L'amour est le plus précieux des totems.

Faith + Bear

Il se manifeste souvent de manière inattendue !

En retard, en retard, il est en retard. Pas exactement en retard comme tout le monde le pense, puisque les horaires n’étaient pas ce qui rythmaient la vie de Bear, mais sur ce qu’il devait faire. Il avait prévu de vérifier l’état des chambres de Léo et Cole. Après tout, il fallait une dernière vérification de l’assistante sociale pour qu’il puisse élever les deux petits.  Les règles étaient simples, il fallait un milieu propice à l’éducation d’adolescent ET une chambre pour chaque enfant. Avec ses 17 chambres, son manoir était parfaitement adapté pour les deux. La dépendance appartenait à la famille Garden, qui était les seuls employés à demeure de Bear. Le père était à la fois le jardinier et le majordome. La mère était la femme de ménage et la gouvernante, dans les moindres mesures. Leur fille, de seulement 15 ans, il était prêt à parier que ça allait faire un triangle amoureux cocasse à observer, était l’employé en plus. Mais… il n’y avait jamais grand-chose à faire dans la maison. Pour tout dire, l’annonce que Bear viendrait habiter au manoir comme il le faut, à demeure, pour élever deux enfants avaient fait grand bruit. Tout le monde était content que Bear reste dans le manoir après l’avoir délaissé pendant autant d’année.

Après tout, le manoir avait été offert par ses parents. Le salaire, clairement honorable, de la famille Garden était aussi couvert par eux. Pas que Bear ne puisse pas les payer. Mais cela faisait plaisir à sa génitrice de lui proposé tout le confort qu’il faut. Elle était d’autant plus heureuse de savoir que Bear avait maintenant deux fils qu’elle pourrait gâter comme la mamie gâteau qu’elle rêvait d’être. Même si elle ne désespère pas, aussi, que Bear lui en rapporte encore plus. Adoptés ou non, elle était heureuse de voir leur famille s’agrandirai ainsi. Bref. Tout le monde était heureux dans la famille Instinct et dans la famille Garden. Léo et Cole, qui avaient pris son nom de famille car non attaché à leur présent nom de famille, aussi. Tout le monde était euphorique, et Bear avait du mal à ne pas sourire comme un demeuré toutes les trois secondes, environ.

Mais, bref. Il était tout de même en retard. Alors qu’il allait sortir de la salle, laissant Samuel s’occupait du reste des usagers, il percuta Faith. Il la reconnu tout de suite des quelques rencontres qu’il avait eu avec elle. Elle voulait lui parler ? Lui parler de Yoyo ? Bien sûr, Yoyo, qui connaissait les deux sales gosses puisqu’ils avaient fait des sorties ensemble, était ravi de la nouvelle. Il sourit avec toutes ses dents dehors. Mais loin de faire peur, le sourire de bear était toujours un éclatant partage de bonheur et d’amour qui ne laissait qu’une solution : sourire en retour.

- Salut, Faith, tu veux me parler ? Je suis en retard. Tu viens avec moi. Je dois aller acheter deux télévisions pour les gnomes et les installer à la maison avant que les services sociaux n’arrivent.

Le « tu viens avec moi » ce n’était pas une question, c’était une affirmation. Il était déjà en train de partir vers sa voiture et eu la courtoisie de lui ouvrir la porte passager en attendant simplement qu’elle n’y monte. D’ailleurs… elle le sait qu’il est riche, elle ? Il l’avait appris à Nadeem que récemment… Et il ne savait plus qui le savait. Yoyo le savait, mais il ne sait pas s’il l’avait répété ou non. Après tout, le manoir avait une chambre rien que pour lui. Ce qui donnait maintenant que 13 chambres de libres… il devrait peut-être penser à investir dans une autre maison au cas où il lui prenait la folie des grandeurs… mais avec le chalet et son appartement, qu’il payait lui-même dans les deux cas, ça serait compliqué. Bear n’avait jamais vanté son argent parce que ce n’était pas ce qui l’avait fait grandir. Il n’était pas propriétaire de deux salles de divertissements parce qu’il avait eu de l’argent pour le faire de papa maman. Il avait tout fait lui-même. Sauf ce manoir. Qu’il prenait. Parce qu’il avait des parts dans la société de son père, parce qu’il en était l’héritier et surtout, SURTOUT, parce que ça lui permettait d’avoir Cole et Léo.

- Votre carrosse, madame, fit-il avec une révérence, d’ailleurs, si tu veux une télévision aussi, en acheter deux ou trois, ça me dérange pas, je suis bien trop de bonne humeur pour me priver. Ne me prive pas de ce bonheur, tu me laisseras te faire un cadeau. En route mauvaise troupe !

L'amour est le plus précieux des totems.

Faith + Bear

Il se manifeste souvent de manière inattendue !

Il n’avait même pas fait cas du « je suis désolée » de la jeune femme. Dans un autre cas de figure, il aurait expliqué qu’elle ne devait pas s’excuser et qu’il était en tort… mais d’abord, il la kidnappe dans sa voiture, sans réellement lui demander avant de s’occuper du reste. Il devait acheter de télévisions et n’avait pas envie de repousser ce moment encore plus. Il sourit un peu quand elle l’appelle « Nathan ». La seule personne à l’appeler ainsi était Yoyo, et il doit avouer que ce dernier ne réponds pas aussi souvent à ses messages que ce que l’ours le voudrait… alors se faire appeler ainsi, ça le fait sourire avant de s’occuper du moment présent. Il faut toujours faire une chose à la fois pour ne pas s’éparpiller, surtout quand il est de bonne humeur.

- Pas de télévision alors, dit-il avec un sourire, je trouverais bien autre chose dans ce cas.

Parce que si elle ne veut pas de télévision et n’en a pas besoin, elle pourrait avoir envie d’autre chose ? Ouais. Il verrait de toute façon en arrivant là-bas. Il y avait tellement de choses inventées chaque jour, il était sûr de pouvoir lui faire plaisir avec quelque chose. Et les jeunes ? Ils voudraient quelque chose en plus ? Une télévision c’était pas mal pour leurs chambres. Avant, il n’avait pas trouvé de raison de redécorer les chambres. Là, il allait y en avoir deux de prises, pour deux personnes qu’il aime. Il rayonne de bonheur en pensant à ça. Léo et Cole allaient avoir le droit au pire père adoptif de la Terre, mais au moins les aimait-il comme un père depuis longtemps. Quand elle lui demande ce qu’il rend heureux, alors même qu’il a démarré la voiture, il tourne la tête et réalise.

- Bah oui, tu n’es pas au courant, qu’il rigole avant de lui faire un sourire rassurant lorsqu’il l’entendit se perdre dans ses excuses. Ne t’excuse pas, voyons. Je n’ai pas pris de nouvelle non plus, alors tu n’as pas à te sentir coupable. Je n’ai aucune allergie, aucun régime particulier, et j’adore les fleurs. En faite, j’adore quand on fait un geste généreux, et ton geste me touche réellement.

C’était ce qui lui plaisait, en réalité. Ce qui lui plait le plus au monde, c’était d’être entouré de personnes bienveillantes qui donnent sans réfléchir. La jeune femme semblait de ce genre là, même si elle ne se sentait pas exactement à sa place se faisant. Il sourit encore pour la rassurer. Il n’ose pas la toucher, parce que certaines personnes n’étaient pas tactiles mais il fait un sourire lumineux.

- Merci d’être venu me voir Faith, et désolé, moi, pour le kidnapping que tu viens de subir. Pour te répondre, je ne sais pas si Yoyo t’avait parlé (//je pense que si) des deux jeunes qui nous suivaient partout. Quand j’embarquais Yoyo, il y avait souvent les deux jeunes. Cole et Léo. Depuis un mois j’ai eu l’autorisation officielle de devenir leur tuteur légal, alors j’ai retapé toute leur chambre, une chacun, et il me manque une nouvelle télévision !

Il réfléchit une seconde avant de rire à nouveau. Un rire sincère et doux.

- Faut vraiment que j’arrête d’enlever les gens comme ça. J’espère que tu n’avais rien à faire, parce que maintenant que tu es là, je vais t’harceler pour avoir des avis sur des télévisions jusqu’à trouver la perfection pour mes petits.

L'amour est le plus précieux des totems.

Faith + Bear

Il se manifeste souvent de manière inattendue !

Il lui lance un regard en biais. On a toujours envie de quelque chose. Le besoin passe en premier… Mais il ne proposait pas d’offrir à la jeune femme quelque chose dont elle avait réellement besoin. Parfois, il fallait juste profiter de ce qu’on pouvait avoir comme envie. Il ne le précise pas. Il verrait bien à ce moment là ! De toute façon, rien ne pourrait ébranler l’incommensurable joie qui le transporte depuis quelques jours. Il y avait tellement de joie en son cœur que ça déborde par ses pores ou ses orifices comme un volcan en éruption. Il ne peut pas retenir la lave de joie qui ne fait que se déverser.

- J’ai toujours voulu les avoir officiellement dans ma vie. Comme Yoyo. Je ne pouvais rien faire pour eux, avant. Maintenant, je le peux, qu’il rajoute avec un sourire tendre et plein d’amour, maintenant je suis leur tuteur et je pourrais les soutenir comme il le faut.

Il savait que les deux garçons avaient eu des soucis avec des familles d’accueil et des foyers. Bear avait conscience qu’on avait détruit leur confiance dans les autres, dans les adultes, dans les « responsables ». Mais Bear il avait réussi à leur donner de la confiance. Bear avait fait en sorte de les soutenir avant même de pouvoir penser à les prendre à sa charge. Il le soutenait et… Vraiment, il aime ça l’idée de pouvoir enfin les protéger comme il se doit. Il veut les protéger avec tout ce qu’il possède. Toute sa force. Et maintenant, il en avait le droit.

- Normalement, l’électroménager est géré par la famille qui sert au manoir. Mais je pense que tu pourras m’aider. J’ai donc deux enfants de 16 ans, et je veux qu’ils puissent se sentir merveilleusement bien dans leur chambre, donc si tu penses que je dois rajouter quoi que ce soit dit le moi.

Lui ? Il avait toujours eu un mini frigo dans ses chambres… mais parce que sa famille, et lui, savait qu’il aimait boire de l’eau fraiche et qu’il était un véritable pachyderme quand il dévalait les escaliers à trois heures du matin… même dans leur grand manoir de Londres… Donc. Il la regarde sur le côté avant de pencher la tête face aux nouvelles qu’elle lui donnait. Elle semblait réellement passionnée. Alors pourquoi ? Il se demande.

- Si tu es heureuse comme ça. Avant, j’étais cascadeur pour des films hollywoodiens. Parfois, quand je regarde en arrière, je me dis que ça me manque. Toute l’effervescence qu’il y a autour d’un film ou d’une série. Le fait de savoir ce qu’il allait se passer, de devoir se mettre en place pour donner l’impression que c’est un autre qui fait la cascade. Cela me manque, parfois, mais je me sens véritablement heureux avec mes nouveaux projets. Je pense que j’ai réussi à finir cette page comme il se faut. Est-ce que c’est ton cas ?

Il essaie de savoir… parce qu’il pouvait lire les mensonges… et la dernière phrase en comparaison au reste de ses paroles étaient … grises. Il ne pouvait pas dire si c’était un mensonge ou pas. Il voulait le savoir… et l’aider ? Bien sûr, qu’il allait l’aider. Parce qu’elle était une amie de Yoyo, parce qu’elle était sympa, parce qu’il était sympa… et parce qu’il ne voyait aucune raison de ne pas investir dans la vie des personnes pures de ce monde. Donc. Il pouvait très bien aider la jeune femme si elle voulait faire une reconversion.

L'amour est le plus précieux des totems.

Faith + Bear

Il se manifeste souvent de manière inattendue !

Bear élargit à nouveau ses lèvres dans un sourire radieux. Ouais. Il les rendra heureux. Comme il peut. Et s’il aura parfois des lacunes, parce qu’on ne devenait pas père de deux adolescents sans lacune, il savait qu’il arriverait à les combler. Il utilisait son savoir avec les autres. La communication qu’il met à la base de tout. Son autorité sur les deux jeunes était déjà établie depuis des années, quand ils se sont rencontrés. Cela avait été un coup de foudre paternel entre eux. Cette situation actuelle n’était que la validation légale de ce qui était déjà.

- Merci.

Il était content qu’on le croie capable de réussir. Il était ravi qu’on le sache capable. Il était même plus que ravie. C’était ce genre de sentiment, doux et puissant qui gonfle le cœur et le fait déborder sur le visage sans qu’on ne puisse l’en empêcher. Il n’y avait rien de pire que d’empêcher la joie de s’inscrire sur les muscles. C’était comme essayé de stopper une inondation avec une passoire, on peut essayer, mais le résultat reste le même. Il voulait faire le mieux pour les petits, et ça commence par les rend pourri gâté, et il n’avait aucune honte à le dire.

- Je leur ai offert des téléphones qui fonctionnent toujours. Je sais que Léo adore les jeux vidéos, mais il n’avait eu qu’un DS dans ses affaires au foyer et il aime jouer à ma console quand il vient chez moi. Cole est plus tranquille, il aime lire, ça oui. Les deux dessinent aussi bien que moi… Ce qui veut dire qu’on aime les bonhommes en bâton, précisa-t-il avec un grand sourire.

Cole aimait-il les jeux vidéos aussi ? Si le jeune jouait à Mario Party avec eux, Bear n’était pas certain qu’il apprécie réellement jouer sans une bonne raison. BAH. Après tout, s’il prend tout en double, même si ça ne sert pas, ça pourra être au cas où ? Il en était là de ses réflexions.

- En effet, qu’il sourit quand elle est surprise de son ancienne profession. Tu peux me demander. Je n’aimais pas la compétition entre les acteurs et la tension qui régnait toujours sur le plateau. J’ai été le cascadeur de plusieurs hommes, dont Le roc, et il faut savoir que la plupart considère « normal » que notre vie, qui vaut moins que la leur, soit mise en danger pendant une scène. J’ai même eu un acteur qui voulait rendre la scène de plus en plus folle au risque que je meurs en la faisant. Et ne t’excuse pas.

Il avait parlé de Zoé a demi-mot. Zoé, c’était une actrice qui avait fini par mettre fin à ses jours sous la pression. Zoé, c’était une gamine qu’il avait pris sous son aile comme il l’avait fait pour les deux jeunes. Parce qu’il était un ours bienveillant. Zoé avait été aussi la première à l’appeler Bear en face, sans la moindre gêne. C’était une petite boule d’amour qui était parti trop tôt, dont il se fustigeait encore de sa mort, se considérant comme responsable. Il était parti parce qu’il ne pouvait plus voir la pression des bienveillants dans l’industrie du cinéma, en face à la malveillance de ceux qui se croient tout permis. Si la cascade l’amuse toujours, il fait du parcours parfois, ou des choses un peu folle, il n’avait plus envie de devoir le faire pour qu’un autre en prenne le crédit dans un film.

- Et il n’y a pas un moyen de faire un « moitié-moitié ». Aider les personnes gratuitement par exemple, avec tes capacités, et gardait ton travail de maintenant pour le reste ? Personnellement, je continue à faire des cascades quand je veux m’amuser, je fais des activités sportifs, l’escalade extrême, du trampoline ou autre, et ça me suffit pour aimer ce que je fais, mais sans la pression que je me mettais à l’époque.

L'amour est le plus précieux des totems.

Faith + Bear

Il se manifeste souvent de manière inattendue !

- J’ai toujours trouvé cela… incroyable, les personnes qui arrivent à dessiner. C’est pour ça que j’aime l’art, et ma mère aussi. Quand on voit la capacité des artistes de rendre quelque chose, un sentiment, avec de la peinture, je trouve que ça se rapproche de la magie.

Il aimait l’art. Il aimait toute sorte d’art, même la contemporain. Il arrivait même à défendre Guernica, qui était plus incroyable pour son histoire et ce qu’il dégage que par la capacité à faire un corps proportionnel, oui. Mais il aimait l’art. Il aimait voir que les gens puissent faire d’une image de leur esprit quelque chose de concret. Quoi de plus concret qu’une toile que l’on peut exposer et analyser ? Bear réfléchit à la possibilité d’une liseuse.

- Au pire, je peux lui prendre une liseuse, oui. Déjà, je sais qu’il n’osera pas me demander que je lui achète des livres… j’ai envoyé Léo faire la fouine. Il doit m’envoyer les séries que Cole aimerait lire. Mais s’il y a la liseuse et l’abonnement à … je ne sais plus le nom, mais y a un abonnement pour un catalogue, non ? C’est une idée géniale !

Il n’y aurait pas pensé tout seul. Très clairement, comme pour beaucoup de chose, il était vieux. Bear avait terriblement conscience qu’il était un être vieillissant et plus dans le coup. Il savait qu’il n’y avait plus trop la possibilité d’être « dans le vent ». Donc, la liseuse ne lui serait pas venu à l’esprit… et si Cole l’utilise, Léo pourra utiliser les « recommandations » en rapport à ses lectures pour donner une meilleure liste à Bear. C’était vraiment une très très bonne idée. Pour Bear, rien n’est trop beau… Très clairement, déjà, il était le genre très généreux avec les personnes qu’il aime, même s’il n’abuse pas (selon lui) mais alors quand il adore ? Il valait mieux réussir à le brider. Cependant, Léo et Cole ne pourront pas le brider s’ils n’apprennent les cadeaux qu’après les avoir reçu. Il fit un doux sourire de canaille avant de regarder vers la jeune femme. Elle aussi, pour ses conseils, allait avoir le droit à ses cadeaux. Elle a dit « pas de TV » mais elle n’avait rien dit pour le reste. Et elle aime les livres. Et cette idée arrive presque à ne pas rendre lugubre leur discussion sur son ancienne vie.

- Oh, cela peut arriver. J’ai fais plusieurs petits films avec des personnes très bien. Ils étaient sympas et j’en ai eu même un qui pensait que j’étais un super héro. Mais plus la personne est connue, plus tu es quantité négligeable. C’est une grande entreprise et ça fonctionne de cette façon.

Même s'il le déplore... mais il avait eu des bons moments. Surtout en rencontrant son amie, Zoé...

- Illégal ? s’étonna-t-il avant de plisser les yeux. Je ne dois pas comprendre ce qu’était ton ancien métier alors. Je pensais plus au fait d’aider les personnes qui ne le savent pas. Ou aider à faire des sites internet, non ? Je comprends ce que tu me dis, mais sache que si jamais tu as besoin de moi, je serais là. Même si c’est illégal, je me doute que ça sera pour le bien et moi je suis le genre à boxer.

Il eut un petit rire. Même s’il n’aimait pas l’illégalité, il aimait encore moins la stupidité. Pour lui, quelqu’un qui vient en aide à un autre ne devrait pas être mal vue. La jeune femme parlait bien d’internet, non ? Ou en tout cas de chose qui le dépasse. Mais il sait qu’il aimerait protéger l’humanité des aspects néfastes de la technologie. Il espère juste que la jeune femme puisse être heureuse… mais sans savoir exactement de quoi il en retourne, il ne peut réellement pas l’aider.