. Mais en tout cas, toi tu vas foutre le camp bien gentiment. Allez, Rutherford, file ! » Le trentenaire leva les mains en signe de reddition, tandis que son patron réprimait un petit sourire amusé. « Dans ce cas, à demain. » lâcha-t-il d’une voix résignée en enfilant son manteau, avant de quitter l’agence de détectives. La nuit était déjà tombée sur Edimbourg, il faisait plutôt froid. Des jeunes se baladaient joyeusement dans les rues de la capitale, prêts à aller faire la fête, alors que des touristes se dirigeaient vers des pubs et des restaurants pour rassasier leurs appétits et découvrir les spécialités écossaises. Parmi cette foule joyeuse, le blond n’était qu’un type de plus, qui marchait sans trop réfléchir, tel un automate. Il allait rentrer chez lui, oui, mais pas tout de suite. L’idée de retrouver les bras de Lilly avait toujours quelque chose de réconfortant, certes, mais retrouver ses bras voulait dire aussi retrouver son regard et peut-être bien ses doutes, sa méfiance. Sa petite amie n’était pas dupe, il le savait pertinemment ; elle se doutait forcément que l’Ecossais n’allait pas si bien que ça, même s’il répétait tout le temps que ça allait, qu’il allait beaucoup mieux. Cela faisait deux mois à peu près que le Rutherford avait été libéré par la police et qu’Abigail avait été abattue par Ryan. Son supplice était enfin terminé, son innocence avait été prouvée par les témoignages des complices de l’espionne. Désormais, les journalistes qui le contactaient parfois voulaient l’aider à crier haut et fort qu’il avait été une victime et non pas le coupable. Que ses supérieurs l’avaient lâchement abandonné à son sort, que la presse à scandales l’avait détruit gratuitement, que la présomption d’innocence n’avait jamais vraiment été respectée. Franchement, cela aurait dû lui faire plaisir, qu’on le croie enfin et que l’on veuille entendre sa version des faits sans avoir pour autant envie de détourner ses propos et de lui donner l’air coupable. Sauf que non, cela ne lui apportait aucune joie.

Au moins, il avait retrouvé sa routine. Après de longues semaines de repos forcé, l’enquêteur avait repris le boulot, petit à petit, ce qui l’avait tout de même aidé à ne pas trop se perdre dans ses idées noires. Maddox avait toujours été le genre de personne qui préférait rester occupée plutôt que de trop réfléchir. A chaque fois qu’il se mettait à trop réfléchir, cela ne lui réussissait pas, et il le savait très bien. Le Britannique se souvenait très bien de cette période qui avait suivi sa mise à pied, où il était resté des semaines et des semaines cloîtré chez lui. Pas question de laisser ça se répéter encore une fois, non. Il ne pouvait pas, il ne voulait pas. Pour ça qu’il préférait rester occupé et bosser, même si les affaires qu’on lui confiait étaient on ne peut plus basiques, ennuyeuses. Rowan avait été clair : il reprendrait doucement et ce serait bien lui qui aurait le dernier mot sur son emploi du temps, et non pas le jeune homme. Maddox espérait évidemment que cela ne durerait pas éternellement, que son patron finisse par le laisser choisir ses propres enquêtes comme avant, mais... Ouais, cela risquait de prendre encore du temps. La seule chose qu’il pouvait faire, l’ancien policier, c’était s’y plier sans trop grogner et montrer à tout le monde qu’il avait remonté la pente, qu’il n’était pas fragile, que le fameux événement ne l’avait pas brisé et que la mort d’Abyminable ne lui avait rien fait. Il n’allait quand même pas se sentir triste pour la mort d’une ex qui l’avait manipulé, kidnappé et tenté de le tuer. Pff... quand même, hein. Alors que le blond marchait dans les rues du centre-ville, soudainement des lumières s’éteignirent tout d’un coup, à sa gauche. Puis à sa droite. Puis derrière lui, et devant. Et plus loin encore. Le détective privé s’arrêta net, intrigué et surpris. Etait-ce encore un étrange événement (à ne pas confondre avec le fameux), comme il y a quelques mois déjà ?

Autant le trentenaire était plutôt sceptique en ce qui concernait le surnaturel, autant il ne pouvait nier qu’il possédait lui-même un don (qui lui faisait la gueule depuis son enlèvement, en vrai) et que certaines choses qui s’étaient passées à Edimbourg étaient pour le moins... bizarres. Peut-être y avait-il tout un tas de mutants cachés en ville, dignes des X-Men, qu’est-ce qu’il en savait ! Si l’on en croyait ce foutu BasicWeird de ses deux, le surnaturel était absolument partout et le mieux à faire était de se cacher dans des bunkers, omg. Le problème, c’est que cet abruti était un sale menteur. Oh que non, il n’avait toujours pas oublié que l'autre l’avait accusé lui il y a environ un an, sans preuves, sans rien. Encore un connard en manque d’attention (ou d’argent, ou bien des deux) qui était prêt à raconter n’importe quoi, quitte à inventer des histoires farfelues. Mais... Les légendes les plus farfelues n’avaient-elles pas souvent un fond de vérité ? C’était ce que Maddox se demandait en cet instant tout en observant une grande partie des lumières nocturnes d’Edimbourg s’éteindre, avant de se remettre à marcher. Franchement.. Il s’en foutait, hein. C’était sûrement une grosse panne électrique ou bien... « EH OH, regardez où vous allez, bord... Dorcas ? » Il avait reconnu son parfum, tiens. Puis son visage mal éclairé. L’enquêteur se racla la gorge, mal à l’aise. Il venait littéralement d’aboyer sur son amie, la pauvre. Enfin, la riche, si l’on voulait être fidèle à la réalité. « Désolé, je savais pas que c’était toi... Je t’ai pas fait mal, j’espère ? Je comprends pas ce qui se passe, là... Une grosse panne de courant, peut-être ? Ou alors c’est les extraterrestres qui posent leurs valises à Edimbourg, hein ? T’as rien vu de bizarre,  toi ? » L’homme eut un sourire narquois. Traumatisé ou pas... Mad Dog restait Mad Dog, c’était déjà ça !

@Dorcas Oliveira





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There is fun, there is sun, But the music sounds dull, It's so weird to be here. There is fun, there is sun, But the people are dull, As if this ain't real. Fake is the new dope, Fake is the new hope, We are living in a plastic world.
Dorcas Oliveira
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Occupation : Étudiante en sciences politiques - Doctorante (Social and Political Science), Université d'Édimburg
Âge : 26 Quartier : New Town avec Alexander Mitchell comme petit ami et colocataire
Situation familiale : Un Néo-Zélandais (the one & only) - Madame Oliveira-Mitchell
Date d'arrivée à Edimbourg : Quelques temps maintenant
Don : Rémanence :

Poétiquement, elle appelle celui-ci la 'Rémanence'. Ou le fait pur et simple de voir des esprits quand ils ne sont pas passés de l'autre côté. Il y en a qui restent et qui accomplissent le même rituel en attendant d'être sauvés. Une boucle temporelle, qu'elle observe quand elle est un peu trop fatiguée et que la frontière entre illusion et réalité, s'avère être un peu trop fine.

Grâce à un carnet offert par sa mère, et sa grand-mère avant elle, Dorcas est le pont entre le tangible et l'intangible. Nullement, Médium, parce qu'elle ne s'en accorde point le droit. Considérant par ailleurs, ce Don comme une Malédiction. Une Malédiction qui lui occasionne alors, des céphalées atroces et des saignements de nez, importants.

Ainsi que des cauchemars, qui peuvent prendre pied dans sa réalité.

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Jeu 11 Avr - 11:30
Luces apagadas

Le vendredi 26 mars

Les Rémanents, -et Rémanentes-, se succédaient mais n'avaient pour autant pas l'art de se ressembler. Étrangement, ils se manifestaient de plus en plus, comme si l'arrestation de cet adolescent prépubère avait été le point d'orgue de tout ça. Ça, c'était ce que l'Espagnole ne parvenait plus trop à contrôler. Frileuse, par rapport à ce don qui était de ce fait un héritage familial essentiellement féminin, et qui lui avait fait cruellement défaut lors d'une journée, dont elle se serait bien passée. Depuis lors, il n'y avait plus eu aucun cas de possession la concernant. Son Néo-Zélandais la veillant, plus que de raison. Mais lui, il ne côtoyait pas l'Invisible. Il ne savait pas ce qui se terrait par-delà le Voile. Et parfois, ce n'était vraiment pas 'glorieux'. Loin de là, même.

Alors, Dorcas Oliveira préférait faire en sorte d'épargner Alexander Mitchell. Même si ce dernier, était d'un gabarit imposant, qui ne se laissait pas vraiment influencer. Or, quand on touchait au monde de l'Intangible sans y être préparé, il fallait toutefois se montrer instruit, à son sujet. Ne point reculer devant la charge, qui pouvait dès lors survenir. S'habituer aux bourdonnements incessants provoqués par ces Esprits errants de prime abord, mais qui devenaient par la suite, bien plus intelligibles. Cela était comme si on progressait d'un niveau, et celui-ci paraissait alors bien plus grandiose, qu'il n'aurait dû être au demeurant.

Mais, protéger le petit ami musclé et tatoué était primordial pour l'étudiante en sciences politiques. Même si ce dernier râlait plus que de raison et précisait à qui voulait l'entendre qu'il ne se laissait pas facilement impressionner. Surtout face à ces morts que sa petite amie voyait. À de nombreuses reprises, il s'était montré excessif dans ses propos, mais la belle Madrilène ne pouvait décemment pas lui en tenir rigueur après tout. Elle, qui était ce pont contemporain entre le monde du Visible et celui de l'Invisible. À l'instar de ces anciens Spirites qui en avaient fait commerce durant les siècles passés.
Charlatans diraient certains. Visionnaires disaient les autres.

Après des retrouvailles charnelles teintées de vigueur et de fièvre, la belle blonde s'était mise en tête de récompenser les efforts de son bien-aimé, en allant lui récupérer ses mets préférés. L'étudiant en commerce, bien qu'attaché à sa culture, était friand des plats concoctés par le cuisinier du Piper's Rest. Optant pour un Uber plutôt que prendre le volant de sa Jeep Wrangler jaune, la volcanique hispanique évoluait alors, dans une tenue plus décontractée qu'à l'accoutumée, dans les rues de la capitale Écossaise. Prête à aller chercher, ce pour quoi, elle s'était déplacée.

Arquant un sourcil interrogatif, la Madrilène vit les lumières s'éteindre progressivement autour d'elle. Évoluant dans la pénombre, son regard vert émeraude ayant un peu de mal à s'habituer, la jeune femme blonde se mit à faire quelques pas. Avant de se faire violemment percuter par un inconnu qui ne se priva aucunement de lui aboyer dessus. Mais, dont elle reconnut l'accent sans l'ombre d'une hésitation, la Madrilène. Madds ?
Madds, qui prônait à qui voulait l'entendre qu'il allait bien. Que tout était parfait dans le meilleur des mondes, depuis qu'il était revenu ! Si l'Ibérique n'était pas dupe face à ce comportement lié au déni, cela était certain que pour sa petite amie, cela devait être pire ...

- Maddox ? Alors non, mais me faire aboyer dessus, en plein milieu d'une rue déserte, je dois avouer que ce n'était pas dans mes prérogatives. Une inspiration vive, parce qu'elle n'appréciait pas, cette ambiance singulière. Même s'il réussissait à la faire sourire, voire délicieusement rire. ... je n'en ai aucune idée. Vraiment. Et, comme l'autre connard de BasicWeird le dit, il y a assez de phénomène étranges à Edimburgh pour ne pas que des extraterrestres viennent nous rendre visite ! Quelle enflure, celui-là ! Parce qu'elle se rappelait très bien, qu'elle avait été sa cible avec sa vidéo à la con. Et, son compagnon d'infortune aussi, malheureusement. Qu'ils l'aient amené sur leurs vaisseaux pour en faire des expériences, cet hijo de puta ! C'est tout ce qu'il mérite. Puis, plus sérieusement tout de même : Tu vas bien, Madds ?

Ces quelques mots si triviaux en apparence, occultaient ce quelque chose de plus profond qui inquiétait à demi-mots, la jeune femme blonde. Parce qu'il avait vécu un traumatisme et qu'il n'en avait jamais parlé. À personne.




☽☽ The scars of your love remind me of us. They keep me thinking that we almost had it all. The scars of your love, they leave me breathless. I can't help feeling.
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Dim 14 Avr - 13:52
LIGHTS OFF
Il ne savait pas ce qui s’était passé, mais le blond était tout de même intrigué. Pour une panne de courant, celle-ci ne semblait être que partielle, parce qu’il y avait certaines maisons et certaines boutiques plus loin qui restaient tout aussi illuminées qu’il y a quelques secondes. Curieux ça... Quoi qu’il en fût, Maddox n’eut pas vraiment le temps de trop y réfléchir, ni même de bien regarder autour de lui, parce qu’un abruti s’était mis en travers de son chemin et l’avait heurté de plein fouet. Ou abrutie, en l’occurrence. Ou… Euh, Dorcas ? Alors là, c’était vraiment inattendu, hein. Et un peu con, car il venait d’aboyer sauvagement sur son amie espagnole, et ce sans la moindre gêne ! Enfin, pour sa défense, l’Ecossais ne voyait pas vraiment grand-chose devant lui à cause de cette soudaine panne de courant... Mais pour ce qui était d’être gêné, là le détective l’était. L’homme s’excusa alors, en espérant ne pas lui avoir fait trop mal. Et qu’elle ne lui en voudrait pas trop, tant qu’on y est. Une petite grimace désolée répondit à la remarque de la belle Ibérique, avant qu’il ne passe finalement à autre chose, demandant à la blonde si elle savait ce qui s’était passé. Si cela se trouvait, c’étaient les extraterrestres qui étaient en train de débarquer. Ou peut-être pas, hein. En tout cas, poser la question ne coûtait rien et cela permettait aussi de mettre un peu d’humour dans une situation un peu étrange, voire légèrement anxiogène. Oh, il ne croyait pas vraiment qu’il s’agisse là de quelque chose de surnaturel, mais… cette ambiance, ce manque de lumière, ce silence autour de lui, ça lui foutait des frissons et réveillait au fond de lui des souvenirs qu’il voulait juste laisser bien enfouis.

La mention de BasicWeird, quant à elle, ne réveilla que du mépris chez Maddox. Le trentenaire renifla avec dédain.  « Ah ouais, s’il l’a dit… » dit-il en levant les yeux au ciel, avec un sourire narquois aux lèvres. « Ce connard, qu’ils l’emmènent avec eux, ouais… Bon débarras, moi je dis ! » Nouveau sourire amusé, tandis qu’il hochait la tête, pensif. Le Rutherford en avait bien bavé à cause des mensonges qu’il avait écrit sur lui il y a environ un an, et ça il n’avait pas oublié. Mais il n’avait pas été le seul dans son collimateur, il le savait pertinemment. Même Dorcas avait été sa cible, bon sang ! « Le problème, c’est qu’il n’est pas le seul hijo de puta dans cette ville… Ils sont nombreux, hein. Lui, il n’en est qu’un de plus, mais du genre bruyant.  » Oh, un jour quelqu’un saurait le faire payer, il en était convaincu ; c’était juste une question de temps. Dorcas reprit ensuite la parole et lui demanda s’il allait bien. Une question qu’on lui avait posée bien trop souvent ces dernières semaines, et à laquelle sa réponse avait toujours été la même : il allait très bien. Etait-ce si difficile de le croire, vraiment ? Un petit soupir s’extirpa de la bouche de l’ancien inspecteur de la Metropolitan Police. « Je vais bien. Comme d’hab’. J’ai repris le boulot récemment, en plus… Ça me fait du bien. » C’était pas faux, hein. Même si, pour le moment, il bossait beaucoup moins d’heures qu’avant et qu’on ne lui filait que des enquêtes merdiques, afin qu’il ne finisse jamais trop tard et qu’il puisse se reposer. Comme si toutes ces semaines de repos forcé n’avaient pas suffi.

Son regard bleu s’était détourné sur un mur alors que le détective avait prononcé les mots précédents. Peut-être que cette faible luminosité autour d’eux pouvait l’aider à convaincre son amie, masquant son air pas si convaincant ? En même temps… que pouvait-il dire d’autre ? Il ne pouvait pas lui dire à quel point son âme était brisée, à quel point ce qu’il avait vécu le torturait presque chaque nuit, dans des cauchemars tordus. Il ne voulait pas se plaindre, jouer les victimes. Il refusait. Et c’était son droit, non ? C’était lui qui avait vécu ces dix jours horribles, c’était lui qui avait pleuré toutes les larmes qu’il avait en stock, c’était lui qui avait baisé avec Abigail, parce qu’il avait peur et que, en fin de comptes, il n’était pas moins corruptible que son paternel qu’il méprisait tant parfois. C’était lui qui avait traversé tout ça, alors personne n’avait le droit de lui dire comment il devait guérir désormais. Pourtant, Lilly, Rowan, Lorna, ses parents, ils ne voulaient tous que l’aider, lui tendre la main pour qu’il puisse s’accrocher à eux et sortir vers la lumière. A vrai dire, Maddox le savait et… Il ne leur en voulait pas, parce qu’à leur place il aurait fait pareil. Mais bon sang, il voulait juste qu’on lui foute la paix. Qu’on le regarde pas avec une expression de pitié. Sinon il allait forcément craquer et déprimer, alors que c’était justement ce qu’il voulait éviter. L’homme soupira.   « Je me remets doucement, mais sûrement. J’ai juste besoin de… Bah… d’aller de l’avant, quoi. Mais même Rowan refuse de me laisser bosser comme avant, tu sais. Comme si je n’en étais plus capable. Je ne peux même plus choisir mes propres enquêtes tout seul.  Ça me saoule, ça. » Nouvelle grimace agacée.  « Je sais que tout le monde veut m’aider et tout, mais… J’suis fatigué, bordel. Fatigué de devoir prouver que je vais bien. Je ne peux qu’aller bien… Tout autre choix, je le refuse. » lâcha-t-il d’une voix rauque. Comme si c’était vraiment un choix, voyons.  « Et toi, sinon ? Comment vas-tu, et Lex ? Et tes parents ? » Tout sauf parler de lui et de ses tourments intérieurs.

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