Sinking Past
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Maddox A. Rutherford
Maddox A. Rutherford
aka Mad Dog M*therf*cker
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Pseudo : Shadowing
Avatar et crédit : Jack Lowden by Shadowing + signa by Astra.
CW : Langage grossier, violence
Messages : 2342
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Occupation : Détective privé depuis décembre 2021. Ex-inspecteur de la Metropolitan Police à Londres, viré suite à une affaire très médiatisée où il s'est fait accuser à tort d'avoir tué sa collègue et petite amie, en réalité une espionne qui le manipulait et qui a fui après l'avoir poignardé. En janvier 2024, l'innocence de Maddox a été enfin prouvée pour de bon.
Âge : 34 Quartier : Leith (Maison - Portobello Beach), adresse officielle ; Old Town (appart au-dessus de l'agence où il bosse - Cowgate), assez souvent dernièrement.
Situation familiale : Il était récemment en couple avec Lilly Dawson ; désormais, il est tout seul avec ses regrets.
Date d'arrivée à Edimbourg : De retour depuis septembre 2021, après 21 ans à Londres.
Don : En touchant un objet, Maddox peut avoir un aperçu de ce qui s’est passé autour de ce dernier dans les 24-48 h précédentes. Plus il recule dans le temps, plus les images sont floues et fragmentées, voire dans le mauvais ordre. Le don subit aussi l'influence de sa fatigue et de sa concentration. Le contrecoup s'il en abuse ? Migraines, mauvaise humeur, trous de mémoire...

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Tes sujets RP : Party like Gatsby (évent), ft Aizah & Bear ¦ Lights off, ft Dorcas ¦ Unfinished, ft Bear ¦ Ratatrouvailles, ft Charlene ¦

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Crackship by Jeyith Unfinished | Bear & Maddox 1904749874

Tell me the story of your life in just a few seconds.
Alright, mate ✅:

Unfinished | Bear & Maddox Empty Unfinished | Bear & Maddox

Mar 17 Sep - 13:53
UNFINISHED
Le détective privé allait beaucoup mieux. La guérison était quelque chose qui prenait toujours du temps, que ce soit d’un point de vue physique ou psychologique, mais c’était aussi un processus qui avançait petit à petit, surtout quand on y mettait du sien. Depuis la dernière fois, Maddox avait eu le temps de réfléchir, de changer certaines habitudes – ou essayer, au moins – et de retrouver un peu de sérénité au fond de lui. Peu avant son anniversaire, c’est-à-dire le 20 mai dernier, le blond était en effet parti dans les Highlands avec un gros sac à dos, suffisamment d’argent pour se débrouiller et... pas grand-chose d’autre, à part les traumatismes récents qu’il portait en lui et qu’il tentait de guérir, justement. Le trentenaire avait déjà commencé ce chemin vers la guérison quelques semaines auparavant, quand il avait décidé d’arrêter de s’autodétruire et qu’il avait cherché de l’aide auprès d’une psy, la fameuse (et haute en couleurs) Dr. McKenna, mais aussi en décidant de parler directement avec Lilly afin de s’excuser. Clairement, les mots de Maeve, mais aussi de son patron Rowan, de l’assistante Lorna, d’Euridyce (ou Eurodisk, comme il l’appelait pour la taquiner) ou encore de sa mère, n’avaient fait que le motiver encore plus à faire des efforts. Il ne pouvait pas changer le passé et effacer ses erreurs, certes, mais il pouvait s’efforcer de se racheter et de prouver à la Londonienne qu’il regrettait profondément son comportement égoïste. En gros, lui montrer qu’il l’aimait toujours et qu’il était prêt à se battre pour qu’ils puissent avoir un avenir ensemble. Plus facile à dire qu’à faire, hein ? Sans doute. Mais qui ne tente rien n’a rien.

Le blond était donc revenu en ville au bout d’un mois et demi environ, en juillet, avec un nouvel état d’esprit. Prendre du recul par rapport à ce qu’il lui était arrivé en janvier, cela l’avait beaucoup aidé ; et peut-être bien que l’immensité fascinante des paysages des Highlands y était aussi pour quelque chose, tout comme les quelques rencontres qu’il avait fait là-bas. Quoi qu’il en fût, le fait était que l’ancien inspecteur se sentait plus léger, moins torturé et surtout, plus décidé que jamais à récupérer ce qu’il avait perdu au fil de ces derniers mois. Le Rutherford voulait retrouver son rythme au travail, reconquérir Lilly (bien évidemment), redevenir capable de se battre et de résister aux vents puissants des orages que la vie pourrait lui envoyer... Aller de l’avant. Franchement, il était sur le bon chemin, les résultats étaient encourageants. Oh, cela ne voulait pas dire que ses mauvais souvenirs ne revenaient pas le hanter parfois, loin de là ! Mais il ne les laissait plus le contrôler. Non, l’enquêteur s’accrochait à tout ce qu’il y avait de bon dans sa vie et, quand il le fallait, il passait au défouloir de Bear pour évacuer toutes ces émotions dangereuses qu’il ne fallait pas retenir très longtemps. Désormais qu’il était de retour à l’agence de détectives, l’Ecossais avait beaucoup moins de temps qu’avant, c’est sûr, mais avec un peu d’organisation et de bonne volonté, tout était possible. L’important, c’était qu’il prenne un minimum soin de lui et qu’il arrête d’être aussi vache avec lui-même. Dur, oui ; mais pas impossible.

M’enfin. Puisqu’on parlait de l’agence, quelques changements avaient eu lieu au sein de celle-ci depuis qu’il avait démissionné en avril pour pouvoir passer son temps à boire, à fumer et à faire n’importe quoi – tout ça parce que sa vie était finie. Eh bah non, elle n’était absolument pas finie et, à sa grande surprise, le monde ne s’était jamais arrêté de tourner en son absence. La preuve donc, plusieurs changements : Scarlett, la pétillante stagiaire, ne bossait plus à l’agence, ce qui lui faisait d’ailleurs assez bizarre, vu qu’elle était là depuis presque aussi longtemps que le blond. Et sinon... L’autre gros changement, plus étonnant encore (ou pas) : un autre détective avait été embauché. Depuis deux ans et demi, c’était Maddox et son patron qui assuraient le service, et en fait, cela avait toujours suffi. Parfois ils avaient évoqué un troisième élément, mais jamais Rowan n’avait franchi le pas.  Jusqu’à maintenant. Et... peut-être que c’était bête, mais à son retour, Maddox ne s’y attendait pas du tout. C’était une bonne chose, pourtant : cela allait lui permettre de se ménager un peu sans que cela ne porte préjudice au rythme de l’agence. Le problème, c’est que le l’ex-policier ne pouvait pas saquer le nouveau collègue, ce Murray, ce… connard arrogant, voilà tout. Et quant à la nouvelle secrétaire, c’était une véritable taiseuse... tout le contraire de Scarlett, la clown de service qui mettait l’ambiance quand il le fallait avec ses commentaires inattendus. Gosh, il avait du mal avec les changements, il fallait croire. Et tout ça… parce qu’il avait merdé.

Histoire de ne pas trop y penser et d’éviter de ressasser ses regrets, le Rutherford préférait donc se concentrer simplement sur ses enquêtes. Car au moins, le Britannique pouvait à nouveau gérer ses horaires comme il l’entendait. Pendant des mois, suite à son enlèvement en janvier, Rowan avait voulu le préserver, l’empêchant de bosser la nuit, mais... cela ne lui avait vraiment pas plu, ni ça, ni les enquêtes désespérément basiques qu’on lui avait confiées pendant cette période. Maintenant, il avait un peu de tout, certaines ennuyeuses, et d’autres plus dignes d’un inspecteur de la Metropolitan Police qui n’avait rien perdu de ses compétences. Depuis ce matin, l'homme s'occupait d'une enquête sur une jeune femme qui avait disparu récemment. Ce n'était pas la première fois, loin de là, c'était plus courant qu'on ne pourrait l'imaginer, ce genre de cas. Et même s'il y a un an, une jeune Roumaine avait disparu pendant des semaines et que, au final, c'était un choix volontaire alors que sa famille et des collègues danseuses avaient craint le pire, Maddox savait pertinemment que cela restait une heureuse exception. En revanche, le cas dont il s'occupait là avait tout de même un côté inédit : il connaissait personnellement quelqu'un présent sur l'une des photos d'elle qu'il avait trouvées : Bear, dont la photo en question avait été diffusée lors du grand piratage du mois de mai. Une conversation s'imposait, clairement.  Alors, Maddox l'avait appelé avec une certaine urgence, afin de pouvoir lui poser quelques questions, trouver des pistes éventuellement.

L'énorme silhouette qu'il reconnaîtrait entre mille se profila enfin à quelques mètres de lui. Son ami, oui, un vrai. Il n'oubliait pas que ses mots il y a quelques mois lui avaient fait beaucoup de bien ; ses encouragements et le fait qu’il ne le juge pas, également. Les deux hommes étaient d’ailleurs restés en contact plus ou moins régulièrement, même après le départ du blond dans les Highlands. Et désormais, cela ne devrait pas changer dorénavant, puisque le détective continuait de passer au défouloir et même à la salle de boxe assez souvent. L’ancien flic tourna la tête vers Bear, imité par Lorna, la quinquagénaire élégante qui servait de bras droit / femme à tout faire de Rowan, et Tessa, la brune au visage inexpressif. Quoique, même la nouvelle secrétaire avait esquissé une légère expression d’étonnement. Oh, et lui qui commençait déjà à croire que c’était un robot infiltré parmi les humains ! Etouffant cette pensée, Maddox se leva, avec un petit sourire aux lèvres. « Bonjour Bear, comment vas-tu ? » Il y avait une certaine tension dans le regard du Rutherford. Il voulait aller droit au but, car dans ce genre de situations, le temps pressait. « Alors, cette fille sur la photo, tu la connais ? Qu'est-ce que tu peux me dire sur elle ? » Dit-il en la désignant sur l'écran de son ordinateur. Madds était plus ou moins au courant pour le projet du gentil colosse et savait bien que ses intentions étaient louables, qu'il voulait aider des prostituées avec son idée de cabaret, tout ça. Mais il y avait peut-être des infos qu'il n'avait pas retenues ou des choses auxquelles Bear avait assistées et que le détective ignorait. Bref, on verrait bien. « Et sinon, je peux t’offrir un café, du thé ou … ? » Bah, pressé ou pas, un peu de courtoisie ne tue personne, pas vrai ?

@Nathan 'Bear' Instinct





for you and I
Did somebody tell you that life was easy? They were wrong. All the lines are blurred, Your emotions get so lost. And I wish I could tell you now how much my heart breaks like a song. I love you forever, And I hope forever becomes heaven. No matter where you are, there's a lot of love left here for you and I.
Nathan 'Bear' Instinct
Nathan 'Bear' Instinct
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Pseudo : Mél
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Occupation : Propriétaire d'une salle de boxe (Punch) et d'un défouloir (Purge) + professeur de boxe
Âge : 41 Quartier : Banlieu
Situation familiale : Célibataire. Père adoptif de deux ados de 16 ans.
Date d'arrivée à Edimbourg : 2008
Don : Il a le don de ressentir les mensonges et la vérité. Cependant, son don n'est pas infaillible parce qu'il prends en compte les émotions de la personne.

Unfinished | Bear & Maddox Moon-Bear----Animal-Bears-Fur-Paws-KS1
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Unfinished | Bear & Maddox Empty Re: Unfinished | Bear & Maddox

Dim 22 Sep - 13:37

Unfinished
Maddox & Bear
Parfois une photo vaut mille mots... et parfois il faut mille mots pour décrire une photo.
Bear étire ses bras au-dessus de sa tête dans un craquement qui ferait se dresser les cheveux sur la tête d’Angus. Son kinésithérapeute / ami n’apprécie pas particulièrement que Bear éclate son travail en étirement superflu… Cependant, ça amuse Bear et le détends de se mettre en échauffement de travail pour pouvoir appréhender une journée particulièrement compliqué. Il ne sait pas exactement pourquoi Maddox l’a appelé pour lui demander de venir, mais il avait décidé de ne pas lui poser plus de question au téléphone.

Depuis quelques mois, cette histoire de piratage lui prenait la tête copieusement et il en avait ras le cul, pour être tout à fait poli. Il n’avait aucune envie de devoir encore expliqué pourquoi il ne paie pas du tout des prostitués. Enfin, Maddox est un détective, ça pourrait peut-être jouer en sa faveur de lui expliquer. Porter a tout de suite cru que Bear couché réellement avec des femmes, et des hommes, certains mineurs, qu’il trouverait dans la rue. Yadriel ne la pas cru, mais il connaissait un des enfants sur la photo… et pour le reste, c’était au petit bonheur la chance. Il a reçu un verre d’eau dans un restaurant alors qu’il mangeait avec ses fils. Léo est parti au quart de tour et Bear a été obligé de l’empêcher de frapper la femme qui pensait, en ce geste, protégeait Léo et Cole. Bear l’en a remercié pour le sentiment.

On ne peut pas en vouloir à une personne qui pensait sérieusement sauver deux adolescents d’un pervers qui allait lui faire du mal. Ainsi, il arrive dans l’agence simplement. Attendant de savoir comment il va être mangé cette fois. Il fait un sourire à toutes les personnes qui passa sous son regard. La brune étonnée eu même le droit à un clin d’œil. Voilà pourquoi on l’appelle Bear, plus que sa taille et sa couleur, c’est l’impression qu’il est un animal sauvage au milieu de la civilisation qui marque le plus. Il s’approche de Maddox.

- Je vais bien et toi ? qu’il s’enquit alors même qu’il sent déjà que quelque chose cloche.

Maddox lui a dit vouloir des informations sur une photographie. Et Bear l’a reçu avant de venir pour se rafraichir la mémoire. Il penche la tête. Ainsi, c’est la fille qui l’intéresse ? Il jette un regard sur la photo et remet en ordre ses pensées.

- Va pour un thé, je reste un britannique même si j’en ai pas l’air, rigole-t-il avant de se concentrer à nouveau sur l’image. Elle s’appelle Manon. Je n’ai pas son nom de famille. Elle m’a dit avoir dix-huit ans, mais je la soupçonne d’avoir moins. Elle se trouve souvent sur la rue qui est perpendiculaire au Purge. Plusieurs de mes gars m’ont prévenu de sa position, ils savent que je n’aime pas la misère sans en apporter mon aide. Elle est restée deux nuits dans mon appartement, pour se doucher et se reposer, puis elle est ressortie. Elle m’a avoué avoir peur de rentrer chez elle, parce qu’elle n’est pas la bienvenue après ce qu’elle a vue. Mais elle a refusé de me dire ce qu’elle a pu voir. Je ne l’ai pas vue depuis ce jour là, designe-t-il la photo.

Il ne sait pas ce qu’il pourrait dire de plus. Il réfléchit, fronce le nez et les sourcils pour se concentrer sur les petites choses qu’il n’aurait pas analysées à l’époque.

- Elle m’a emprunté cent dollars, précise-t-il bien que cela a été un vol mais Bear ne lui en veut pas alors il parle d’un emprunt. Tu veux m’en dire plus ?  
(c) princessecapricieuse





« C’est... un Ours ! Certes, il
semble être un ours très intelligent,
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mais c'est quand même un ours !
Il n'a aucun concept de vengeance. »
ANAPHORE
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