Pseudo : Pow
Avatar et crédit : Adam Levine - by Panic
CW : Sexe++, drogue, violence, alcool, racisme, et j'en passe !
Messages : 3280
Occupation : Bras droit dans le trafic - comptable sur les papiers
Âge : 44 Quartier : New Town
Situation familiale : Célibataire, dragueur invétéré
Date d'arrivée à Edimbourg : Hiver 2000
Don : Je ne crois pas aux dons ni au surnaturel
Tes sujets RP : Nadeem / Una / Eve / Victoria / Clement /
But if you like causing trouble up in hotel rooms
And if you like having secret little rendezvous
If you like to do the things you know that we shouldn't do
Then baby, I'm perfect
Baby, I'm perfect for you
Avatar et crédit : Adam Levine - by Panic
CW : Sexe++, drogue, violence, alcool, racisme, et j'en passe !
Messages : 3280
Occupation : Bras droit dans le trafic - comptable sur les papiers
Âge : 44 Quartier : New Town
Situation familiale : Célibataire, dragueur invétéré
Date d'arrivée à Edimbourg : Hiver 2000
Don : Je ne crois pas aux dons ni au surnaturel
Tes sujets RP : Nadeem / Una / Eve / Victoria / Clement /
But if you like causing trouble up in hotel rooms
And if you like having secret little rendezvous
If you like to do the things you know that we shouldn't do
Then baby, I'm perfect
Baby, I'm perfect for you
Conseils d'ami
bear & porter
« And if the birds are just all the words flying along, singing a song, what would they do ? If they just knew what they could do. »
L'invitation de mon ami m'avait paru, au premier abord, bien curieuse. Puis, quand j'avais lu les rumeurs qui secouaient la ville, je m'étais fait la réflexion que Nathan, notre Bear, celui qui aurait pu se vanter d'être le plus gentil de tous les gentils d'Edimbourg si justement il n'avait pas été aussi gentil, cachait tout de même bien son jeu. Se payer des prostituées ! Et il ne m'avait même pas mis au courant, ce goujat, alors que j'aurai pu lui présenter de superbes nanas à un prix probablement bien plus raisonnable que ce qu'il avait dû verser aux autres filles. C'était tout de même incroyable, et cela valait bien le coup d'en discuter autour d'un verre dans l'un des meilleurs restaurants gastronomiques de la ville. Je pourrais lui donner des conseils de choix pour ne pas se faire avoir, et même lui prêter ma garçonnière pour qu'il en épate quelques unes le temps d'une soirée. Pour cela, je n'étais pas un rat, si cela pouvait aider un ami, je n'allais pas me retirer ce plaisir de lui taper dans le dos en lui suggérant de bien changer les draps en repartant parce que quand même, on avait beau être potes, on avait pas élevé les cochons ensemble.
Je conduisais Courtney sous une pluie battante. L'averse avait commencé il y a quelques minutes, juste après que j'ai quitté la place de parking. Revêtu d'un bel ensemble pour l'occasion, je ne me faisais pas de soucis quant à l'arrivée, je n'aurai qu'a laisser le bolide au voiturier qui se chargerait de la garer dans le froid et l'humidité pendant que je foulerai le tapis rouge menant au restaurant. Comme à mon habitude, je devais bien avoir dix minutes de retard sur l'horaire convenu par Bear, mais je n'en avais évidemment cure. "On arrive jamais en avance, leanahb ! On sait se faire désirer" comme aurait dit mon paternel, que je renvoyais encore bomber le torse d'un air arrogant devant son miroir en train d'ajuster son noeud papillon sur sa chemise. S'il y avait bien un précepte que j'avais tenu à garder de lui, c'était celui là, et je l'appliquais toujours ou j'allais. Si Bear me connaissait aussi bien que ce qu'il pouvait le prétendre, alors ça ne serait pas une surprise pour lui. Moi, le connaissant, je le voyais déjà en pleine discussion avec les clients de la table d'a coté, un couple chic qui prenait sûrement du caviar au petit déjeuner. Il n'avait aucun problème avec ce monde là, puisqu'il en venait lui même. A l'internat, on en avait connu d'autres, des fils et filles de riches, et ce couple aurait pu être de ces anciens jeunes là. Le problème, c'est qu'on ne voyait pas, au premier abord, qu'il était friqué lui même. Bear était un homme simple, qui faisait des choses simples, et qui avait ouvert un club de boxe. Difficile de croire qu'on avait fini par se lier d'amitié tout deux, mais il fallait croire que je lui apportais le grain de folie un peu borderline qu'il n'avait pas. Est-ce qu'on pouvait qualifier autrement le fait d'aller voir des putes ? Ou alors, le problème était bien plus profond qu'il n'en avait l'air. En plus de dix ans, je ne me souvenais même plus si je l'avais déjà vu avec une nana. Probablement si, au début. Normal donc, qu'il ai profité entre temps. Mais quand même ! Bear et putes, cela faisait douze !
Je stationnais la voiture devant un homme en tenue qui vint m'ouvrir la porte armé d'un parapluie. Je le lui pris des mains et m'éloignais sans le remercier jusqu'a l'entrée du Dôme. De là, je fus accueilli par les effluves diverses et variées que l'on pouvait attendre de l'endroit. Quelque chose, que j'identifiais comme des fruits de mer, probablement du homard, vint me titiller les narines et me donna l'eau à la bouche tant elle était légère mais également raffinée. L'odeur embaumait l'air et se mélangeait avec celle de légumes fraichement préparés en cuisine. Souriant malgré moi, je levais le nez pour respirer ce fumet, me faisant la réflexion que finalement, en sus du champagne, nous pouvions bien nous accorder la totalité du menu. Je passais devant un couple qui attendait devant moi et qui tenta de me retenir en m'adressant un clin d'oeil indigné, mais ils étaient probablement trop polis pour me tirer en arrière par la manche en me demandant d'attendre mon tour. Pareil, devant l'homme vérifiant les réservations, je n'adressais pas un mot, et continuait mon chemin. Je savais ou j'allais, mon ami avait fait une réservation et il pouvait me croire, je savais exactement reconnaitre Bear. Au milieu d'une foule je l'aurai reconnu, il fallait dire qu'il était d'une anatomie facilement remarquable, digne d'un gladiateur sans armure, et c'était là aussi un compliment facile à faire. Des hauts parleurs discrets planqués en haut des murs s'élevait une symphonie musicale classique qui se fondait à la perfection avec les murmures sages et réservés des clients occupants les tables. Je repérais ainsi sans mal Bear, évitant l'esclandre qu'aurai pu former le personnel voulant me retenir d'avancer sans autorisation en souriant de toute mes dents et en écartant les pans de ma veste pour y laisser apparaitre un portefeuille bien garni. "Mon cher Bear, toujours bien portant à ce que je vois" m'exclamais-je avec entrain en arrivant à sa hauteur et en lui tendant la main, comme nous l'avions appris à l'école. Je changeais légèrement mon sourire, ce dernier devint plus énigmatique ,et je m'asseyais face à lui avec un air particulièrement extatique. Allez, je pouvais bien le laisser me parler de son problème en premier sans lui donner l'impression que je savais déja tout et que j'avais préparé un plan d'attaque bien ficelé. Il serait sûrement plus à l'aise comme ça. Quoiqu'après tout, il n'y avait pas de honte à avoir. Tout le monde avait ses petites faiblesses et j'étais le moins bien placé pour lui faire des reproches quant à ses activités et à ses fréquentations. "Comment vas tu ?" demandais-je sur un ton un peu mystérieux en m'emparant directement de la carte des vins.
(c) DΛNDELION
They say, "All good boys go to heaven"
But bad boys bring heaven to you
But bad boys bring heaven to you
- It's automatic
It's just what they do
It's just what they do
Pseudo : Mél
Avatar et crédit : Winston Duke - Crédit : Panic (4) Nuit d'orage (5) Dafydd (1)
Messages : 623
Occupation : Propriétaire d'une salle de boxe (Punch) et d'un défouloir (Purge) + professeur de boxe
Âge : 41 Quartier : Banlieu
Situation familiale : Célibataire. Père adoptif de deux ados de 16 ans.
Date d'arrivée à Edimbourg : 2008
Don : Il a le don de ressentir les mensonges et la vérité. Cependant, son don n'est pas infaillible parce qu'il prends en compte les émotions de la personne.
Tes sujets RP : (Dafydd et Joshua) + (Aizah et Maddox) + (Dafydd) + (Faith) + (Nadeem) + (Grace) + (Yadriel et Shohan) + (Angus) + (Lara) + (Ryan) + (Carlson) + (Charlene) + (Clement) + + (Rhéa) + (Violette) + Toi ?
Avatar et crédit : Winston Duke - Crédit : Panic (4) Nuit d'orage (5) Dafydd (1)
Messages : 623
Occupation : Propriétaire d'une salle de boxe (Punch) et d'un défouloir (Purge) + professeur de boxe
Âge : 41 Quartier : Banlieu
Situation familiale : Célibataire. Père adoptif de deux ados de 16 ans.
Date d'arrivée à Edimbourg : 2008
Don : Il a le don de ressentir les mensonges et la vérité. Cependant, son don n'est pas infaillible parce qu'il prends en compte les émotions de la personne.
Tes sujets RP : (Dafydd et Joshua) + (Aizah et Maddox) + (Dafydd) + (Faith) + (Nadeem) + (Grace) + (Yadriel et Shohan) + (Angus) + (Lara) + (Ryan) + (Carlson) + (Charlene) + (Clement) + + (Rhéa) + (Violette) + Toi ?
Conseils d'amis
Porter et Bear
Je suis papa !
Bear fondait beaucoup sa vie sur les autres. Il le sait et en avait bien conscience. Célibataire depuis sept ans, il n’avait toujours pas retrouvé l’envie d’avoir une relation charnelle depuis, ce qui était aux yeux de beaucoup une hérésie. L’anatomie n’avait pas de secret pour lui, il connaissait le principe, et bien s’il se souvenait de son ex qui n’avait jamais eu à se plaindre… Il était généreux dans ses relations. Amoureuses et amicales… mais voilà, tout le monde n’arrivait pas à comprendre cette petite spécificité qui n’appartient qu’à lui. Il sait qu’on le voyait souvent comme un gladiateur, sauf qu’il n’avait aucune femme à qui offrir sa victoire. Il n’avait personne le soir dans son lit, entre ses bras… et ce n’était pas le sexe qui lui manquait mais la compagnie. Quand il voyait la famille de Nadeem, il était un peu envieux. Il se disait qu’il aimerait aimer et être aimé en retour. Sauf qu’il s’en sent incapable. Il ne pensait pas pouvoir aimer une femme plus que les autres, et lui faire comprendre. Il ne pensait pas pouvoir être aimé plus que les autres. Alisson avait, après tout, décidé de le quitter quand il lui avait pardonné sa trahison. Il y a sept ans.
Ainsi, voir les couples dans la rue, ça lui faisait un pincement au cœur qu’il cachait de tous. Il n’en avait parlé que rapidement avec Nadeem, mais il avait le regard d’un meilleur ami. Il n’en avait jamais parlé à Porter, qui tomberait certainement dans les pommes à connaître la durée de son abstinence forcé (mais qui ne le gêne pas, donc). Depuis trois jours, il devait faire les déplacements dans la ville en transport en commun. L’odeur de renfermé, de sueur, de désodorisants variés et souvent bons marchés collés à sa peau comme une protection. Il fallait toujours y rajouter les parfums, parfois meilleurs marché mais qui ne pouvait pas faire de miracle, et Bear se retrouvait avec une migraine. Il avait l’impression d’être moite à chaque fois qu’il prenait les transports et réussissait à s’en extirper, sa taille n’aidant pas à être bien perçu par les usagers. Il avait l’impression d’être lasse. Puis, il prit une grande respiration et pouvait repartir du bon pied sous le ciel qui menaçait de déverser ses eaux de printemps. La pluie accompagnait toujours les changements de saisons, comme s’il était impossible pour le temps de rester constant, ou de changer d’un coup. Le temps menaçait, effrayait les enfants et les mères d’un orage qui pourrait éclater, mais ne le faisait pas. C’était un moment charnier, qu’il fallait traverser avec le plus de bonnes ondes possibles. Et Bear comptait bien en avoir à revendre !
Dans son sac à dos, il avait tout ce qu’il faut pour ne pas faire étrange au milieu de la noblesse d’Edimbourg. Même si Léo avait été blessé pendant une manifestation, tout allait pour le mieux dans sa vie. Lui n’était pas du tout au courant de l’histoire des piratages car, pour le moment, personne ne l’avait tenu au courant. Il n’en avait que le début de l’intrigue sans en avoir les aboutissements, mais ça ne le regardait, de toute façon, pas du tout.
Arrivé en avance dans le restaurant, il pu prendre le temps de se changer pour être convenablement habillé, mais sans prétention comme on le connait. Dans le lieu, la cinquième symphonie de Beethoven arrivait à calmer son esprit embrumé par les différentes situations. S’il avait demandé à Porter de venir, ce n’était pas pour s’appesantir sur l’accident de Léo, loin de là… Il devait lui parler de l’existence de Léo. Et de Cole. Se regardant dans la glace, vérifiant ses cheveux encore humides mais propre, il sourit. Il était devenu papa. Si ce n’était pas une bonne nouvelle, alors aucune ne méritait d’être dite aujourd’hui ! Il reparti à sa place et finit par demander la carte des vins. Il ne buvait pas d’alcool mais il en connaissait un qui ne se priverait pas, surtout que c’était lui qui aller régaler ! Il vérifia rapidement le plat du jour, Rumbledethumps… aucune idée de ce que ça pouvait être. Dans une table à côté, Bear entendit quelqu’un parler de « tannasgeach » et là encore, il ne savait pas ce que ça pouvait bien vouloir dire. Il se promit de se mettre au gaélique… avec ses fils. Il jubile encore quand le jeune homme débarque et le salue cérémonieusement. Il le laisse débarrasser de ses affaires et jubile encore. Il finit par sourire comme un bienheureux. Trop heureux. Extatique. Comme Porter ? Mais Bear ne s’arrêta pas à savoir pourquoi son meilleur ami avait ce genre de faciès… La logique de Porter était bien trop compliqué pour celle de Bear. Leur amitié n’en était que plus étrange. Et le désir d’être toujours lié ensemble était un mystère.
- Je vais très bien Porter ! répondit-il avec un sourire radieux et plein de dent. Il faut que je te dise une nouvelle… incroyable… sur moi… Mais je ne vais pas pouvoir attendre que tu es commandé pour ça….
Il prit une photo et la tendit. On pouvait voir Bear en train de se battre comme un père avec ses enfants, mais avec deux adolescents, sur la photo ils avaient 14 ans… Porter avait déjà dû entendre parler de Léo et de Cole. C’était les deux enfants dont il s’occupait dans une association qui s’appeler « le grand frère » et qui mettait en relation des adultes travailleurs et sains (pas Porter quoi :p) avec des enfants qui avaient besoin d’une bonne image fraternelle. Il laisse Porter regardait avant de craquer en souriant.
- JE SUIS PAPA ! J’ai eu le droit de les adopter depuis quelques mois ! Ils sont officiellement mes fils ! Léo et Cole, tu te souviens d’eux, j’ai déjà dû t’en parler. Ils sont devenus… et bien mes fils, donc.
Ainsi, voir les couples dans la rue, ça lui faisait un pincement au cœur qu’il cachait de tous. Il n’en avait parlé que rapidement avec Nadeem, mais il avait le regard d’un meilleur ami. Il n’en avait jamais parlé à Porter, qui tomberait certainement dans les pommes à connaître la durée de son abstinence forcé (mais qui ne le gêne pas, donc). Depuis trois jours, il devait faire les déplacements dans la ville en transport en commun. L’odeur de renfermé, de sueur, de désodorisants variés et souvent bons marchés collés à sa peau comme une protection. Il fallait toujours y rajouter les parfums, parfois meilleurs marché mais qui ne pouvait pas faire de miracle, et Bear se retrouvait avec une migraine. Il avait l’impression d’être moite à chaque fois qu’il prenait les transports et réussissait à s’en extirper, sa taille n’aidant pas à être bien perçu par les usagers. Il avait l’impression d’être lasse. Puis, il prit une grande respiration et pouvait repartir du bon pied sous le ciel qui menaçait de déverser ses eaux de printemps. La pluie accompagnait toujours les changements de saisons, comme s’il était impossible pour le temps de rester constant, ou de changer d’un coup. Le temps menaçait, effrayait les enfants et les mères d’un orage qui pourrait éclater, mais ne le faisait pas. C’était un moment charnier, qu’il fallait traverser avec le plus de bonnes ondes possibles. Et Bear comptait bien en avoir à revendre !
Dans son sac à dos, il avait tout ce qu’il faut pour ne pas faire étrange au milieu de la noblesse d’Edimbourg. Même si Léo avait été blessé pendant une manifestation, tout allait pour le mieux dans sa vie. Lui n’était pas du tout au courant de l’histoire des piratages car, pour le moment, personne ne l’avait tenu au courant. Il n’en avait que le début de l’intrigue sans en avoir les aboutissements, mais ça ne le regardait, de toute façon, pas du tout.
Arrivé en avance dans le restaurant, il pu prendre le temps de se changer pour être convenablement habillé, mais sans prétention comme on le connait. Dans le lieu, la cinquième symphonie de Beethoven arrivait à calmer son esprit embrumé par les différentes situations. S’il avait demandé à Porter de venir, ce n’était pas pour s’appesantir sur l’accident de Léo, loin de là… Il devait lui parler de l’existence de Léo. Et de Cole. Se regardant dans la glace, vérifiant ses cheveux encore humides mais propre, il sourit. Il était devenu papa. Si ce n’était pas une bonne nouvelle, alors aucune ne méritait d’être dite aujourd’hui ! Il reparti à sa place et finit par demander la carte des vins. Il ne buvait pas d’alcool mais il en connaissait un qui ne se priverait pas, surtout que c’était lui qui aller régaler ! Il vérifia rapidement le plat du jour, Rumbledethumps… aucune idée de ce que ça pouvait être. Dans une table à côté, Bear entendit quelqu’un parler de « tannasgeach » et là encore, il ne savait pas ce que ça pouvait bien vouloir dire. Il se promit de se mettre au gaélique… avec ses fils. Il jubile encore quand le jeune homme débarque et le salue cérémonieusement. Il le laisse débarrasser de ses affaires et jubile encore. Il finit par sourire comme un bienheureux. Trop heureux. Extatique. Comme Porter ? Mais Bear ne s’arrêta pas à savoir pourquoi son meilleur ami avait ce genre de faciès… La logique de Porter était bien trop compliqué pour celle de Bear. Leur amitié n’en était que plus étrange. Et le désir d’être toujours lié ensemble était un mystère.
- Je vais très bien Porter ! répondit-il avec un sourire radieux et plein de dent. Il faut que je te dise une nouvelle… incroyable… sur moi… Mais je ne vais pas pouvoir attendre que tu es commandé pour ça….
Il prit une photo et la tendit. On pouvait voir Bear en train de se battre comme un père avec ses enfants, mais avec deux adolescents, sur la photo ils avaient 14 ans… Porter avait déjà dû entendre parler de Léo et de Cole. C’était les deux enfants dont il s’occupait dans une association qui s’appeler « le grand frère » et qui mettait en relation des adultes travailleurs et sains (pas Porter quoi :p) avec des enfants qui avaient besoin d’une bonne image fraternelle. Il laisse Porter regardait avant de craquer en souriant.
- JE SUIS PAPA ! J’ai eu le droit de les adopter depuis quelques mois ! Ils sont officiellement mes fils ! Léo et Cole, tu te souviens d’eux, j’ai déjà dû t’en parler. Ils sont devenus… et bien mes fils, donc.
(c) princessecapricieuse
« C’est... un Ours ! Certes, il semble être un ours très intelligent, | mais c'est quand même un ours ! Il n'a aucun concept de vengeance. » |
Pseudo : Pow
Avatar et crédit : Adam Levine - by Panic
CW : Sexe++, drogue, violence, alcool, racisme, et j'en passe !
Messages : 3280
Occupation : Bras droit dans le trafic - comptable sur les papiers
Âge : 44 Quartier : New Town
Situation familiale : Célibataire, dragueur invétéré
Date d'arrivée à Edimbourg : Hiver 2000
Don : Je ne crois pas aux dons ni au surnaturel
Tes sujets RP : Nadeem / Una / Eve / Victoria / Clement /
But if you like causing trouble up in hotel rooms
And if you like having secret little rendezvous
If you like to do the things you know that we shouldn't do
Then baby, I'm perfect
Baby, I'm perfect for you
Avatar et crédit : Adam Levine - by Panic
CW : Sexe++, drogue, violence, alcool, racisme, et j'en passe !
Messages : 3280
Occupation : Bras droit dans le trafic - comptable sur les papiers
Âge : 44 Quartier : New Town
Situation familiale : Célibataire, dragueur invétéré
Date d'arrivée à Edimbourg : Hiver 2000
Don : Je ne crois pas aux dons ni au surnaturel
Tes sujets RP : Nadeem / Una / Eve / Victoria / Clement /
But if you like causing trouble up in hotel rooms
And if you like having secret little rendezvous
If you like to do the things you know that we shouldn't do
Then baby, I'm perfect
Baby, I'm perfect for you
Conseils d'ami
bear & porter
« And if the birds are just all the words flying along, singing a song, what would they do ? If they just knew what they could do. »
Bear est tout le temps heureux, son sourire ne me surprend pas, et c'est probablement lié au fait qu'il a du prendre du bon temps avec une pute avant de venir ! Et qu'il ne doit pas savoir que la rumeur s'est répendue sur internet, a moins qu'il ne soit justement soulagé de ça, de pouvoir enfin vivre sa vie au grand jour ! Et peut être que ça n'atteignait pas la réputation de sa salle, bien au contraire. Justement, j'étais en train de me demander si les vestiaires n'avaient pas pu accueillir quelques ébats déjà. Quoi qu'il en soit, il était vraiment en forme et il me salua comme il se doit. Je n'étais pas étonné de cette nouvelle puisque je savais déja précisément ce qu'il allait dire, mais je ne pensais pas qu'il l'aborderait en premier. Bah, qu'il en soit, cela voulait dire qu'il n'éprouvait aucune gène a évoquer le sujet. J'étais déja assis avec la carte des vins mais il semblait très empressé. Je ne cherchais pas à reposer le menu, cherchant la bouteille la plus chère pour la commander illico presto, mais il me dérangea dans ma contemplation en me tendant une photo, que je commençais à examiner, les sourcils froncés.
Deux ados entouraient Bear. J'imaginais qu'il devait s'agir de deux jeunes prodiges de la boxe qu'il avait entrainé et mené à des championnats, mais je ne voyais pas en quoi j'en aurai quelque chose à foutre, ce n'était pas de ça dont j'avais envie de parler. Je m'appretais à le lui dire avant qu'il ne me devance encore une fois. Dès les premiers mots, j'éclatais d'un rire sonore qui fit se retourner plusieurs têtes, la plupart indignées d'être ainsi dérangées dans ce cadre de petits culs bien vernis. Je riais tellement que je cru que j'allais pleurer. "Ah bon sang Bear, c'est la meilleure que j'ai entendue de l'année, félicitations" dis-je entre deux fous rires. Je m'arrêtais brusquement quand je m'aperçus qu'il ne disait rien. Essuyant mes yeux à l'aide de la serviette dépliée de mon assiette, je repoussais la photographie vers lui. "Allons, depuis quand tu kidnappes des gamins toi ? Rends les à leurs vrais parents, qu'ils assument leur connerie. Bon, ça te va si je prend ce Chateau Lafite ? T'inquiète, je paie, parce que vraiment, tu m'as bien fait marrer". Je poussais un soupir pour évacuer tout cet amusement de mon corps. Cela avait été d'autant plus drôle que je n'étais pas habitué à ce genre d'idées de Bear. Je le savais extraverti mais à ce point ? Aller s'inventer père de deux blancs becs ? N'importe quoi ! J'avais déja assez d'un ami papa, je n'en voulais aucunement d'un deuxième.
Je désirais donc maintenant revenir sur un sujet plus sérieux et qui m'intéressait d'autant plus. Mon ami avait peut être tenté de camoufler le pot aux roses, mais je n'étais pas dupe, il ne m'aurait pas aussi facilement. Je m'appuyais donc un peu plus sur mes coudes pour le regarder d'un air taquin. "Alors comme ça, on se tape des putes ? Tu aurais pu me prévenir, j'ai des super contacts, elles ne t'auraient pas fait payer très cher si elles savaient que tu venais de moi". Je lui fis un clin d'oeil en me penchant encore un peu plus près. "Et ne nie pas, toute la ville est au courant tu sais ?". Et si moi je croyais la rumeur je n'étais sûrement pas le seul. Je me demandais bien l'avis de Nadeem tiens, il s'était sûrement étouffé avec son verre d'eau s'il avait appris de cette façon ce train de vie insoupçonné de notre ami commun.
(c) DΛNDELION
They say, "All good boys go to heaven"
But bad boys bring heaven to you
But bad boys bring heaven to you
- It's automatic
It's just what they do
It's just what they do
Pseudo : Mél
Avatar et crédit : Winston Duke - Crédit : Panic (4) Nuit d'orage (5) Dafydd (1)
Messages : 623
Occupation : Propriétaire d'une salle de boxe (Punch) et d'un défouloir (Purge) + professeur de boxe
Âge : 41 Quartier : Banlieu
Situation familiale : Célibataire. Père adoptif de deux ados de 16 ans.
Date d'arrivée à Edimbourg : 2008
Don : Il a le don de ressentir les mensonges et la vérité. Cependant, son don n'est pas infaillible parce qu'il prends en compte les émotions de la personne.
Tes sujets RP : (Dafydd et Joshua) + (Aizah et Maddox) + (Dafydd) + (Faith) + (Nadeem) + (Grace) + (Yadriel et Shohan) + (Angus) + (Lara) + (Ryan) + (Carlson) + (Charlene) + (Clement) + + (Rhéa) + (Violette) + Toi ?
Avatar et crédit : Winston Duke - Crédit : Panic (4) Nuit d'orage (5) Dafydd (1)
Messages : 623
Occupation : Propriétaire d'une salle de boxe (Punch) et d'un défouloir (Purge) + professeur de boxe
Âge : 41 Quartier : Banlieu
Situation familiale : Célibataire. Père adoptif de deux ados de 16 ans.
Date d'arrivée à Edimbourg : 2008
Don : Il a le don de ressentir les mensonges et la vérité. Cependant, son don n'est pas infaillible parce qu'il prends en compte les émotions de la personne.
Tes sujets RP : (Dafydd et Joshua) + (Aizah et Maddox) + (Dafydd) + (Faith) + (Nadeem) + (Grace) + (Yadriel et Shohan) + (Angus) + (Lara) + (Ryan) + (Carlson) + (Charlene) + (Clement) + + (Rhéa) + (Violette) + Toi ?
Conseils d'amis
Porter et Bear
Je suis papa !
Il était assez simple d’être heureux quand on avait toutes les raisons du monde de l’être. Même la pluie ne pourrait faire disparaître le bonheur qu’il avait dans son cœur. Il ne pouvait plus faire autrement que sourire… et la réaction de Porter, bien que loin d’être agréable pour le commun des mortels, le faisait rire lui aussi. Donc, comme Nadeem, il pense qu’il était devenu fou ? La réaction de son meilleur ami avait été assez épique… Il avait été proche d’appeler les hommes en blancs pour le coller dans un asile. Il était étonnant qu’il adopte deux enfants… Et Léo, celui qui ressemblait le plus à Porter dans une certaine mesure, adorait crier dans la rue un « PAPA » avant de se jeter sur lui pour choquer tout le monde. Cole, qui pourtant était plus sérieux, avait toujours du mal à cacher son petit sourire face aux visages déconfis des inconnus. Bear n’avait pas eu besoin à demander aux deux jeunes de se faire appeler papa. Dans leur cœur, il était déjà la présence paternelle qui les avait sauvé. Alors, il était simple de l’appeler papa, autant que Bear n’avait aucune gêne à les présenter comme ses fils… Mes deux crevettes blanches (l’une blonde, l’autre brune) ne ressemblaient clairement pas à l’homme de deux mètres. Il le laissa se calmer.
- Prends ce que tu veux, réponds Bear d’un sourire simple, pas du tout vexé du rire de son ami.
La chute n’en sera que plus grande, et sa tête plus épique encore. Il devrait réellement filmer ce genre de moment. Juste pour pouvoir le montrer à tout le monde par la suite.
- Ce sont mes fils, Porter, reprit-il avec ce petit sourire. Officiellement et avec tous les papiers qu’il faut.
Et ça, c’était la meilleure nouvelle de l’année, du siècle, voire même du millénaire. Après les avoir rencontré dans un cadre d’aide, Bear faisait le grand frère pour des enfants qui avaient besoin d’une personne pour leur montrer l’exemple, il avait décidé qu’il ne pourrait plus vivre sans eux dans sa famille. Ses parents étaient ravis d’avoir des petits fils et sa mère avait un bonheur encore plus grand de dire que le cœur avait gagné. Il laisse l’homme répondre mais fronce les sourcils de surprise quand il parle de… putes ? Qu’il se tape ? Il penche la tête sur le côté sans comprendre, totalement à l’ouest.
- Je ne vois pas du tout de quoi tu parles, avoua-t-il alors qu’on leur servi le vin comme il le fallait dans ce genre d’endroit où respirer devrait être payant, bien qu’il mit sa main sur son verre.
Lui, il n’avait aucune idée de cette histoire de hackers. Il lui avait déjà fallu des émeutes pour comprendre le premier pirate, mais il pensait cette histoire terminé depuis… Il n’était pas assez sur les réseaux sociaux. Cole, Léo et Samuel s’occupaient de faire vivre les entreprises sur internet avec des instagrams et autres réseaux, et ils ne demandaient surtout pas de l’aide à Bear qui n’y connaissait pas une bile. Il réfléchit, pose les yeux sur un enfant qui le regarde avec des grands yeux étonnés. L’enfant attrapa même la main de son père pour lui montre le « Mhorag ». Il connait ce mot. Avec « Artio » c’était deux mots que les enfants lui avaient déjà dit. Monstre, pour les plus peureux, et ours, pour les moins originales. Cela le fait sourire alors qu’il secoue la tête.
- Je ne me tape personne, Porter. Tu me connais mieux que ça, sourit-il sans être vexé par l’idée saugrenue de son ami, après tout Nadeem l’avait traité de fou, Porter pouvait bien le traiter de pervers, je suis en train de monter un nouveau projet, ça oui. Mais je n’ai jamais payé les services sexuels d’une femme.
Il sourit. Il savait très bien comment rendre fou Porter. Parce que sur ça, Porter et lui ne seront jamais d’accord. Et si Bear accepte sans soucis les dérives de son ami, Porter avait plus de mal à le comprendre.
- Je n’ai pas eu de relation sexuelle depuis Alisson, tu sais.
Donc, ça faisait environ… trois ans. Alisson l’a quitté en janvier 2021 et depuis il n’a eu aucune relation, ni amoureuse ni rien ! Et ça lui allait.
- Prends ce que tu veux, réponds Bear d’un sourire simple, pas du tout vexé du rire de son ami.
La chute n’en sera que plus grande, et sa tête plus épique encore. Il devrait réellement filmer ce genre de moment. Juste pour pouvoir le montrer à tout le monde par la suite.
- Ce sont mes fils, Porter, reprit-il avec ce petit sourire. Officiellement et avec tous les papiers qu’il faut.
Et ça, c’était la meilleure nouvelle de l’année, du siècle, voire même du millénaire. Après les avoir rencontré dans un cadre d’aide, Bear faisait le grand frère pour des enfants qui avaient besoin d’une personne pour leur montrer l’exemple, il avait décidé qu’il ne pourrait plus vivre sans eux dans sa famille. Ses parents étaient ravis d’avoir des petits fils et sa mère avait un bonheur encore plus grand de dire que le cœur avait gagné. Il laisse l’homme répondre mais fronce les sourcils de surprise quand il parle de… putes ? Qu’il se tape ? Il penche la tête sur le côté sans comprendre, totalement à l’ouest.
- Je ne vois pas du tout de quoi tu parles, avoua-t-il alors qu’on leur servi le vin comme il le fallait dans ce genre d’endroit où respirer devrait être payant, bien qu’il mit sa main sur son verre.
Lui, il n’avait aucune idée de cette histoire de hackers. Il lui avait déjà fallu des émeutes pour comprendre le premier pirate, mais il pensait cette histoire terminé depuis… Il n’était pas assez sur les réseaux sociaux. Cole, Léo et Samuel s’occupaient de faire vivre les entreprises sur internet avec des instagrams et autres réseaux, et ils ne demandaient surtout pas de l’aide à Bear qui n’y connaissait pas une bile. Il réfléchit, pose les yeux sur un enfant qui le regarde avec des grands yeux étonnés. L’enfant attrapa même la main de son père pour lui montre le « Mhorag ». Il connait ce mot. Avec « Artio » c’était deux mots que les enfants lui avaient déjà dit. Monstre, pour les plus peureux, et ours, pour les moins originales. Cela le fait sourire alors qu’il secoue la tête.
- Je ne me tape personne, Porter. Tu me connais mieux que ça, sourit-il sans être vexé par l’idée saugrenue de son ami, après tout Nadeem l’avait traité de fou, Porter pouvait bien le traiter de pervers, je suis en train de monter un nouveau projet, ça oui. Mais je n’ai jamais payé les services sexuels d’une femme.
Il sourit. Il savait très bien comment rendre fou Porter. Parce que sur ça, Porter et lui ne seront jamais d’accord. Et si Bear accepte sans soucis les dérives de son ami, Porter avait plus de mal à le comprendre.
- Je n’ai pas eu de relation sexuelle depuis Alisson, tu sais.
Donc, ça faisait environ… trois ans. Alisson l’a quitté en janvier 2021 et depuis il n’a eu aucune relation, ni amoureuse ni rien ! Et ça lui allait.
(c) princessecapricieuse
« C’est... un Ours ! Certes, il semble être un ours très intelligent, | mais c'est quand même un ours ! Il n'a aucun concept de vengeance. » |
Pseudo : Pow
Avatar et crédit : Adam Levine - by Panic
CW : Sexe++, drogue, violence, alcool, racisme, et j'en passe !
Messages : 3280
Occupation : Bras droit dans le trafic - comptable sur les papiers
Âge : 44 Quartier : New Town
Situation familiale : Célibataire, dragueur invétéré
Date d'arrivée à Edimbourg : Hiver 2000
Don : Je ne crois pas aux dons ni au surnaturel
Tes sujets RP : Nadeem / Una / Eve / Victoria / Clement /
But if you like causing trouble up in hotel rooms
And if you like having secret little rendezvous
If you like to do the things you know that we shouldn't do
Then baby, I'm perfect
Baby, I'm perfect for you
Avatar et crédit : Adam Levine - by Panic
CW : Sexe++, drogue, violence, alcool, racisme, et j'en passe !
Messages : 3280
Occupation : Bras droit dans le trafic - comptable sur les papiers
Âge : 44 Quartier : New Town
Situation familiale : Célibataire, dragueur invétéré
Date d'arrivée à Edimbourg : Hiver 2000
Don : Je ne crois pas aux dons ni au surnaturel
Tes sujets RP : Nadeem / Una / Eve / Victoria / Clement /
But if you like causing trouble up in hotel rooms
And if you like having secret little rendezvous
If you like to do the things you know that we shouldn't do
Then baby, I'm perfect
Baby, I'm perfect for you
Conseils d'ami
bear & porter
« And if the birds are just all the words flying along, singing a song, what would they do ? If they just knew what they could do. »
J’étais habitué aux bizarreries de mon ami. Bear était indubitablement drôle, surtout dans sa naïveté, mais j’avais appris à composer avec depuis le temps. Il n’empêche, cette blague là je ne m’y attendais pas du tout, d’ou ma crise de fou rire, devant laquelle il ne prend même pas la mouche d’ailleurs. Cela ne dure pas longtemps, vu qu’il ne l’alimente pas en ressortant une grosse énormité. Ceci dit, c’est peut être parce qu’il n’a pas envie qu’on nous regarde encore plus mal qu’on ne le fait déjà. N’empêche, je garde le sourire au coin des lèvres. Je vais le remettre droit dans la conversation dans quelques minutes, je peux donc bien lui laisser le plaisir de m’avoir bien eu quelques temps. « Très bien, on va prendre celui-ci » je ricane encore à moitié en reposant la carte après m’être assuré qu’un serveur ai bien vu que je souhaitais prendre commande.
Je suis sûr que la plaisanterie a dû mieux marcher avec Nadeem. Il avait dû regarder Bear avec tendresse et le féliciter chaudement d’avoir passé le cap que lui même avait passé en lui proposant d’organiser un diner avec les deux familles réunies, ou quelque chose dans ce goût là. Que Nathan me la soumette était plus surprenant, mais je ne lui en voulais pas. Evidemment, mon sourire se tordit en une barre de travers lorsqu’il insista, en me parlant de « ses fils » et de papiers. Je le regardais maintenant d’un drôle d’air. « Tes fils » répétais-je en haussant un sourcil. Tant qu’a faire, a prendre des gens comme tels, il aurait pu les choisir un peu plus ressemblants non ? Pas des gamins blonds à tête d’ange ! Bon d’accord, ils partageaient peut être cette tête d’ange, mais voilà tout ! « Et je suis censé te croire ? Depuis quand tu rêves de fonder une famille, toi ? ». L’idée même me dépassait. J’en avais un frisson d’horreur rien que d’y penser. Je connaissais le coeur d’artichaut de Bear et son extrème sensibilité mais de là à ça !
Evidemment par derrière, l’idée qu’il puisse combler ses désirs dans la chair de professionnelles paraissait totalement contradictoire mais tout de même bien plus réaliste à mes yeux. Pourtant, je vis et sentis bien à sa réponse qu’il ne comprenait pas ce que j’étais en train de lui dire. Il ne pouvait pas nier pourtant, les preuves étaient sorties, et Tom m’avait assuré qu’il ne s’agissait pas d’un photomontage. Ou alors il ne voulait pas en parler devant le serveur qui posa la bouteille à coté de nous avant de s’éloigner d’un pas lent pour aller voir une autre table. Pour preuve, j’en sortis mon propre téléphone pour le montrer à mon interlocuteur. « Regarde, là, c’est toi. Et ça, c’est une pute ». J’avais l’impression d’expliquer une leçon élémentaire à un gamin attardé. Sa réaction me surprit encore plus. En fait, c’était bien plus profond que ça ?! « Putain, me dit pas que t’envisages de devenir proxénète ! » criais-je un peu trop fort ce qui attira les regards courroucés ou choqués de nos voisins proches. Et ses deux « fils » servaient à rallier des femmes ? Bordel de merde, mais ça pouvait aller loin cette histoire ! Il avait sacrément bien caché son jeu ce petit salopard.
Je me jetais presque en arrière lorsqu’il avoua pour son abstinence. « Putain, Bear ! » m’exclamais-je une nouvelle fois sans m’excuser pour l’injure. « Mais il faut remédier à ça, on peut te trouver quelqu’un ». J’étais prêt à mettre en branle tous mes réseaux pour lui trouver quelqu’un de convenable et qui serait à son goût. Je connaissais même pas ses goûts. Mais s’il y avait bien quelqu’un pour qui je ne me faisais pas de soucis pour trouver une copine, c’était bien lui. S’il ne voulait pas de plan cul, très bien, de toute façon je ne le voyais pas coucher à droite à gauche (sauf éventuellement avec des prostituées manifestement). Au lieu d’aller essayer de se chercher des gamins au hasard, il pouvait commencer par là.
(c) DΛNDELION
They say, "All good boys go to heaven"
But bad boys bring heaven to you
But bad boys bring heaven to you
- It's automatic
It's just what they do
It's just what they do
Pseudo : Mél
Avatar et crédit : Winston Duke - Crédit : Panic (4) Nuit d'orage (5) Dafydd (1)
Messages : 623
Occupation : Propriétaire d'une salle de boxe (Punch) et d'un défouloir (Purge) + professeur de boxe
Âge : 41 Quartier : Banlieu
Situation familiale : Célibataire. Père adoptif de deux ados de 16 ans.
Date d'arrivée à Edimbourg : 2008
Don : Il a le don de ressentir les mensonges et la vérité. Cependant, son don n'est pas infaillible parce qu'il prends en compte les émotions de la personne.
Tes sujets RP : (Dafydd et Joshua) + (Aizah et Maddox) + (Dafydd) + (Faith) + (Nadeem) + (Grace) + (Yadriel et Shohan) + (Angus) + (Lara) + (Ryan) + (Carlson) + (Charlene) + (Clement) + + (Rhéa) + (Violette) + Toi ?
Avatar et crédit : Winston Duke - Crédit : Panic (4) Nuit d'orage (5) Dafydd (1)
Messages : 623
Occupation : Propriétaire d'une salle de boxe (Punch) et d'un défouloir (Purge) + professeur de boxe
Âge : 41 Quartier : Banlieu
Situation familiale : Célibataire. Père adoptif de deux ados de 16 ans.
Date d'arrivée à Edimbourg : 2008
Don : Il a le don de ressentir les mensonges et la vérité. Cependant, son don n'est pas infaillible parce qu'il prends en compte les émotions de la personne.
Tes sujets RP : (Dafydd et Joshua) + (Aizah et Maddox) + (Dafydd) + (Faith) + (Nadeem) + (Grace) + (Yadriel et Shohan) + (Angus) + (Lara) + (Ryan) + (Carlson) + (Charlene) + (Clement) + + (Rhéa) + (Violette) + Toi ?
Conseils d'amis
Porter et Bear
Je suis papa !
Bear devait l’avouer, ça le faisait sourire. Il trouvait cela adorable la réaction de ses amis sur la nouvelle. Si Nadeem avait été bien plus choqué d’apprendre que Bear était riche et possédé un manoir, Porter le savait déjà… Porter, lui, avait un mal fou à se faire à l’idée que son ours d’amis avait eu l’idée de se reproduire en adoptant deux bébés ours. Il rigole un peu.
- J’en rêve depuis un petit moment. En réalité, on avait commencé à en parler avec Alisson avant qu’elle ne me quitte.
Alisson l’avait quitté parce que Bear lui avait pardonné qu’elle était allé voir ailleurs. Bien sûr, la fidélité étant un sujet particulièrement compliqué avec Porter, Bear ne s’y attardait pas dessus. Porter savait ce que Bear pensait et vice versa. Il n’y avait pas besoin de plus.
- Et je m’occupe des deux jeunes depuis leur douze ans. Je n’avais juste pas le droit de les avoir sous ma tutelle avant.
Il laisse le temps à son ami de réfléchir à tout ça. Bear avait forcément déjà parlé de Léo et de Cole à Porter, même si ce n’était que pour dire qu’il allait prendre les deux enfants d’un foyer pour aller dans un parc d’attraction, ou qu’il aidait aux devoir des jeunes en comptabilité et qu’il y comprenait pas une blinde… alors même qu’il savait faire la comptabilité de sa propre entreprise, et oui. Il prend la photo sur la deuxième discussion plus étrange et énigmatique que la première selon Bear et il penche la tête.
- En effet, c’est moi. Et, oui, c’est une prostituée.
Là, il ne pouvait pas dire l’inverse. Elle s’appelait Kayla et elle avait vingt-trois ans. Elle avait un fils qui n’avait plus de père, il s’était cassé comme un petit enfoiré en la laissant seule. Elle avait sa mère qui s’occupait de son fils, mais avec difficulté et elle n’avait trouvé que ce métier de chair pour pouvoir subvenir au besoin de sa famille. Elle avait envie de devenir comptable, elle, ce qui avait donc fait rire Bear sans difficulté quand il avait expliqué que c’était sa bête noir, bleu et même verte tellement qu’il abhorrait cette partie d’une entreprise. Il sursaute à la question de son ami et éclate de rire.
- Quoi ? Mais non ! J’aimerais ouvrir une boîte de strip-tease, qu’il annonce comme s’il n’était pas en train de dire un changement énorme dans ses habitudes. Il y aurait des chambres seulement pour que les femmes puissent dormir au lieu d’être dans la rue, elles seront bien payés et avec une obligation de faire des études ou une formation pour partir de cette situation ! Et la prostitution sera interdit !
Enfin, interdit. Elles font bien ce qu’elles veulent avec leur cul…. Mais en tout cas, ça ne sera pas une boîte où l’on proposera de la prostitution, et elles ne devront pas le faire dans la chambre mise à disposition pour elles. Il faudra juste faire des shows dans l’espoir de se casser. En gros, toutes les personnes qui apprécient les femmes dénudés qui se déhanchent, mais qui sont respectueux de ses mêmes femmes qui se déhanchent, seront des clients que Bear savait pouvoir fidéliser. Il ne voyait pas ses entreprises comme tout le monde. Pour lui, il n’y avait pas besoin de profit mais de mise à l’équilibre. Et puis, quiconque essayera de le prendre pour un proxénète pourra demander à Porter ce qu’il en pense. Il sourit. Trois ans sans coucher avec personne, ni même se caresser… Il rigole.
- Tu sais bien que je ne couche pas sans être en couple et amoureux. Et j’ai compris que mon caractère est incompatible avec une relation amoureuse. Je suis trop gentil.
Il était gentil avec tout le monde, pareillement. Alisson lui avait dit l’avoir quitté parce qu’elle ne pensait pas être exceptionnelle à ses yeux. Bien sûr que si. Il serait polygame s’il avait aimé plus d’une femme comme il l’avait aimé elle… Bref.
- Pas besoin d’amour avec le grand A quand j’ai le petit a qui me suffit amplement. Tu l’as eu où cette photo ?
- J’en rêve depuis un petit moment. En réalité, on avait commencé à en parler avec Alisson avant qu’elle ne me quitte.
Alisson l’avait quitté parce que Bear lui avait pardonné qu’elle était allé voir ailleurs. Bien sûr, la fidélité étant un sujet particulièrement compliqué avec Porter, Bear ne s’y attardait pas dessus. Porter savait ce que Bear pensait et vice versa. Il n’y avait pas besoin de plus.
- Et je m’occupe des deux jeunes depuis leur douze ans. Je n’avais juste pas le droit de les avoir sous ma tutelle avant.
Il laisse le temps à son ami de réfléchir à tout ça. Bear avait forcément déjà parlé de Léo et de Cole à Porter, même si ce n’était que pour dire qu’il allait prendre les deux enfants d’un foyer pour aller dans un parc d’attraction, ou qu’il aidait aux devoir des jeunes en comptabilité et qu’il y comprenait pas une blinde… alors même qu’il savait faire la comptabilité de sa propre entreprise, et oui. Il prend la photo sur la deuxième discussion plus étrange et énigmatique que la première selon Bear et il penche la tête.
- En effet, c’est moi. Et, oui, c’est une prostituée.
Là, il ne pouvait pas dire l’inverse. Elle s’appelait Kayla et elle avait vingt-trois ans. Elle avait un fils qui n’avait plus de père, il s’était cassé comme un petit enfoiré en la laissant seule. Elle avait sa mère qui s’occupait de son fils, mais avec difficulté et elle n’avait trouvé que ce métier de chair pour pouvoir subvenir au besoin de sa famille. Elle avait envie de devenir comptable, elle, ce qui avait donc fait rire Bear sans difficulté quand il avait expliqué que c’était sa bête noir, bleu et même verte tellement qu’il abhorrait cette partie d’une entreprise. Il sursaute à la question de son ami et éclate de rire.
- Quoi ? Mais non ! J’aimerais ouvrir une boîte de strip-tease, qu’il annonce comme s’il n’était pas en train de dire un changement énorme dans ses habitudes. Il y aurait des chambres seulement pour que les femmes puissent dormir au lieu d’être dans la rue, elles seront bien payés et avec une obligation de faire des études ou une formation pour partir de cette situation ! Et la prostitution sera interdit !
Enfin, interdit. Elles font bien ce qu’elles veulent avec leur cul…. Mais en tout cas, ça ne sera pas une boîte où l’on proposera de la prostitution, et elles ne devront pas le faire dans la chambre mise à disposition pour elles. Il faudra juste faire des shows dans l’espoir de se casser. En gros, toutes les personnes qui apprécient les femmes dénudés qui se déhanchent, mais qui sont respectueux de ses mêmes femmes qui se déhanchent, seront des clients que Bear savait pouvoir fidéliser. Il ne voyait pas ses entreprises comme tout le monde. Pour lui, il n’y avait pas besoin de profit mais de mise à l’équilibre. Et puis, quiconque essayera de le prendre pour un proxénète pourra demander à Porter ce qu’il en pense. Il sourit. Trois ans sans coucher avec personne, ni même se caresser… Il rigole.
- Tu sais bien que je ne couche pas sans être en couple et amoureux. Et j’ai compris que mon caractère est incompatible avec une relation amoureuse. Je suis trop gentil.
Il était gentil avec tout le monde, pareillement. Alisson lui avait dit l’avoir quitté parce qu’elle ne pensait pas être exceptionnelle à ses yeux. Bien sûr que si. Il serait polygame s’il avait aimé plus d’une femme comme il l’avait aimé elle… Bref.
- Pas besoin d’amour avec le grand A quand j’ai le petit a qui me suffit amplement. Tu l’as eu où cette photo ?
(c) princessecapricieuse
« C’est... un Ours ! Certes, il semble être un ours très intelligent, | mais c'est quand même un ours ! Il n'a aucun concept de vengeance. » |
Pseudo : Pow
Avatar et crédit : Adam Levine - by Panic
CW : Sexe++, drogue, violence, alcool, racisme, et j'en passe !
Messages : 3280
Occupation : Bras droit dans le trafic - comptable sur les papiers
Âge : 44 Quartier : New Town
Situation familiale : Célibataire, dragueur invétéré
Date d'arrivée à Edimbourg : Hiver 2000
Don : Je ne crois pas aux dons ni au surnaturel
Tes sujets RP : Nadeem / Una / Eve / Victoria / Clement /
But if you like causing trouble up in hotel rooms
And if you like having secret little rendezvous
If you like to do the things you know that we shouldn't do
Then baby, I'm perfect
Baby, I'm perfect for you
Avatar et crédit : Adam Levine - by Panic
CW : Sexe++, drogue, violence, alcool, racisme, et j'en passe !
Messages : 3280
Occupation : Bras droit dans le trafic - comptable sur les papiers
Âge : 44 Quartier : New Town
Situation familiale : Célibataire, dragueur invétéré
Date d'arrivée à Edimbourg : Hiver 2000
Don : Je ne crois pas aux dons ni au surnaturel
Tes sujets RP : Nadeem / Una / Eve / Victoria / Clement /
But if you like causing trouble up in hotel rooms
And if you like having secret little rendezvous
If you like to do the things you know that we shouldn't do
Then baby, I'm perfect
Baby, I'm perfect for you
Conseils d'ami
bear & porter
« And if the birds are just all the words flying along, singing a song, what would they do ? If they just knew what they could do. »
Je dois avouer que je suis estomaqué par le sérieux de mon ami. C’est qu’il ne plaisante pas ce con ! Il a véritablement décidé d’adopter deux gosses… même pas un, deux ! Mais qu’est-ce qu’il allait en faire au juste ? Les exploiter dans sa salle de boxe ? Entre nous soit dit, s’il y avait bien quelqu’un dont je ne niais pas les qualités parentales, c’était bien Bear. Il aurait été le premier de la bande à avoir des mioches que je n’en aurais pas été étonné. Heureusement, ou malheureusement pour lui, Alisson l’avait plaqué avant que ça n’arrive. Et encore, avec ces deux là, je l’aurais plutôt vu endosser un rôle de grand frère, ou de mentor. Mais là, la situation paraissait tellement irréaliste, et lui si convaincu de sa normalité, que j’étais en train de me demander s’il n’avait simplement pas pris un coup derrière la tête durant l’entrainement. « Mais enfin, Bear, c’est autre chose de *pas joli mot en noir*niquer avec sa meuf pour avoir des rejetons que d’adopter deux petites frappes ! » sifflais-je férocement en me penchant vers lui par dessus la table, serrant le manche de ma fourchette dans ma paume. Il s’entendait, au moins ? Est-ce qu’il avait fait ça uniquement parce qu’il avait eu pitié des deux délinquants, ou y avait-il une raison sous-jaccente ? Par exemple, tout léguer à des héritiers parce qu’il venait d’apprendre qu’il ne lui restait que deux mois à vivre ? J’en lâchais la fourchette, elle m’avait fait une marque profonde dans le creux de la main. Bear mourrant…
En même temps, cela expliquait pourquoi il se payait des putes. Profiter de sa vie avant de mourir, ça c’était une philosophie que je partageais à 100 % et j’étais prêt à lui servir de guide dans cette voie. D’ailleurs, quand je lui montrais la photographie il ne chercha pas à me contredire. Cachant mal ma jubilation, je m’agitais sur mon siège en poussant un sifflement admiratif. « Ohlala qui l’eut cru ? ». J’accompagnais ma remarque d’un clin d’oeil appuyé. Bon, je m’étais un peu mépris sur ses intentions, mais ouvrir une boite de striptease, je trouvais que c’était une très bonne idée également. Je me voyais déjà en profiter allègrement, avec un bon prix cela va sans dire. Aussi, quand il précisa sa pensée, je fis littéralement un bon en arrière, m’accrochant de justesse à la table ce qui évita également que mon fauteil ne se renverse. « Hein ?! » Je m’efforçais de me reprendre, mais cette révélation me faisait grincer des dents. Mais d’ou sortait-il toutes ces idées de merde ? « Honnêtement, dis-moi, j’espère que tu fais pas tout ça uniquement pour donner un sens à ta vie ? Est-ce que tu es malade ? Y’a un truc qui a pété dans ton cerveau et tu as pas de traitement pour prolonger ton espérance de vie que tu souhaites en profiter ? » Cela aurait tout expliqué, non ?
Je n’avais même plus faim. Bear m’étonnerait toujours, mais là, il avait vraiment tout donné. Pour un peu, il me clouait le bec. Je ne savais même pas si l’idée était réalisable. Ni même si cela pouvait impacter la clientèle du réseau. Ca, c’était évidemment hors de question, mais je ne pouvais pas lui faire comprendre. « Et c’est pour ça que tu vas voir ces nanas ? Pour les recruter ? » demandais-je, presque incrédule. Jusqu’a maintenant, l’information n’était pas remontée à mes oreilles, pourtant, je l’aurai sû si une des putes du réseau avait été approchée pour la convaincre de quitter son job pour en accepter un autre. Il était sans doute impacté par sa situation personnelle. Qu’il n’ait pas couché depuis trois ans était franchement… triste. « Y’a surement des meufs qui aiment les très gentils » contrais-je même si à vrai dire, je n’en avais aucune idée. Je ne me considérais pas comme quelqu’un de « très gentil » pourtant j’avais été maqué à Nicole pendant treize ans, comme quoi, sa théorie se tenait peut être. « Ca a fuité sur internet. T’es pas au courant ? ». Je quittais l’application de photos pour me rendre sur les pages google liées à l’évènement qui faisait la une ces derniers jours et en fit défiler certaines devant ses yeux. Si j’avais été moi même prompt à croire cette rumeur qui à présent me paraissait presque irréaliste, alors la moitié de la population édimbourgeoise arriverait aux mêmes conclusions. Ce qui accélèrerait probablement le processus de création d’entreprise de Bear. Avec le financement et les moyens, rien n’arrêterait la machine. « Et dire que moi, j’avais émis l’idée d’ouvrir un bar » soufflais-je presque pensivement.
(c) DΛNDELION
They say, "All good boys go to heaven"
But bad boys bring heaven to you
But bad boys bring heaven to you
- It's automatic
It's just what they do
It's just what they do
Pseudo : Mél
Avatar et crédit : Winston Duke - Crédit : Panic (4) Nuit d'orage (5) Dafydd (1)
Messages : 623
Occupation : Propriétaire d'une salle de boxe (Punch) et d'un défouloir (Purge) + professeur de boxe
Âge : 41 Quartier : Banlieu
Situation familiale : Célibataire. Père adoptif de deux ados de 16 ans.
Date d'arrivée à Edimbourg : 2008
Don : Il a le don de ressentir les mensonges et la vérité. Cependant, son don n'est pas infaillible parce qu'il prends en compte les émotions de la personne.
Tes sujets RP : (Dafydd et Joshua) + (Aizah et Maddox) + (Dafydd) + (Faith) + (Nadeem) + (Grace) + (Yadriel et Shohan) + (Angus) + (Lara) + (Ryan) + (Carlson) + (Charlene) + (Clement) + + (Rhéa) + (Violette) + Toi ?
Avatar et crédit : Winston Duke - Crédit : Panic (4) Nuit d'orage (5) Dafydd (1)
Messages : 623
Occupation : Propriétaire d'une salle de boxe (Punch) et d'un défouloir (Purge) + professeur de boxe
Âge : 41 Quartier : Banlieu
Situation familiale : Célibataire. Père adoptif de deux ados de 16 ans.
Date d'arrivée à Edimbourg : 2008
Don : Il a le don de ressentir les mensonges et la vérité. Cependant, son don n'est pas infaillible parce qu'il prends en compte les émotions de la personne.
Tes sujets RP : (Dafydd et Joshua) + (Aizah et Maddox) + (Dafydd) + (Faith) + (Nadeem) + (Grace) + (Yadriel et Shohan) + (Angus) + (Lara) + (Ryan) + (Carlson) + (Charlene) + (Clement) + + (Rhéa) + (Violette) + Toi ?
Conseils d'amis
Porter et Bear
Je suis papa !
Bear lance un regard vers Porter, avec une moue heureuse et réjoui. Il aimait surprendre ses amis de ses idées un peu sorties de nulle part. Il n’allait pas mentir, le fait de surprendre son ami faisait des deux ou trois raisons qui faisaient qu’il ne l’avait pas dit avant que tout cela soit totalement validées par l’état.
- Mes deux petites frappes qui sont devenus mes fils, fit-il fièrement. Porter, je t’adore comme un frère, mais tu vis une vie différente de la mienne, tu le sais. Toi et moi, on s’entend par un miracle étrange.
C’est vrai. Porter et Nadeem étaient ses meilleurs amis… mais Bear avait bien plus d’atome crochu avec Nadeem. Pourtant, il aimait Porter. Porter aimait les femmes, le sexe, l’alcool, l’insouciance. Bear n’aimait pas tout ça. Heureusement pour leur amitié Bear ne le savait pas pour la méchanceté et la cruauté que Porter accepter dans son organisation. Bear était bien plus pur que ce que ne l’était Porter, pourtant c’était à son ami à qui on donnerait le bon Dieu sans confession, quand lui avait le droit d’un regard inquiet des inconnus. Bear avait fini par accepter ça. Deux mètres pour cent kilos, noir de peau et venant sans pression parler aux gens, il avait de quoi déconcerté, et il l’acceptait. Quand Porter est ses 50 kilos tout mouillé ne pouvait pas test. Enfin, il savait qu’il était un peu plus lourd que cinquante, mais pour le bien de l’expression, Bear n’avouerait. La réaction sur son nouveau projet est digne de sa réaction sur ses enfants, et Bear en sourit avec la douceur qui le caractérise.
- Le sens de ma vie, Porter, c’est d’aider les autres. Tu me connais depuis le temps. J’ai simplement réalisé de plus en plus que je pouvais apporter plus, plus aux personnes dans la rue qui meurt de fin, plus aux filles qui pleurent dans mes bras de ce qu’elles doivent faire dans la rue. Porter, je sais que tu as des partenaires consentantes pour tes actes sexuelles, mais elles ne le sont pas toutes. J’en ai hébergé plusieurs dans un état qui ne mérite pas d’être décrit pour le bien de la censure.
Il montre la femme sur la photo.
- Elle est mineure. Je ne peux pas laisser une personne en détresse devant mes yeux, savoir que je peux l’aider et ne rien faire. Et je ne suis pas le genre d’hypocrite qui va fermer les yeux sur le malheur.
BON. Il fermait les yeux sur le malheur du monde. Mais sans les fermer complètement. Il avait juste choisi de travailler sur ce qu’il pouvait toucher, approché, discuter avec. Il avait prit tellement de personnes sous son aile, voulant les aider à sortir de la rue et des bas-fond de leur esprit, qu’il avait peur de ne plus avoir de place sous ses plumes pour les protéger tous. Alors, il prenait ses fils dans son jupon –et l’idée de Bear avec une robe pouvait faire sourire- et il ferait en sorte de protéger les autres en créant une place sécurisé pour les personnes dans le besoin. C’était Veikko qui lui avait fait comprendre tout ça. C’était Veikko qui lui avait donné l’idée. Veikko qui avait disparu depuis. Il sourit encore.
- Je ne vais pas les voir, je tombe dessus. Je leur parle. Plusieurs m’ont dit être heureuse de leur sort, et je ne juge pas. D’autres simplement ne pas vouloir faire autres choses, même si elles n’apprécient pas le travail. Je ne force en rien, je propose une solution alternative et dans la bienveillance et le respect.
Il secoua la tête avant de poser sa tête sur ses deux mains liées. Il réfléchit aux trois phrases de Porter en même temps. Porter ne devrait pas être surpris des actions de Bear. Le noir avait toujours pris son temps pour faire des évènements caritatives, donner de l’argent, prévoir un marathon ou une collecte de fond. Il faisait venir les sans-abri dans sa salle de sport quand il avait l’autorisation de l’état. Il faisait en sorte de les aider, au maximum. Quand on connaissait Bear, il n’était pas étonnant qu’on voie en lui un homme qui voulait donner du temps et de sa personne à aider. Bon… Après l’ouverture de Peacock, il ne voit pas réellement ce qu’il pourrait faire de plus, mais c’était déjà le projet en cours.
- Porter, les femmes ne veulent pas de moi pour être en couple. Et je ne me vois pas coucher sans amour. Je sais que ce n’est pas la même chose pour toi, mais je ne peux simplement pas. Je n’en ressens pas le besoin ou l’envie. Je vois une femme et je peux la trouver belle, mais rien ne s’éveille en moi.
Pareil pour les hommes, mais Bear s’était posé la question sur son homosexualité à l’école, jusqu’à comprendre sa demi-sexualité. Il observe le site et sourit avec toutes ses dents blancs. Pour Bear, ce n’était pas un problème, alors même que l’on pourrait penser à l’inverse.
- Les gens peuvent penser ce qu’ils veulent, je sais pour qui je fais tout ça. Les femmes avec qui j’ai parlé, et plusieurs hommes, savent ce que je veux faire. Je te proposerais bien d’ouvrir un bar avec moi, mais j’aurais peur de t’étriper si tu venais à coucher avec toutes tes collègues au lieu de travailler, rit-il.
Surtout, c’était une règle dans l’amitié, avec Porter comme Nadeem, ne jamais être associé. S’il comptait donner de l’argent, sans le dire à Nadeem, pour aider à l’ouverture de la galerie, il ne comptait pas s’en mêler ou y être lié. Bear montra son soda avant de lui tendre.
- Je t’aiderais à l’ouvrir si tu le désir, je commence à devenir un pro pour les démarches administratives relatif à l’ouverture d’une nouvelle structure en ville !
Bien sûr, il l'aidera si c'est légal. Mais ça, Bear n'y pense même pas. Il ne pense pas son ami assez cruel et méchant pour être un homme sans foi ni loi. Bear ne devait jamais l'apprendre. Parce que ça lui briserait le coeur et qu'il ne sait pas comment il pourrait lui pardonner à continuer la vilénie. Bear voulait rajouter du bonheur et de la joie dans ce monde... Il ne pourrait supporter un ami qui en rajoute de la noirceur.
- Mes deux petites frappes qui sont devenus mes fils, fit-il fièrement. Porter, je t’adore comme un frère, mais tu vis une vie différente de la mienne, tu le sais. Toi et moi, on s’entend par un miracle étrange.
C’est vrai. Porter et Nadeem étaient ses meilleurs amis… mais Bear avait bien plus d’atome crochu avec Nadeem. Pourtant, il aimait Porter. Porter aimait les femmes, le sexe, l’alcool, l’insouciance. Bear n’aimait pas tout ça. Heureusement pour leur amitié Bear ne le savait pas pour la méchanceté et la cruauté que Porter accepter dans son organisation. Bear était bien plus pur que ce que ne l’était Porter, pourtant c’était à son ami à qui on donnerait le bon Dieu sans confession, quand lui avait le droit d’un regard inquiet des inconnus. Bear avait fini par accepter ça. Deux mètres pour cent kilos, noir de peau et venant sans pression parler aux gens, il avait de quoi déconcerté, et il l’acceptait. Quand Porter est ses 50 kilos tout mouillé ne pouvait pas test. Enfin, il savait qu’il était un peu plus lourd que cinquante, mais pour le bien de l’expression, Bear n’avouerait. La réaction sur son nouveau projet est digne de sa réaction sur ses enfants, et Bear en sourit avec la douceur qui le caractérise.
- Le sens de ma vie, Porter, c’est d’aider les autres. Tu me connais depuis le temps. J’ai simplement réalisé de plus en plus que je pouvais apporter plus, plus aux personnes dans la rue qui meurt de fin, plus aux filles qui pleurent dans mes bras de ce qu’elles doivent faire dans la rue. Porter, je sais que tu as des partenaires consentantes pour tes actes sexuelles, mais elles ne le sont pas toutes. J’en ai hébergé plusieurs dans un état qui ne mérite pas d’être décrit pour le bien de la censure.
Il montre la femme sur la photo.
- Elle est mineure. Je ne peux pas laisser une personne en détresse devant mes yeux, savoir que je peux l’aider et ne rien faire. Et je ne suis pas le genre d’hypocrite qui va fermer les yeux sur le malheur.
BON. Il fermait les yeux sur le malheur du monde. Mais sans les fermer complètement. Il avait juste choisi de travailler sur ce qu’il pouvait toucher, approché, discuter avec. Il avait prit tellement de personnes sous son aile, voulant les aider à sortir de la rue et des bas-fond de leur esprit, qu’il avait peur de ne plus avoir de place sous ses plumes pour les protéger tous. Alors, il prenait ses fils dans son jupon –et l’idée de Bear avec une robe pouvait faire sourire- et il ferait en sorte de protéger les autres en créant une place sécurisé pour les personnes dans le besoin. C’était Veikko qui lui avait fait comprendre tout ça. C’était Veikko qui lui avait donné l’idée. Veikko qui avait disparu depuis. Il sourit encore.
- Je ne vais pas les voir, je tombe dessus. Je leur parle. Plusieurs m’ont dit être heureuse de leur sort, et je ne juge pas. D’autres simplement ne pas vouloir faire autres choses, même si elles n’apprécient pas le travail. Je ne force en rien, je propose une solution alternative et dans la bienveillance et le respect.
Il secoua la tête avant de poser sa tête sur ses deux mains liées. Il réfléchit aux trois phrases de Porter en même temps. Porter ne devrait pas être surpris des actions de Bear. Le noir avait toujours pris son temps pour faire des évènements caritatives, donner de l’argent, prévoir un marathon ou une collecte de fond. Il faisait venir les sans-abri dans sa salle de sport quand il avait l’autorisation de l’état. Il faisait en sorte de les aider, au maximum. Quand on connaissait Bear, il n’était pas étonnant qu’on voie en lui un homme qui voulait donner du temps et de sa personne à aider. Bon… Après l’ouverture de Peacock, il ne voit pas réellement ce qu’il pourrait faire de plus, mais c’était déjà le projet en cours.
- Porter, les femmes ne veulent pas de moi pour être en couple. Et je ne me vois pas coucher sans amour. Je sais que ce n’est pas la même chose pour toi, mais je ne peux simplement pas. Je n’en ressens pas le besoin ou l’envie. Je vois une femme et je peux la trouver belle, mais rien ne s’éveille en moi.
Pareil pour les hommes, mais Bear s’était posé la question sur son homosexualité à l’école, jusqu’à comprendre sa demi-sexualité. Il observe le site et sourit avec toutes ses dents blancs. Pour Bear, ce n’était pas un problème, alors même que l’on pourrait penser à l’inverse.
- Les gens peuvent penser ce qu’ils veulent, je sais pour qui je fais tout ça. Les femmes avec qui j’ai parlé, et plusieurs hommes, savent ce que je veux faire. Je te proposerais bien d’ouvrir un bar avec moi, mais j’aurais peur de t’étriper si tu venais à coucher avec toutes tes collègues au lieu de travailler, rit-il.
Surtout, c’était une règle dans l’amitié, avec Porter comme Nadeem, ne jamais être associé. S’il comptait donner de l’argent, sans le dire à Nadeem, pour aider à l’ouverture de la galerie, il ne comptait pas s’en mêler ou y être lié. Bear montra son soda avant de lui tendre.
- Je t’aiderais à l’ouvrir si tu le désir, je commence à devenir un pro pour les démarches administratives relatif à l’ouverture d’une nouvelle structure en ville !
Bien sûr, il l'aidera si c'est légal. Mais ça, Bear n'y pense même pas. Il ne pense pas son ami assez cruel et méchant pour être un homme sans foi ni loi. Bear ne devait jamais l'apprendre. Parce que ça lui briserait le coeur et qu'il ne sait pas comment il pourrait lui pardonner à continuer la vilénie. Bear voulait rajouter du bonheur et de la joie dans ce monde... Il ne pourrait supporter un ami qui en rajoute de la noirceur.
(c) princessecapricieuse
« C’est... un Ours ! Certes, il semble être un ours très intelligent, | mais c'est quand même un ours ! Il n'a aucun concept de vengeance. » |
Pseudo : Pow
Avatar et crédit : Adam Levine - by Panic
CW : Sexe++, drogue, violence, alcool, racisme, et j'en passe !
Messages : 3280
Occupation : Bras droit dans le trafic - comptable sur les papiers
Âge : 44 Quartier : New Town
Situation familiale : Célibataire, dragueur invétéré
Date d'arrivée à Edimbourg : Hiver 2000
Don : Je ne crois pas aux dons ni au surnaturel
Tes sujets RP : Nadeem / Una / Eve / Victoria / Clement /
But if you like causing trouble up in hotel rooms
And if you like having secret little rendezvous
If you like to do the things you know that we shouldn't do
Then baby, I'm perfect
Baby, I'm perfect for you
Avatar et crédit : Adam Levine - by Panic
CW : Sexe++, drogue, violence, alcool, racisme, et j'en passe !
Messages : 3280
Occupation : Bras droit dans le trafic - comptable sur les papiers
Âge : 44 Quartier : New Town
Situation familiale : Célibataire, dragueur invétéré
Date d'arrivée à Edimbourg : Hiver 2000
Don : Je ne crois pas aux dons ni au surnaturel
Tes sujets RP : Nadeem / Una / Eve / Victoria / Clement /
But if you like causing trouble up in hotel rooms
And if you like having secret little rendezvous
If you like to do the things you know that we shouldn't do
Then baby, I'm perfect
Baby, I'm perfect for you
Conseils d'ami
bear & porter
« And if the birds are just all the words flying along, singing a song, what would they do ? If they just knew what they could do. »
On ne pouvait effectivement pas faire plus différentes que les vies de Bear, Nadeem et moi. Pour rien au monde je n’aurai évidemment échangé ma place avec l’un d’entre eux. Je trouvais que les choix de mon ami étaient complètement irréalistes mais je n’étais jamais parvenu à le faire changer d’avis depuis le temps qu’on se connaissait. A mon humble avis, il s’en mordrait les doigts bien assez tôt et regretterai d’avoir pris une décision aussi stupide qui ruinerait probablement à terme sa vie. Deux ados ! Non, décidemment, je ne m’en remettais pas. D’ailleurs, si c’était moi qui avait eu cette idée saugrenue, je crois que Bear aurait réagi de la même façon, avec incrédulité. Afin de faire passer la pilule, je ne répondis rien et avalait d’un grand trait mon verre de vin pour me remettre les idées en place. La nouvelle situation de mon ami ne m’empêcherait probablement pas de continuer à le cotoyer, mais il n’était pas question que ce soit en présence de ces deux énergumènes. Un peu comme les mioches de Nadeem en quelque sorte : moins je les voyais et moins j’entendais parler d’elles, mieux je me portais. « En tout cas, félicitation, tu m’as cloué le bec » concluais-je, pas vraiment fier de cet aveu.
Je n’étais pas au bout de mes surprises avec la suite. Debout, j’aurai exigé de pouvoir m’assoir afin de digérer les nouvelles. Depuis combien de temps n’avais-je pas vu mon ami ? Si longtemps pour qu’il décide soudainement de changer à ce point de vie ? A cet instant, il m’aurait vraiment fallu un bon joint. Voire quelque chose de plus fort. Peut être que je pouvais m’éclipser quelques instants aux toilettes pour me sniffer une ligne et revenir comme si de rien n’était pour l’écouter me sortir des absurdites encore plus grosses les unes que les autres. Je devais vraiment faire l’effort de me souvenir que c’était un ami, avec une personnalité étrange et un peu loufoque. Pour l’instant, je contentait de me servir verre sur verre, tant et si bien que la bouteille fut rapidement finie. Je me frottais les yeux avec mes doigts en soupirant. « Ok, Bear, ta générosité est exceptionnelle, j’en conviens, mais permets moi de te dire que tu es complètement à coté de la plaque ! Ouvre un centre pour sans-abris si ça te chante, mais ça ! C’est… c’est ridicule ». Mais enfin, ne voyait-il vraiment pas qu’il partait aussi loin dans ses délires ? A sa décharge, il n’y connaissait pas grand-chose au monde qu’il tentait de décrire. Le monde de la nuit, c’était le mien, et je voyais également les choses en grand. Pour l’instant, je n’avais pas l’impression que ce business pourrait faire concurrence à la prostitution qu’organisait le réseau, mais en fonction de son influence, cela pourrait devenir une menace conséquente ! Mon ami ne pensait absolument pas au long terme et évidemment, sa personnalité était telle qu’il ignorait que l’objectif de tout le monde n’était pas « d’aider les autres » pour le plaisir.
D’accord, ses arguments étaient valables, quoique dignes d’un film de Bisounours (en cela il me confirmait qu’il l’était). Evidemment, je n’allais pas le détromper en disant que si, l’ensemble de mes conquètes sexuelles était consentantes car j’avais toutes les qualités pour être le meilleur coup de leur vie, parce que cela n’avait rien à faire là. « Et donc tu t’imagines, trainer toutes les nuits pour aller chercher des prostituées mineures et les faire venir dans ton club ? Je te jure, si j’ai pu croire que tu voulais devenir proxénète, je ne serai sûrement pas le seul. Donne leur de l’argent, de la bouffe, que sais-je, mais les faire travailler dans un striptease ? D’ailleurs, je ne vois pas la différence avec les autres établissements de ce genre ». Autant parler à un mur. Selon Bear, il leur « tombait dessus » ce qui était en adéquation avec mes propos : il allait trainer dans les rues, et pas n’importe lesquelles parce qu’on ne trouve pas des putes sur tous les boulevards, les interroger sur leurs activités, recueillir un consentement biaisé et puis quoi ? Elles allaient abandonner leur mac pour le suivre ? Bien sûr que non ! « Tu vis au paradis des Bisounours, et je sais que tu le sais. Mais tu n’y arriveras pas ». Tant pis si j’étais ferme, je n’allais pas soutenir un tel projet et il valait mieux qu’il le sache. Evidemment, il n’aurait pas besoin de mon aide, et je l’avais bien compris, pour autant, hors de question d’être hypocrite, ce n’était pas mon genre.
Sa philosophie de l’amour également était on ne peut plus différente, encore que ça, je m’en foutais un peu. Je voulais juste que des serveurs nous apportent notre entrée pour avoir quelque chose à faire plutôt que d’écouter ça. J’évoquais à la place brièvement cette brève idée que j’avais eu quelques mois plus tôt mais que je n’avais jamais cherché à concrétiser. Mes ambitions étaient liées au milieu professionnel dans lequel j’évoluais déjà. Je voulais encore plus de tâches, plus de popularité. Je voulais la reconnaissance et la gloire, la confiance sans faille de mon boss. S’il me disait de créer un bar là, dans les cinq minutes, alors oui, je le ferai sans réfléchir, mais ce n’était évidemment pas du tout le cas. « Ce serait évidemment une très mauvaise idée, je ne vois même pas comment nous pourrions collaborer ensemble. Pour mettre la patée à Nana aux jeux vidéos, ouais, mais pour le travail ! ». Ca, nous étions totalement d’accord, et je n’avais pas envie d’être étripé par les mains de géant du grand black. « T’inquiète pas pour ça, moi aussi je suis un pro en affaires » ajoutais-je avec un clin d’oeil. Nous avions grandi dans le même moule, nous étions allés dans la même école, aurait-il tendance à l’oublier ? Sans son speech à propos du couple, j’aurai presque pu croire que Bear était tombé amoureux et que cela lui était monté à la tête. Mais en fait, pire que ça, c’était cette histoire d’adoption qui le mettait dans tous ses états. Au moins, il n’était pas effrayé par les rumeurs qu’on racontait sur lui.
(c) DΛNDELION
They say, "All good boys go to heaven"
But bad boys bring heaven to you
But bad boys bring heaven to you
- It's automatic
It's just what they do
It's just what they do
Pseudo : Mél
Avatar et crédit : Winston Duke - Crédit : Panic (4) Nuit d'orage (5) Dafydd (1)
Messages : 623
Occupation : Propriétaire d'une salle de boxe (Punch) et d'un défouloir (Purge) + professeur de boxe
Âge : 41 Quartier : Banlieu
Situation familiale : Célibataire. Père adoptif de deux ados de 16 ans.
Date d'arrivée à Edimbourg : 2008
Don : Il a le don de ressentir les mensonges et la vérité. Cependant, son don n'est pas infaillible parce qu'il prends en compte les émotions de la personne.
Tes sujets RP : (Dafydd et Joshua) + (Aizah et Maddox) + (Dafydd) + (Faith) + (Nadeem) + (Grace) + (Yadriel et Shohan) + (Angus) + (Lara) + (Ryan) + (Carlson) + (Charlene) + (Clement) + + (Rhéa) + (Violette) + Toi ?
Avatar et crédit : Winston Duke - Crédit : Panic (4) Nuit d'orage (5) Dafydd (1)
Messages : 623
Occupation : Propriétaire d'une salle de boxe (Punch) et d'un défouloir (Purge) + professeur de boxe
Âge : 41 Quartier : Banlieu
Situation familiale : Célibataire. Père adoptif de deux ados de 16 ans.
Date d'arrivée à Edimbourg : 2008
Don : Il a le don de ressentir les mensonges et la vérité. Cependant, son don n'est pas infaillible parce qu'il prends en compte les émotions de la personne.
Tes sujets RP : (Dafydd et Joshua) + (Aizah et Maddox) + (Dafydd) + (Faith) + (Nadeem) + (Grace) + (Yadriel et Shohan) + (Angus) + (Lara) + (Ryan) + (Carlson) + (Charlene) + (Clement) + + (Rhéa) + (Violette) + Toi ?
Conseils d'amis
Porter et Nadeem
Je suis papa !
Bear fit un sourire simple et doux. Il aimait son ami. C’était simple. Il l’aimait pour ce qu’il était, pour les moments ensemble et la simplicité de leur échange. Depuis le temps, l’homme était devenu un frère… et c’était pour ça que le sourire doux et compréhensif de Bear était important. Il sait que son ami ne viendra pas voir ses fils. D’ailleurs, cela n’étonnerait pas que Porter oublie plus d’une fois l’existence des deux adolescents. Mais Bear n’en voit pas le mal. Après tout, la vie est faite de la diversité des gens.
Même si le futur lui apprendra de ne plus aimer. Plus qu’Alisson et sa trahison, Porter va porter à son âme un coup dont il aura du mal à se relever. Il ne le sait pas encore. Bear est trop innocent pour ça. Et c’est à cause de cette innocence que les points soulignés par Porter n’atteignent par réellement l’armoire à glace qu’il est. Bear sait pouvoir protéger les gens qu’il aime, et il aime les gens. C’est un amoureux de la vie, des autres, de l’amitié. Et la vie est plus simple vue d’un animal comme lui. Il pêche, il mange, il vit pour les autres et transforme les situations sans se prendre la tête. Il sourit encore, de cette manière qui annonce que le monde peut être simple.
- Mes deux entreprises sont au Leith, Porter. Je n’ai pas besoin de sortir pour tomber sur des personnes ayant besoin d’aide. Appelle cela comme tu veux, l’aura, le karma, le destin, mais les personnes qui ont besoin de moi se trouvent sur mon chemin. La plupart ne sont pas liés à des gangs si tu veux tout savoir. Ce sont des personnes dans la rue à cause de malchances, de douleurs, de stupidités chroniques de la part des parents, et toutes ses personnes, je peux les aider, réellement.
Bear laisse le serveur les servir avant de prendre une fourchette de son entrée.
- La différence est essentiellement le fait que mon établissement ne servira pas pour y travailler définitivement. Chaque contrat sera précis avec une formation et un diplôme à avoir. Le but ? Que chaque employé parte pour un nouvel employé, plus en adéquation avec leur désir, aider. Un tremplin, pas une carrière. J’y arriverais. Je ne ferais de la concurrence à personne. Je ne pourrais pas aider tout le monde, ni d’un coup, ça ne sera pas magique. Le travail sera long et pénible… mais tu sais que j’ai de l’énergie à revendre et les épaules pour.
La concurrence ? Pfff, si un homme va dans sa boîte, il n’ira pas dans celle de Bear. Bear comptait en faire une boîte de gentleman autant qu’il le peut. Et il sait pouvoir y arriver. Avec beaucoup de protection. Son travail est de prendre les gens en difficulté et leur donner une possibilité ailleurs. Bear est comme ça. Il donne son cœur sans attendre un retour. Mais aussi c’est la raison pour laquelle n’importe qui peut le détruire… et Porter plus que les autres. Bear, inconscient, réfléchit cependant.
- On ne peut pas collaborer, mais je peux être un mécène, et t’aider à trouver des locaux ! Je suis devenu fortiche pour dénicher des endroits sympas pour ouvrir des entreprises ! J’ai juste envie de te voir heureux Porter. Et je ne sais pas comment t’aider. Tu es trop secret pour que je comprenne comment te faire THE cadeau qui te fasse plaisir.
Il fait une moue avant de manger en souriant à nouveau. Ouais. Porter est un homme compliqué. Il a eu une super copine, gentille, douce, enceinte, et il l’a abandonné. Point sur lequel ne revient pas Bear parce qu’il n’apprécie pas la finalité de cette situation. Il a un travail bon. Il a des amis super, et Bear pense surtout à Nadeem…mais il a tout de même besoin de toujours plus de femmes pour se sentir bien. La simplicité n’est jamais suffisante. Comme un junkie, il s’enfonce dans ses noirceurs que Bear aperçoit par son don mais dont il ne peut rien dire. Porter ne veut pas qu’il se mêle. Leur relation se base sur ce fait. Bear accepte et Porter apprécie que Bear ne le juge pas. C’est la seule chose que Bear peut donner à son ami. Il en a conscience.
Même si le futur lui apprendra de ne plus aimer. Plus qu’Alisson et sa trahison, Porter va porter à son âme un coup dont il aura du mal à se relever. Il ne le sait pas encore. Bear est trop innocent pour ça. Et c’est à cause de cette innocence que les points soulignés par Porter n’atteignent par réellement l’armoire à glace qu’il est. Bear sait pouvoir protéger les gens qu’il aime, et il aime les gens. C’est un amoureux de la vie, des autres, de l’amitié. Et la vie est plus simple vue d’un animal comme lui. Il pêche, il mange, il vit pour les autres et transforme les situations sans se prendre la tête. Il sourit encore, de cette manière qui annonce que le monde peut être simple.
- Mes deux entreprises sont au Leith, Porter. Je n’ai pas besoin de sortir pour tomber sur des personnes ayant besoin d’aide. Appelle cela comme tu veux, l’aura, le karma, le destin, mais les personnes qui ont besoin de moi se trouvent sur mon chemin. La plupart ne sont pas liés à des gangs si tu veux tout savoir. Ce sont des personnes dans la rue à cause de malchances, de douleurs, de stupidités chroniques de la part des parents, et toutes ses personnes, je peux les aider, réellement.
Bear laisse le serveur les servir avant de prendre une fourchette de son entrée.
- La différence est essentiellement le fait que mon établissement ne servira pas pour y travailler définitivement. Chaque contrat sera précis avec une formation et un diplôme à avoir. Le but ? Que chaque employé parte pour un nouvel employé, plus en adéquation avec leur désir, aider. Un tremplin, pas une carrière. J’y arriverais. Je ne ferais de la concurrence à personne. Je ne pourrais pas aider tout le monde, ni d’un coup, ça ne sera pas magique. Le travail sera long et pénible… mais tu sais que j’ai de l’énergie à revendre et les épaules pour.
La concurrence ? Pfff, si un homme va dans sa boîte, il n’ira pas dans celle de Bear. Bear comptait en faire une boîte de gentleman autant qu’il le peut. Et il sait pouvoir y arriver. Avec beaucoup de protection. Son travail est de prendre les gens en difficulté et leur donner une possibilité ailleurs. Bear est comme ça. Il donne son cœur sans attendre un retour. Mais aussi c’est la raison pour laquelle n’importe qui peut le détruire… et Porter plus que les autres. Bear, inconscient, réfléchit cependant.
- On ne peut pas collaborer, mais je peux être un mécène, et t’aider à trouver des locaux ! Je suis devenu fortiche pour dénicher des endroits sympas pour ouvrir des entreprises ! J’ai juste envie de te voir heureux Porter. Et je ne sais pas comment t’aider. Tu es trop secret pour que je comprenne comment te faire THE cadeau qui te fasse plaisir.
Il fait une moue avant de manger en souriant à nouveau. Ouais. Porter est un homme compliqué. Il a eu une super copine, gentille, douce, enceinte, et il l’a abandonné. Point sur lequel ne revient pas Bear parce qu’il n’apprécie pas la finalité de cette situation. Il a un travail bon. Il a des amis super, et Bear pense surtout à Nadeem…mais il a tout de même besoin de toujours plus de femmes pour se sentir bien. La simplicité n’est jamais suffisante. Comme un junkie, il s’enfonce dans ses noirceurs que Bear aperçoit par son don mais dont il ne peut rien dire. Porter ne veut pas qu’il se mêle. Leur relation se base sur ce fait. Bear accepte et Porter apprécie que Bear ne le juge pas. C’est la seule chose que Bear peut donner à son ami. Il en a conscience.
(c) princessecapricieuse
« C’est... un Ours ! Certes, il semble être un ours très intelligent, | mais c'est quand même un ours ! Il n'a aucun concept de vengeance. » |
Pseudo : Pow
Avatar et crédit : Adam Levine - by Panic
CW : Sexe++, drogue, violence, alcool, racisme, et j'en passe !
Messages : 3280
Occupation : Bras droit dans le trafic - comptable sur les papiers
Âge : 44 Quartier : New Town
Situation familiale : Célibataire, dragueur invétéré
Date d'arrivée à Edimbourg : Hiver 2000
Don : Je ne crois pas aux dons ni au surnaturel
Tes sujets RP : Nadeem / Una / Eve / Victoria / Clement /
But if you like causing trouble up in hotel rooms
And if you like having secret little rendezvous
If you like to do the things you know that we shouldn't do
Then baby, I'm perfect
Baby, I'm perfect for you
Avatar et crédit : Adam Levine - by Panic
CW : Sexe++, drogue, violence, alcool, racisme, et j'en passe !
Messages : 3280
Occupation : Bras droit dans le trafic - comptable sur les papiers
Âge : 44 Quartier : New Town
Situation familiale : Célibataire, dragueur invétéré
Date d'arrivée à Edimbourg : Hiver 2000
Don : Je ne crois pas aux dons ni au surnaturel
Tes sujets RP : Nadeem / Una / Eve / Victoria / Clement /
But if you like causing trouble up in hotel rooms
And if you like having secret little rendezvous
If you like to do the things you know that we shouldn't do
Then baby, I'm perfect
Baby, I'm perfect for you
Conseils d'ami
bear & porter
« And if the birds are just all the words flying along, singing a song, what would they do ? If they just knew what they could do. »
Bear était parti dans son délire, comme une roue dévalant une pente sans pouvoir s’arrêter. Je jette l’éponge. C’est l’inconvénient avec lui, il a réponse à tout, et je ne suis pas venu au Dôme pour discuter de ses projets foireux. Je pensais, au contraire, pouvoir m’amuser à le provoquer sur ses fréquentations assez douteuses pour une personne comme lui, et on ne m’enlèvera pas de la tête que l’expérience finira par le détromper. Il est trop optimiste, il manque de réalisme. Je pense avoir les deux pour ma part, et d’ailleurs à ce jour, aucun de mes projets ne m’aura résisté. Remarque, c’est pratique quand on a le réseau qui va avec. Comme c’est mon ami, j’évite de lui adresser un regard emprunt de pitié. Je sais qu’il a beaucoup d’argent, et que s’il le voulait il pourrait héberger un gang de prostituées bulgares dans son manoir aux cent-vingt chambres, ce qui ferait de lui un mac des plus convenables, mais il a décidé de l’investir d’une drôle de façon, qu’il se débrouille avec ! Force était de constater en tout cas, qu’il avait pensé à tout. « Okay okay, fait donc tes magouilles là ! Et profite en, t’as encore quelque chose à m’annoncer ? Tu as décidé de te mettre à la danse ? Tu vas parrainer une association visant à éviter que les crocodiles deviennent des sacs de luxe ? Oh, attend, plutôt, tu leur lègue la moitié de ton héritage ? Cela irait avec l’idée que tu ne trouveras personne pour partager ta vie et qu’il faut bien que tu fasses quelque chose de cet argent en plus de le distribuer à deux mômes. Va s’y, profite, je suis prêt à tout entendre maintenant ». J’agitais en même temps mes mains autour de mon visage, prêt à l’entendre me dire qu’il avait même racheté le restaurant, ou, au mieux, que tout cela n’était qu’une vaste blague et que les serveurs portaient tous une mini-caméra dans leur veston. A la demande de Nadeem, tiens, qui en aurait assez d’être le souffre douleur de la plupart de mes plaisanteries.
Mon ami garde tout de même une part de lucidité, mais si petite qu’elle ne rivalise pas avec le reste. Il y aurait de la concurrence, moi je le savais, mais en effet, la partie n’était pas gagnée, et peut être mettrait-il des années à concrétiser son projet. Et moi, ou serai-je dans quelques années ? Aurai-je changé de plan de carrière ? Cela m’étonnait beaucoup, il y avait plus de chance pour que j’ai pris la suite officieuse de Stud dans le réseau, et en ce cas, pourrai-je laisser le marché de Bear se faire sous prétexte qu’il était mon ami de longue date ? Cela vaudrait le coup d’y réfléchir. « Ouais, je sais » soufflais-je tout de même, ne pouvant enlever à Bear sa pugnacité et son énergie à revendre. Son envie de m’aider, si elle était louable, ne me plaisait guère, car je pensais n’avoir besoin de l’aide de personne pour réussir mes projets. Je grimaçais à cette idée, car il semblait oublier que je possédais moi aussi beaucoup d’argent. Peut être pas autant que lui, certes, mais assez pour me débrouiller seul. D’ailleurs, je considérais que ce n’était pas en suivant un chemin légal que j’y parviendrais. « Crois moi, je suis tout ce qu’il y a de plus heureux » dis-je avec force en arborant un sourire éclatant. C’était vrai, depuis un an, je vivais une nouvelle vie et je me rendais compte que je m’étais vraiment maintenu dans un gouffre pendant toutes les années passées à vivre avec Nicole.
J’avais de multiples réponses à lui donner s’agissant du fameux THE cadeau qui me ferait plaisir, mais aucune ne convenait à la naiveté et l’innocence de Bear alors je préférai ne pas lui dévoiler trop de noirceur. On attaqua notre plat de résistance sur ces entrefaites. « Ces rumeurs vont causer bien des soucis en ville » dis-je avec lucidité quant le sujet de conversation de l’avenir de mon ami fut balayée. Il avait beau être gentil et plein d’amour, n’importe qui, comme moi, pourrait se faire de fausses idées sur les photos qui avaient été publiées. « Mais j’ai comme l’impression, que ça te fait rien, à toi ». Je fronçais le regard en sa direction en buvant une gorgée de vin. On était pas à l’abri d’une plaisanterie de plus vaste envergure. Moi même, je commençais à me méfier. Je ne serai probablement pas le seul à prêter de fausses intentions au boxeur, et même si moi j’étais prêt à le croire sur parole quand il me parlait de ses bétises de contrats et d’aide humanitaire, n’importe qui pouvait lui tomber sur le nez. Si je réfléchissais bien même, un certain nombre de noms me venaient à l’esprit.
(c) DΛNDELION
They say, "All good boys go to heaven"
But bad boys bring heaven to you
But bad boys bring heaven to you
- It's automatic
It's just what they do
It's just what they do
Pseudo : Mél
Avatar et crédit : Winston Duke - Crédit : Panic (4) Nuit d'orage (5) Dafydd (1)
Messages : 623
Occupation : Propriétaire d'une salle de boxe (Punch) et d'un défouloir (Purge) + professeur de boxe
Âge : 41 Quartier : Banlieu
Situation familiale : Célibataire. Père adoptif de deux ados de 16 ans.
Date d'arrivée à Edimbourg : 2008
Don : Il a le don de ressentir les mensonges et la vérité. Cependant, son don n'est pas infaillible parce qu'il prends en compte les émotions de la personne.
Tes sujets RP : (Dafydd et Joshua) + (Aizah et Maddox) + (Dafydd) + (Faith) + (Nadeem) + (Grace) + (Yadriel et Shohan) + (Angus) + (Lara) + (Ryan) + (Carlson) + (Charlene) + (Clement) + + (Rhéa) + (Violette) + Toi ?
Avatar et crédit : Winston Duke - Crédit : Panic (4) Nuit d'orage (5) Dafydd (1)
Messages : 623
Occupation : Propriétaire d'une salle de boxe (Punch) et d'un défouloir (Purge) + professeur de boxe
Âge : 41 Quartier : Banlieu
Situation familiale : Célibataire. Père adoptif de deux ados de 16 ans.
Date d'arrivée à Edimbourg : 2008
Don : Il a le don de ressentir les mensonges et la vérité. Cependant, son don n'est pas infaillible parce qu'il prends en compte les émotions de la personne.
Tes sujets RP : (Dafydd et Joshua) + (Aizah et Maddox) + (Dafydd) + (Faith) + (Nadeem) + (Grace) + (Yadriel et Shohan) + (Angus) + (Lara) + (Ryan) + (Carlson) + (Charlene) + (Clement) + + (Rhéa) + (Violette) + Toi ?
Conseils d'amis
Porter et Nadeem
Je suis papa !
Bear fait un sourire à son meilleur ami. L’homme en face de lui serait toujours important dans sa vie…. Et même si dans un avenir plus ou moins proche, il aura envie de lui faire manger de la purée de boue, il n’en restera pas moins un pilier de son histoire. Et il le sait. Il sait que sa vie a Edimbourg aurait été différente sans la rencontre de cet être spécialement pompeux qu’il a connu jadis comme un enfant dans une école de bourge. Leur amitié n’est clairement pas écrite dans les étoiles, leur amitié est une anomalie… mais Bear a appris à faire avec les défauts de son interlocuteur. Et Porter a appris à faire avec l’étrange caractère de son ami l’ours. En tout cas Nathan l’espère. Alors, le sarcasme de son ami coule sur lui comme la pluie sur son corps et il rit.
- Je ferais mes magouilles, tu remarques que je ne te demande pas la permission. Et si tu veux tout savoir, j’ai pris des cours de danse depuis ma naissance pour pouvoir aller dans les bals londonien. Je parraine trois associations, mais aucune pour les crocodiles, il faudra que j’y pense en ton honneur. Moi je suis avec la SPA d’Edimbourg, l’association de l’aide aux personnes en difficulté et l’association des grands frères.
Il ne revient pas avec le fait qu’il n’a pas de partenaire de vie. Oui. C’est un fait… après, il commence à être vieux. Il sait qu’il ne pourra plus avoir de relation, et peut-être pas d’enfant. Le fait de dépenser son argent pour que deux jeunes qu’il apprécie puisse vivre convenablement ne le dérange pas le moins du monde. Au contraire, il en est fier le bougre, c’est pour ça qu’il le dit à tous ses amis. Bear hausse les épaules quand son ami lui dit être heureux.
- Je t’adore, Porter. Tu ne peux pas m’en vouloir de toujours avoir envie de te faire sourire. N’oublie pas que tu m’aimes pour ça, parce que je suis en réalité un gros nounours.
Bear est très clairement l’image du « l’habit ne fait pas le moine », il est l’opposé de son apparence dur et musclé. Il est un cœur chamallow, tout doux et pur qui ne demande qu’à donner au monde le meilleur de lui-même. Il est le bisounours par excellence. Ils commencèrent à manger tranquillement et Bear sourit à l’inquiétude de son ami.
- Je ne suis pas une brindille, moi. Même si on m’accuse d’être un pervers on ne viendra pas me voir… et pour le reste, premièrement ce que pensent les gens qui ne me connaissent pas m’indiffère, et ce que pensent les gens que je connais peut être modifié par une simple discussion. C’est simple parfois la vie, tu sais ?
Il n’a pas peur des répercussions. Il n’a aucune peur de ce que ça pouvait amener. Il a vécu avec les rumeurs sur Zoé en Amérique, et il a appris à les ignorer. Il ne comptait pas se laisser miner par les paroles indiscrètes d’autres personnes. Et il ne compte pas en faire cas dans sa vie. Bear sourit vers son ami.
- Serait-il possible que tu t’inquiète pour moi, Porter ? Cela prouverait ton attachement à ma personne, ça serait une première. Il faut absolument que je note ça dans mon agenda pour en faire un jour férié !
- Je ferais mes magouilles, tu remarques que je ne te demande pas la permission. Et si tu veux tout savoir, j’ai pris des cours de danse depuis ma naissance pour pouvoir aller dans les bals londonien. Je parraine trois associations, mais aucune pour les crocodiles, il faudra que j’y pense en ton honneur. Moi je suis avec la SPA d’Edimbourg, l’association de l’aide aux personnes en difficulté et l’association des grands frères.
Il ne revient pas avec le fait qu’il n’a pas de partenaire de vie. Oui. C’est un fait… après, il commence à être vieux. Il sait qu’il ne pourra plus avoir de relation, et peut-être pas d’enfant. Le fait de dépenser son argent pour que deux jeunes qu’il apprécie puisse vivre convenablement ne le dérange pas le moins du monde. Au contraire, il en est fier le bougre, c’est pour ça qu’il le dit à tous ses amis. Bear hausse les épaules quand son ami lui dit être heureux.
- Je t’adore, Porter. Tu ne peux pas m’en vouloir de toujours avoir envie de te faire sourire. N’oublie pas que tu m’aimes pour ça, parce que je suis en réalité un gros nounours.
Bear est très clairement l’image du « l’habit ne fait pas le moine », il est l’opposé de son apparence dur et musclé. Il est un cœur chamallow, tout doux et pur qui ne demande qu’à donner au monde le meilleur de lui-même. Il est le bisounours par excellence. Ils commencèrent à manger tranquillement et Bear sourit à l’inquiétude de son ami.
- Je ne suis pas une brindille, moi. Même si on m’accuse d’être un pervers on ne viendra pas me voir… et pour le reste, premièrement ce que pensent les gens qui ne me connaissent pas m’indiffère, et ce que pensent les gens que je connais peut être modifié par une simple discussion. C’est simple parfois la vie, tu sais ?
Il n’a pas peur des répercussions. Il n’a aucune peur de ce que ça pouvait amener. Il a vécu avec les rumeurs sur Zoé en Amérique, et il a appris à les ignorer. Il ne comptait pas se laisser miner par les paroles indiscrètes d’autres personnes. Et il ne compte pas en faire cas dans sa vie. Bear sourit vers son ami.
- Serait-il possible que tu t’inquiète pour moi, Porter ? Cela prouverait ton attachement à ma personne, ça serait une première. Il faut absolument que je note ça dans mon agenda pour en faire un jour férié !
(c) princessecapricieuse
« C’est... un Ours ! Certes, il semble être un ours très intelligent, | mais c'est quand même un ours ! Il n'a aucun concept de vengeance. » |
Pseudo : Pow
Avatar et crédit : Adam Levine - by Panic
CW : Sexe++, drogue, violence, alcool, racisme, et j'en passe !
Messages : 3280
Occupation : Bras droit dans le trafic - comptable sur les papiers
Âge : 44 Quartier : New Town
Situation familiale : Célibataire, dragueur invétéré
Date d'arrivée à Edimbourg : Hiver 2000
Don : Je ne crois pas aux dons ni au surnaturel
Tes sujets RP : Nadeem / Una / Eve / Victoria / Clement /
But if you like causing trouble up in hotel rooms
And if you like having secret little rendezvous
If you like to do the things you know that we shouldn't do
Then baby, I'm perfect
Baby, I'm perfect for you
Avatar et crédit : Adam Levine - by Panic
CW : Sexe++, drogue, violence, alcool, racisme, et j'en passe !
Messages : 3280
Occupation : Bras droit dans le trafic - comptable sur les papiers
Âge : 44 Quartier : New Town
Situation familiale : Célibataire, dragueur invétéré
Date d'arrivée à Edimbourg : Hiver 2000
Don : Je ne crois pas aux dons ni au surnaturel
Tes sujets RP : Nadeem / Una / Eve / Victoria / Clement /
But if you like causing trouble up in hotel rooms
And if you like having secret little rendezvous
If you like to do the things you know that we shouldn't do
Then baby, I'm perfect
Baby, I'm perfect for you
Conseils d'ami
bear & porter
« And if the birds are just all the words flying along, singing a song, what would they do ? If they just knew what they could do. »
Bear aurait dû se cantonner à la SPA et ses deux autres associations dont je ne fis même pas l’effort de retenir le nom ou le but. Non seulement tout le monde aurait été tranquille et en plus, il ne se serait jamais fait photographier en pleine rue dans une situation douteuse. Ca, Bear était à mille lieux de le concevoir, tout à sa vision distordue du monde. Sa fortune, il la dilapidait déjà depuis longtemps et sur cet aspect, nous n’étions finalement pas si différents, même si notre argent ne servait absolument pas à la même chose. Coup sur coup, je buvais un verre afin d’éviter de répondre et de prolonger le grotesque de la situation. Je ne changerai pas mon ami alors inutile de dépenser encore plus d’énergie. Difficile cependant d’avouer que je l’aimais bien parce qu’il était un gros nounours. C’est vrai qu’il avait de très bons côtés, et notre amitié datait de cette époque ou je n’étais pas encore dans le trafic et avait donc une toute autre saveur. « C’est vrai, ne change pas » concluais-je avec un sourire. Il était du même moule que moi, et je préférais de toute façon l’avoir dans ma poche, au cas où.
Effectivement, je fis preuve d’inquiétude, ce qui n’était pas réellement dans mes habitudes mais qui m’arrivait, parfois. Bear était l’innocence incarnée, et je voulais le mettre en face la sournoiserie du reste du monde, bien qu’il ne semblait pas la voir. Je savais de quoi je parlais moi. Je serai celui qui pose les aspects négatifs sur la table pour ne pas qu’il se fige sur un idéal impossible à atteindre et qu’il choisisse avec tous les éléments nécessaires. Je lui avait présenté les risques, je m’étais même moqué de lui, mais cela n’avait pas touché l’inébranlable Nathan. « Tu n’es certes pas une brindille, mais les types se déplacent en bande souvent, et tu n’es pas immortel face à la menace d’un calibre 22. Ceci dit effectivement, je ne pense pas que ça arriveras. Et si tu ne suis pas l’actualité des réseaux et que tu n’en as rien à faire alors... ». Je n’aurai pas du tout été comme cela. Ce qu’on disait sur moi m’importait et de toute façon, quiconque aurait une opinion contraire sur ma perfection finirait six pieds sous terre en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
Bear se moquait de moi et je lui lançais des bouts de pain tel un gosse mal élevé. Une d’entre elle attérit dans le verre de vin et je me maudissais d’avoir gâché un si grand cru. Evidémment, je récoltais des regards courroucés du couple de la table d’à coté, mais moi aussi, je m’en fichais comme d’une guigne, tant qu’ils gardaient leur réflexion pour eux. Si tel n’était pas le cas, je leur lancerait un sourire toutes dents dehors sorties en même temps que je lancerai le contenu de mon verre sur la robe de madame. Non mais ! « Qui serais-je si je ne m’inquiétais pas un peu pour mes amis ! ». Pas trop non plus. Je pensais juste aux conséquences de l’idée de mon ami et de son potentiel impact sur ma propre vie. « C’est surtout que je n’ai pas envie d’être vu en compagnie d’un proxénète, tu imagines la réputation par répercussion que cela me donnera ! ». Je mis directement la main sur mon coeur pour mimer le choc. « Je te préviens, mon âme n’est pas à vendre, je ne jouerai pas le gigolo, même pour toi mon cher Bea, même si tu me paie ou que tu me sors de la misère ». Je riais de cette plaisanterie, avant de continuer à manger avec bon coeur.
(c) DΛNDELION
They say, "All good boys go to heaven"
But bad boys bring heaven to you
But bad boys bring heaven to you
- It's automatic
It's just what they do
It's just what they do
Pseudo : Mél
Avatar et crédit : Winston Duke - Crédit : Panic (4) Nuit d'orage (5) Dafydd (1)
Messages : 623
Occupation : Propriétaire d'une salle de boxe (Punch) et d'un défouloir (Purge) + professeur de boxe
Âge : 41 Quartier : Banlieu
Situation familiale : Célibataire. Père adoptif de deux ados de 16 ans.
Date d'arrivée à Edimbourg : 2008
Don : Il a le don de ressentir les mensonges et la vérité. Cependant, son don n'est pas infaillible parce qu'il prends en compte les émotions de la personne.
Tes sujets RP : (Dafydd et Joshua) + (Aizah et Maddox) + (Dafydd) + (Faith) + (Nadeem) + (Grace) + (Yadriel et Shohan) + (Angus) + (Lara) + (Ryan) + (Carlson) + (Charlene) + (Clement) + + (Rhéa) + (Violette) + Toi ?
Avatar et crédit : Winston Duke - Crédit : Panic (4) Nuit d'orage (5) Dafydd (1)
Messages : 623
Occupation : Propriétaire d'une salle de boxe (Punch) et d'un défouloir (Purge) + professeur de boxe
Âge : 41 Quartier : Banlieu
Situation familiale : Célibataire. Père adoptif de deux ados de 16 ans.
Date d'arrivée à Edimbourg : 2008
Don : Il a le don de ressentir les mensonges et la vérité. Cependant, son don n'est pas infaillible parce qu'il prends en compte les émotions de la personne.
Tes sujets RP : (Dafydd et Joshua) + (Aizah et Maddox) + (Dafydd) + (Faith) + (Nadeem) + (Grace) + (Yadriel et Shohan) + (Angus) + (Lara) + (Ryan) + (Carlson) + (Charlene) + (Clement) + + (Rhéa) + (Violette) + Toi ?
Conseils d'amis
Porter et Nadeem
Je suis papa !
Bear sourit. Le jeune homme devant lui, plus jeune que lui mais qui ne l’est pas dans cette ville, se demande-t-il pour lui-même, énonce une inquiétude que Bear peut faire passer d’un mouvement de tête et d’épaule. Limite désinvolte. Mais pourtant responsable. Il n’a pas peur des petites frappes qui viendrait en groupe, ni de l’homme tapi dans l’ombre avec une barre de fer, parce qu’il sait qui il est. Ce qui n’est pas le cas de tout le monde. Et ce que le monde pense de lui ? Bear n’est même pas sûr qu’il défende la réputation de Porter. Parce qu’il sait que beaucoup désapprouve sa vie ou ses décisions, passées ou futurs. Pourtant, Porter est intelligent, d’une manière que Bear sait particulièrement déplaisante et manipulatrice parfois, mais il ne l’utilise jamais à son plein potentiel. Bear ne peut rien pour lui.
- Exactement. Je n’ai même pas instagram ou l’autre là.
Il a juste mis à jours sa fiche sur Google pour que tout le monde sache les horaires d’ouvertures de ses entreprises, pour le reste… il hausse les épaules. Internet lui a toujours pris la tête, et si ça fait de lui un « vieux schnock » comme lui dit souvent ses fils, alors c’est ainsi que cela doit se passer. Bear attrape le bout de pain et en mange une partie avant de laisser le reste sur le côté.
- Gamin, insulte-t-il sans pour autant en mettre la puissance qu’il faut, avant de reprendre la parole plus sérieusement, je te remercie de t’inquiéter pour moi. Je sais ce que ça vaut.
L’inquiétude, honnête, de Porter, est très peu donné à d’autre. C’est le genre de sentiment que Porter ne partage pas, normalement, et ne pense pas honnêtement pour tout le monde. C’est alors une raison de plus pour le remercier avec un bon repas, et un nouveau verre de vin. Bear est loin de se douter qu’il n’y avait pas que ça dans la tête de son ami. Il sait qu’il s’inquiète réellement et malgré qu’il n’essaie pas de trop prendre en compte son don, il n’a pas de raison d’en voir autre chose que de l’amitié, justement.
- Ne me dis pas que tu n’as jamais eu un proxénète dans tes relations, là je ne te croirais pas. Tu es un menteur.
Il rigole bien sûr, tout comme lui.
- Et je ne compte pas te prendre en danseur ou en gigolo. Tu ne m’apporterais pas assez d’argent, et le but de cette entreprise ne serait-il pas de faire du profit sur ton dos ?
HRP – Je pense que si tu veux clôturer en disant qu’ils finissent la conversation ça peut être bien. Voir après si tu veux tout de suite ouvrir un autre rp (avec lui ou un autre personnage) tu n’hésite pas à me dire !
- Exactement. Je n’ai même pas instagram ou l’autre là.
Il a juste mis à jours sa fiche sur Google pour que tout le monde sache les horaires d’ouvertures de ses entreprises, pour le reste… il hausse les épaules. Internet lui a toujours pris la tête, et si ça fait de lui un « vieux schnock » comme lui dit souvent ses fils, alors c’est ainsi que cela doit se passer. Bear attrape le bout de pain et en mange une partie avant de laisser le reste sur le côté.
- Gamin, insulte-t-il sans pour autant en mettre la puissance qu’il faut, avant de reprendre la parole plus sérieusement, je te remercie de t’inquiéter pour moi. Je sais ce que ça vaut.
L’inquiétude, honnête, de Porter, est très peu donné à d’autre. C’est le genre de sentiment que Porter ne partage pas, normalement, et ne pense pas honnêtement pour tout le monde. C’est alors une raison de plus pour le remercier avec un bon repas, et un nouveau verre de vin. Bear est loin de se douter qu’il n’y avait pas que ça dans la tête de son ami. Il sait qu’il s’inquiète réellement et malgré qu’il n’essaie pas de trop prendre en compte son don, il n’a pas de raison d’en voir autre chose que de l’amitié, justement.
- Ne me dis pas que tu n’as jamais eu un proxénète dans tes relations, là je ne te croirais pas. Tu es un menteur.
Il rigole bien sûr, tout comme lui.
- Et je ne compte pas te prendre en danseur ou en gigolo. Tu ne m’apporterais pas assez d’argent, et le but de cette entreprise ne serait-il pas de faire du profit sur ton dos ?
HRP – Je pense que si tu veux clôturer en disant qu’ils finissent la conversation ça peut être bien. Voir après si tu veux tout de suite ouvrir un autre rp (avec lui ou un autre personnage) tu n’hésite pas à me dire !
(c) princessecapricieuse
« C’est... un Ours ! Certes, il semble être un ours très intelligent, | mais c'est quand même un ours ! Il n'a aucun concept de vengeance. » |
Contenu sponsorisé
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum