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Pseudo : Kimi
Avatar et crédit : Scarlett Simoneit (by Nuit d'orage)
CW : Violences conjugales (passées)
Messages : 1185
Occupation : Serveuse
Âge : 26 Quartier : Banlieues
Situation familiale : Mère célibataire, cœur en peine
Date d'arrivée à Edimbourg : Septembre 2003
Don : Empathe - ressent les sentiment de celleux qu'elle touche
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Âge : 26 Quartier : Banlieues
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Date d'arrivée à Edimbourg : Septembre 2003
Don : Empathe - ressent les sentiment de celleux qu'elle touche
Aussitôt la première question d'Ulrich posée, les joues de la jeune femme s'empourpres. Si elles avaient rosies étant donné le sujet de conversation, elles étaient maintenant cramoisies. Iona ouvrait la bouche et la refermait sans réussir à articuler un mot. Elle ne savait même pas ce qu'elle voulait dire. Enfin si, elle ne pensait pas quoi que ce soit qui soit de nature à vexer son interlocuteur... Enfin, il lui semblait en tout cas ? Elle se mordit la lèvre. Elle se sentait ridicule. N'importe quelle adolescente aurait été un peu plus enhardie qu'elle. Et c'était bien le problème, en partie du moins.
-Je... Euh... J'imagine...
Elle détourna le regard, inspirant profondément afin de remettre les mots dans l'ordre.
-J'imagine que tu préfères les femmes qui... savent ce qu'elles font, qui ont un peu plus confiance en elles et qui... prennent des initiatives ?
Sorti de son contexte, on aurait presque pu croire que Iona parlait là de qualités pour un recrutement tant elle était peu à l'aise à parler de sexe - mais n'avait-elle pas tendu le bâton ? Ulrich semblait avoir compris d'où venait ses doutes - il ne fallait pas être fin psychologue non plus - et la rassura. Elle finit par reposer son regard dans le sien. Les battements de son cœur qui s'étaient envolé le temps de répondre à sa précédente question se calmaient peu à peu.
-Et ça ne t'embête pas que j'apprenne sur le tas, avec toi ?
Après tout la situation était bien différente de ce qu'elle avait pu vivre avec Yohann. Yohann l'aimait, sincèrement, et il était prêt à tout mettre en œuvre pour qu'elle se sente bien et qu'ils progressent doucement tous les deux. Ulrich, lui, ne l'aimait pas, il l'appréciait assez pour lui faire cette proposition, mais il n'avait rien à gagner à la ménager. Elle n'était pas très renseignée dans le domaine, mais elle se doutait que le chirurgien pouvait facilement séduire des femmes plus expérimentée -plus éduquées et plus intelligentes aussi - avec lesquelles il ne serait pas obligé de perdre de temps.
Elle se mordit la joue à la fin de sa phrase. Elle se souvenait la dernière fois qu'un homme lui avait demandé ce qu'elle aimait, et elle s'était trouvée bien dépourvue de réponses. Ses yeux dans ceux d'Ulrich, elle prit une nouvelle inspiration. Décidément, cette journée lui demandait bien plus de courage qu'elle ne l'aurait anticipé.
-Pourquoi pas maintenant ? Je suis là, tu es là, et...
Elle haussa les épaules avant de finir par lui adresser un sourire.
-Plus j'anticipe et plus je vais stresser. Alors peut-être qu'on peut... exorciser ça ?
-Je... Euh... J'imagine...
Elle détourna le regard, inspirant profondément afin de remettre les mots dans l'ordre.
-J'imagine que tu préfères les femmes qui... savent ce qu'elles font, qui ont un peu plus confiance en elles et qui... prennent des initiatives ?
Sorti de son contexte, on aurait presque pu croire que Iona parlait là de qualités pour un recrutement tant elle était peu à l'aise à parler de sexe - mais n'avait-elle pas tendu le bâton ? Ulrich semblait avoir compris d'où venait ses doutes - il ne fallait pas être fin psychologue non plus - et la rassura. Elle finit par reposer son regard dans le sien. Les battements de son cœur qui s'étaient envolé le temps de répondre à sa précédente question se calmaient peu à peu.
-Et ça ne t'embête pas que j'apprenne sur le tas, avec toi ?
Après tout la situation était bien différente de ce qu'elle avait pu vivre avec Yohann. Yohann l'aimait, sincèrement, et il était prêt à tout mettre en œuvre pour qu'elle se sente bien et qu'ils progressent doucement tous les deux. Ulrich, lui, ne l'aimait pas, il l'appréciait assez pour lui faire cette proposition, mais il n'avait rien à gagner à la ménager. Elle n'était pas très renseignée dans le domaine, mais elle se doutait que le chirurgien pouvait facilement séduire des femmes plus expérimentée -plus éduquées et plus intelligentes aussi - avec lesquelles il ne serait pas obligé de perdre de temps.
Elle se mordit la joue à la fin de sa phrase. Elle se souvenait la dernière fois qu'un homme lui avait demandé ce qu'elle aimait, et elle s'était trouvée bien dépourvue de réponses. Ses yeux dans ceux d'Ulrich, elle prit une nouvelle inspiration. Décidément, cette journée lui demandait bien plus de courage qu'elle ne l'aurait anticipé.
-Pourquoi pas maintenant ? Je suis là, tu es là, et...
Elle haussa les épaules avant de finir par lui adresser un sourire.
-Plus j'anticipe et plus je vais stresser. Alors peut-être qu'on peut... exorciser ça ?
C'est un sourire espiègle aux coins des lèvres que tu t'amusas à taquiner Iona.
Avec des pincettes, bien entendu. Si ton but était de la faire réagir, tu ne voulais certainement pas la braquer.
Ton sourire s'étira d'autant plus lorsque tu la vis chercher ses mots, les joues rosies par sa propose audace.
Elle était mignonne, à la fois éprise de timidité et pourtant si hardis. Il était aisé de remarquer que ce type de conversation la mettait mal à l'aise, mais elle prit pourtant la peine de répondre à ta question avec une honnêteté touchante, quoi que plutôt amusante.
Préférais-tu les femmes qui avaient confiance en elles ?
Oui.
Non.
Pour être franc, tu n'avais pas vraiment de préférence à ce niveau là. Du moins, pas pour les raisons qu'imaginait Iona. Si tu pouvais effectivement préférer les femmes qui avaient confiance en elles, ce n'était pas tant pour leurs prouesses aux lit que parce qu'elles s'accrochaient moins facilement aux types qui leur faisaient du bien. Dusse n'être que de manière sexuelle.
Quant à savoir si tu les aimais entreprenantes... Le nier serait mentir, mais ce n'était pas pour ça que tu refusais de toucher aux plus prudes.
Qu'on te prennes pour un homme magnanime ou un gros queutard, cela ne changeait rien au fait que pour toi, tant que la femme était consentante, tu prenais. Petite ou grande, grosse ou maigre, blanche ou noir en passant par toutes les couleurs de l'arc en ciel, si elle voulait te baiser, alors tu la baisais.
Bien évidemment, ce ne fut pas en ces termes que tu rassuras la jeune-femme quant au non problème que causait son manque d'expérience.
« Tant que c'est ce que tu veux, non, je n'ai aucun problème avec ça »
Au contraire même. Ce n'était pas le manque d'expérience qui t'inquiétait le plus lors de rapport, plutôt le manque de motivation. Une jeune femme inexpérimenté mais pleine de curiosité et d'envie valait mille femme expérimentées qui attendaient que ça se termine.
Même si le mieux restait évidemment celles expérimentées et motivées.
Tentant de la rassurer en lui expliquant que tu ne t'attendais pas à ce qu'elle écarte les cuisses dès ce soir, quelle ne fut pas ta surprise lorsqu'Iona te proposa tout l'inverse.
Elle voulait exorciser tout ça ?
Clignant des yeux de surprise, tu repris rapidement contenance, un sourire sincère étirant tes lèvres face à tant d'audace.« Et bien, pour une femme qui avait peur de ne pas être assez entreprenante... » Ne pus tu t'empêcher de la charrier, ton regard vrillant légèrement sous la lubricité que tu peinais de plus en plus à cacher maintenant que tu savais ton désir réciproque. « Si tu es sûr de toi, je te propose d'aller payer et de... d'aller exorciser tout ça ? »
T'avançant pour payer l'addition, tu marquas une légère hésitation une fois sortie du restaurant, alors que tu observais ta voiture garée non loin de là.
« Tu te sentirais plus à l'aise que l'on aille chez toi ? Chez moi ? Dans un hôtel ? »
Non pas que tu la prenais pour une pute, mais il était arrivé que certains coups d'un soir se sentent plus en sécurité dans un hôtel que chez elles ou chez toi, ou tu pouvais potentiellement venir les stalker ou les garder captives. Ce que, bien évidement, tu ne ferais jamais, mais ça, ni Iona ni aucune autre ne pouvait en être sûres.
Avec des pincettes, bien entendu. Si ton but était de la faire réagir, tu ne voulais certainement pas la braquer.
Ton sourire s'étira d'autant plus lorsque tu la vis chercher ses mots, les joues rosies par sa propose audace.
Elle était mignonne, à la fois éprise de timidité et pourtant si hardis. Il était aisé de remarquer que ce type de conversation la mettait mal à l'aise, mais elle prit pourtant la peine de répondre à ta question avec une honnêteté touchante, quoi que plutôt amusante.
Préférais-tu les femmes qui avaient confiance en elles ?
Oui.
Non.
Pour être franc, tu n'avais pas vraiment de préférence à ce niveau là. Du moins, pas pour les raisons qu'imaginait Iona. Si tu pouvais effectivement préférer les femmes qui avaient confiance en elles, ce n'était pas tant pour leurs prouesses aux lit que parce qu'elles s'accrochaient moins facilement aux types qui leur faisaient du bien. Dusse n'être que de manière sexuelle.
Quant à savoir si tu les aimais entreprenantes... Le nier serait mentir, mais ce n'était pas pour ça que tu refusais de toucher aux plus prudes.
Qu'on te prennes pour un homme magnanime ou un gros queutard, cela ne changeait rien au fait que pour toi, tant que la femme était consentante, tu prenais. Petite ou grande, grosse ou maigre, blanche ou noir en passant par toutes les couleurs de l'arc en ciel, si elle voulait te baiser, alors tu la baisais.
Bien évidemment, ce ne fut pas en ces termes que tu rassuras la jeune-femme quant au non problème que causait son manque d'expérience.
Au contraire même. Ce n'était pas le manque d'expérience qui t'inquiétait le plus lors de rapport, plutôt le manque de motivation. Une jeune femme inexpérimenté mais pleine de curiosité et d'envie valait mille femme expérimentées qui attendaient que ça se termine.
Même si le mieux restait évidemment celles expérimentées et motivées.
Tentant de la rassurer en lui expliquant que tu ne t'attendais pas à ce qu'elle écarte les cuisses dès ce soir, quelle ne fut pas ta surprise lorsqu'Iona te proposa tout l'inverse.
Elle voulait exorciser tout ça ?
Clignant des yeux de surprise, tu repris rapidement contenance, un sourire sincère étirant tes lèvres face à tant d'audace.
T'avançant pour payer l'addition, tu marquas une légère hésitation une fois sortie du restaurant, alors que tu observais ta voiture garée non loin de là.
Non pas que tu la prenais pour une pute, mais il était arrivé que certains coups d'un soir se sentent plus en sécurité dans un hôtel que chez elles ou chez toi, ou tu pouvais potentiellement venir les stalker ou les garder captives. Ce que, bien évidement, tu ne ferais jamais, mais ça, ni Iona ni aucune autre ne pouvait en être sûres.
until the end
Pseudo : Kimi
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CW : Violences conjugales (passées)
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Âge : 26 Quartier : Banlieues
Situation familiale : Mère célibataire, cœur en peine
Date d'arrivée à Edimbourg : Septembre 2003
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Âge : 26 Quartier : Banlieues
Situation familiale : Mère célibataire, cœur en peine
Date d'arrivée à Edimbourg : Septembre 2003
Don : Empathe - ressent les sentiment de celleux qu'elle touche
Elle sentait son cœur battre un peu plus fort alors que Ulrich confirmait sa façon de voir les choses et ses envies. Elle ne savait pas si c'était du stress, du soulagement, le désir... Ou toutes ces émotions incertaines qu'elle n'avait pas l'habitude d'éprouver. Pour le moment, elle se contenta de hocher la tête aux mots du chirurgien. Et puisqu'ils parlaient de la situation à cœurs ouverts - en tout cas autant que possible - elle avoua que ça ne la dérangerait pas de le faire ce soir. Elle se demanda si elle avait eu tort en voyant sa réaction. Il était surpris, venait-elle e dire quelque chose d'effronté ? Elle se mordit la lèvre mais fut un peu rassurée par sa déclaration, mais complètement rougissante.
-J'imagine que je suis un peu plus douée pour parler que pour agir.
Elle se mordit la lèvre. Elle espérait sincèrement que sa tête et son corps ne lui feraient pas défaut aujourd'hui. Qu'en regardant intensément les yeux d'Ulrich, elle ne revivrait pas ces moments de souffrance et de terreur. Ce n'était pas arrivé avec Yohann. Seul le bruit de sa ceinture tombant au sol l'avait fait frémir d'effroi une fraction de seconde. Elle avait le droit. Elle avait le droit de prendre du plaisir, d'être hors du temps pour au moins quelques instants, et ne plus penser à... tout ce qui la préoccupait jour et nuit. A sa proposition elle hocha la tête et un sourire étira ses lèvres. Il avait repris son expression, peut-être par pudeur pour égard pour elle, peut-être parce que ça l'amusait. Il est vrai qu'elle aurait sans doute trouver meilleure expression... davantage sexy au vu du contexte.
Elle le laissa aller payer et un coin de sa cerveau ne put s'empêcher de réfléchir à ce qu'elle devrait faire pour le rembourser en partie. Des gâteaux ? Mais il lui avait confié ne pas être du genre à manger trop gras... Elle secoua la tête quand il revint vers elle et qu'ils sortirent. A sa question, elle regarda longuement sa voiture, comme si elle n'y avait pas pensé.
-Je... Je ne sais pas vraiment, je n'ai jamais fait ça chez moi...
Il faut dire qu'elle ne l'avait pas dans une foultitude de lieux - sans aucune surprise évidemment. Elle prit tout de même la peine de réfléchir un instant, de s'imaginer... Mais ses joues reprirent rapidement la teinte écarlate qui les avait quitté quelques instants plus tôt.
-Je crois que je préférerais que ce ne soit pas chez moi mais... Comme tu préfères toi.
Elle leva son regard clair vers le sien et esquissa un sourire.
-Là où mon professeur sera le mieux installé.
-J'imagine que je suis un peu plus douée pour parler que pour agir.
Elle se mordit la lèvre. Elle espérait sincèrement que sa tête et son corps ne lui feraient pas défaut aujourd'hui. Qu'en regardant intensément les yeux d'Ulrich, elle ne revivrait pas ces moments de souffrance et de terreur. Ce n'était pas arrivé avec Yohann. Seul le bruit de sa ceinture tombant au sol l'avait fait frémir d'effroi une fraction de seconde. Elle avait le droit. Elle avait le droit de prendre du plaisir, d'être hors du temps pour au moins quelques instants, et ne plus penser à... tout ce qui la préoccupait jour et nuit. A sa proposition elle hocha la tête et un sourire étira ses lèvres. Il avait repris son expression, peut-être par pudeur pour égard pour elle, peut-être parce que ça l'amusait. Il est vrai qu'elle aurait sans doute trouver meilleure expression... davantage sexy au vu du contexte.
Elle le laissa aller payer et un coin de sa cerveau ne put s'empêcher de réfléchir à ce qu'elle devrait faire pour le rembourser en partie. Des gâteaux ? Mais il lui avait confié ne pas être du genre à manger trop gras... Elle secoua la tête quand il revint vers elle et qu'ils sortirent. A sa question, elle regarda longuement sa voiture, comme si elle n'y avait pas pensé.
-Je... Je ne sais pas vraiment, je n'ai jamais fait ça chez moi...
Il faut dire qu'elle ne l'avait pas dans une foultitude de lieux - sans aucune surprise évidemment. Elle prit tout de même la peine de réfléchir un instant, de s'imaginer... Mais ses joues reprirent rapidement la teinte écarlate qui les avait quitté quelques instants plus tôt.
-Je crois que je préférerais que ce ne soit pas chez moi mais... Comme tu préfères toi.
Elle leva son regard clair vers le sien et esquissa un sourire.
-Là où mon professeur sera le mieux installé.
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