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Dakota Kennedy
Dakota Kennedy
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Avatar et crédit : Polly Ellens - moi-même (sauf gif)
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Occupation : Médiatrice culturelle de musée
Âge : 30 Quartier : New Town - Duplex sur Prince's Street
Situation familiale : Célibataire sans enfant
Date d'arrivée à Edimbourg : 15 juillet 1994, lors de ses premiers cris
Don :
Spirit : Elle ressent et voit les esprits, que ce soit physiquement ou sur les photos. Elle décrit ses visions comme une brume, mais dans laquelle elle peut distinguer un physique et des vêtements. Elle ressent quand il tente de parler, parfois, des vagues de leur émotion s’emparent d’elle, mais elle n’arrive pas à les entendre. Elle n’est pas vraiment à l’aise avec son don.


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Sam 27 Juil - 22:58
Dakota avait organisé ce voyage depuis plusieurs jours. L’organisation avait organisé une manifestation contre la construction d’un nouveau bâtiment juste à côté d’une route forestière. Avec ce bâtiment, cela risquait une menace écologique qui planait sur la région. Ils avaient tout prévu, le tracé de la marche, les slogans, la sécurité… Elle était intervenue pour quelques détails techniques, des informations. Elle s’était préparée à tout ça. Elle avait fait le nécessaire pour être prête.

Ce matin-là, il faisait chaud, elle avait donc enfilé un dos nu et un short en jeans. Elle avait prévu un éventail avec la chaleur. Pour le trajet, elle n’avait prévu que son téléphone, qu’elle mettrait dans un sac étanche pour la suite. Il fallait toujours tout prévoir. Elle regardait passer le paysage. Elle avait déjà pris cette ligne plusieurs fois, elle aimait beaucoup voir le paysage défiler. Elle semblait même dans un autre monde. À tel point qu’elle ne remarqua pas tout de suite le train qui s’arrêta. Elle finit par comprendre qu’il ne bougeait pas en entendant des personnes qui haussaient la voix. Elle regarda autour d’elle un peu perdue. Elle ne savait pas vraiment à quoi s’attendre. Certaines personnes semblaient s’exciter parce qu’il n’y avait pas de message du conducteur ou du contrôleur. C’était étrange comme situation. En général, s’il y avait un quelconque souci, il y avait un message. Elle observa le wagon : quelques vitres étaient ouvertes, mais pas suffisamment pour laisser de l’air rentré, et encore moins par une chaleur pareille. Les portes n’avaient pas été ouvertes. Il n’y avait pas l’air d’avoir un danger imminent. Elle regarda la personne assise en face d’elle.

– Vous avez une idée de ce qui pourrait se passer ? J’étais un peu dans mon monde. Je ne sais pas s’il y a eu une annonce.

Elle sourit à la personne en face d’elle, qu’alors une personne se levait exigeant des informations. Elle ne comprenait pas l’intérêt de s’emporter de la sorte. Inutile de crier alors qu’il n’y avait visiblement personne pour l’entendre.
Youlia Kourotchkine
Youlia Kourotchkine
Don't ever call me "Little Flower"
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Pseudo : Nagel / Thibonosaure.
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CW : Harcèlement sexuel - langage vulgaire - sexe - anorexie - consommation de médicaments - trafic d'êtres-humains.
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Prisonnière d'un train - Youlia - Loterie RP Walking-emily-browning
Occupation : Journaliste & éditorialiste à STV - Professeure vacataire, chargée de TD à l'université en relations internationales.
Âge : 35 Quartier : Chambre étudiante dans une résidence située non loin de l'université d'Edimbourg.
Situation familiale : Célibataire ; se considère comme orpheline et fille unique. Elle a en réalité un frère aîné.
Date d'arrivée à Edimbourg : Une première fois en 2015 ; puis revient en 2021.
Don : Aucun. Est encore soumise au don de son ancienne meilleure amie, Adalynn Grey, qui fait que celle-ci peut connaître toutes les émotions de Youlia à toute heure du jour comme de la nuit.

Couleur : #9900ff

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Sam 31 Aoû - 12:12
PRISONNIÈRE D'UN TRAIN
Pshiiiiiiiiiiiit. Le brumisateur braqué en direction de son visage figé dans une expression de profond désespoir, Youlia s'aspergeait d'une nuée de gouttes fraiches afin de neutraliser la chaleur ambiante. Le train, en plus de cela, par sa structure de large chenille métallique, avait la particularité de conserver le feu dardant du soleil extérieur. Les accoudoirs eux-mêmes étaient des braises incandescentes qui lui déchiraient la peau des avant-bras dès lors qu'elle osait poser ces derniers contre. Les yeux cachés derrière de larges lunettes de soleil qui prenaient une bonne moitié de son visage et la faisaient ressembler à un panda anorexique qui faisait pleuvoir sur sa face une diluvienne artificielle.

En sa qualité de russe, Youlia tenait en horreur l'été. Si elle avait autant apprécié le Royaume-Uni, en 2015, lors de sa première visite, c'était en raison de sa culture, de ses pubs, de sa langue mais aussi, et peut-être surtout, sa météo. Rares étaient les personnes qui louaient les temps pluvieux et les mines grises du ciel, cependant la jeune femme était une de ces idolâtres. De sa Mère Patrie, elle n'avait connu que le froid, que le gel, que la neige. Alors, nécessairement, elle abhorrait les peaux mat, les odeurs d'auto-bronzant, les bikinis, les chapeaux de paille, les planches de surf. Chaque mois de juin, c'était la même chose : elle attendait octobre. Et ce, depuis qu'elle avait décidé de s'installer de façon pérenne en Écosse. Autrefois, sans le réchauffement climatique, les populations devaient sans doute vivre agréablement juillet - août, profitaient d'une légère bise du printemps qui avait continué sa course jusque dans la saison voisine. Aujourd'hui, où qu'ils soient sur le globe, les Hommes devaient affronter les vomissures du soleil.

Alors, si elle était là, ce matin, affalée dans son siège, stoïque, le visage humide mais qui s'asséchait déjà dans ce large four sur rails, c'était parce qu'elle devait se rendre aux bureaux de STV, à Glasgow. Elle devait encore soutenir, à la rentrée, sa thèse mais avait déjà obtenu un entretien avec un des patrons de la chaîne d'informations en continu. Évidemment, avait-il dit, il ne promettait rien de cette visite mais s'était dit assez intéressé par le profil de la russe. Ce qui l'inquiétait le plus dans son discours, ça avait été quand il lui avait précisé qu'il était un bon ami de Walton. D'un côté, cela lui montrait qu'elle avait bien eu raison, il y a quelques années, de lui adresser ce mail dans lequel elle s'était proposée de façon assez appuyée pour devenir sa doctorante ; mais d'un autre, elle redoutait grandement le fait que ce type soit, à l'image de son enseignant-chercheur, un prédateur en puissance qui n'avait trouvé d'intéressant dans son profil que des éléments de fantasmes : elle était, aux yeux de beaucoup, une petite fille de l'Est perdue, naïve, prête à tout pour un billet, comme celles qu'ils voient à loisir dans des vidéos pour adultes.

Puis il y eut un léger grincement. Les anneaux du long python d'acier s'arrêtèrent les uns après les autres et la vélocité disparue de l'animal fit légèrement remuer vers l'avant le corps débile de la future docteure, par inertie. La chaleur la tenait tellement dans son poing qu'elle ne trouva qu'à peine la force de diriger sa tête, hagarde, en direction du couloir de son wagon où s'affairaient déjà certains voyageurs. Pitié, pas une panne. Pas maintenant, alors que le soleil darde. Elle secoua sa gourde et s'aperçut qu'elle ne perlait plus que de quelques gouttes brûlantes, imbuvables. C'était donc ça, être perdue en plein désert ? Des voix haussaient. Un voyageur, qui avait tout du look du businessman moderne et qui, Dieu sait comment, n'avait pas encore délacé sa cravate d'autour de son cou en dépit de la température, maugréait quelques mots injurieux à côté d'elle, sur l'autre rang. En face, sa voisine, une jeune femme dont le visage abritait une galaxie de tâches de rousseur et dont le visage s'encadrait de longues mèches couleur mandarine la questionna sur la situation actuelle de leur véhicule. Contrainte de prendre la parole, elle eut l'impression d'être une momie revenue à la vie dont les traits, durcis par la sécheresse craquaient pour se défaire et s'articuler en des expressions humaines :

« Aucune idée, non. Je pense que ...
- Mesdames, messieurs, notre train rencontre actuellement un problème technique. Nous vous excusons de la gêne occasionnée et vous remercions de bien rester à votre place. Un contrôleur va passer parmi vous dans les minutes à suivre afin de se tenir au courant d'éventuelles correspondances. Merci de votre patience. »

La fin du message fut couverte par des huées et des plaintes qui montaient crescendo autour d'elles. Leur voisin en costume, enfin, délia sa cravate en soupirant. Comme si cette annonce avait interrompu la mission pour laquelle il était parti et l'avait contraint au port de ce noir costume de pingouin. Un pingouin, coincé en plein été dans un train brûlant. Quelle profonde ironie.

« Super. » Souffla Youlia en faisant encore cracher la vapeur d'eau sur son visage. Celle-ci créa un fin voile aqueux sur les larges verres sombres de ses lunettes et constella encore plus le visage de celle qui se trouvait en face d'elle, à ses yeux. « Vous pensez qu'ils en ont pour longtemps ? » Demanda t-elle à sa voisine avant de se poser la question à elle-même et de répondre, presque aussitôt. « Mh. Bien sûr que oui. D'où le contrôleur qui va passer pour calmer tout le monde... Je devrais envoyer un SMS pour prévenir de mon retard. »

Cependant, dès qu'elle le sortit de sa poche, elle constata qu'elle n'avait absolument aucun réseau. Le regard dirigé vers l'extérieur, elle s'aperçut qu'ils étaient cernés par la verte campagne écossaise.

« Putain... »
Dakota Kennedy
Dakota Kennedy
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CW : /
Messages : 80
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Occupation : Médiatrice culturelle de musée
Âge : 30 Quartier : New Town - Duplex sur Prince's Street
Situation familiale : Célibataire sans enfant
Date d'arrivée à Edimbourg : 15 juillet 1994, lors de ses premiers cris
Don :
Spirit : Elle ressent et voit les esprits, que ce soit physiquement ou sur les photos. Elle décrit ses visions comme une brume, mais dans laquelle elle peut distinguer un physique et des vêtements. Elle ressent quand il tente de parler, parfois, des vagues de leur émotion s’emparent d’elle, mais elle n’arrive pas à les entendre. Elle n’est pas vraiment à l’aise avec son don.


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Prisonnière d'un train - Youlia - Loterie RP Empty Re: Prisonnière d'un train - Youlia - Loterie RP

Mar 17 Sep - 18:57
Dakota était plutôt ravie que ce trajet se passe durant les mois d’été. Elle savait que dès que la rentrée scolaire serait arrivée, ce train serait encore plus rempli. Il y aurait des universitaires en tout genre, la tête coincée dans leur ordinateur portable. Certains plus civilisés seraient plongés dans des livres, des syllabus ou des notes de cours. La grande majorité se serait mise à râler à l’arrêt du train. Ce genre d’étudiants n’était pas prêt à arriver en retard. Il y en aurait bien eu quelques heureux d’avoir une bonne raison de se reposer encore un peu plus. Mais ils étaient rares. Au moins en été, la population qui prenait le train était moins pressée, de manière générale bien sûr ! Il y en avait quelques, qui se rendaient bien évidemment au travail, en réunion ou en entretien. Elle en avait bien conscience.

Elle n’aimait pas non plus se trouver dans le train pendant la période des fêtes de fin d’année ou de fin d’examen. Il y avait plus de personnes ayant bu un verre de trop, des personnes « off your trolley », comme on disait dans la région. Une expression qu’elle utilisait et appréciait même. En étant une pure écossaise, elle avait tendance à beaucoup en utiliser. Ce qui faisait parfois rire ou interpellait ses amis de l’association. Il était arrivé qu’elles doivent expliquer ce qu’elles voulaient dire.

La personne à qui elle avait demandé des renseignements commençait à lui répondre quand la voix presque suave du contrôleur qui annonçait un problème technique, elle haussa les épaules, comme si cela n’avait aucune importance. Bien sûr, elle n’aimait pas être en retard à une manifestation, mais il n’y avait rien d’obligatoire. Elle regarda rapidement le cadran de sa montre pour voir l’heure. Il y avait encore une grosse heure avant le démarrage du cortège. Elle se fit la réflexion qu’avec un peu de chance, elle pourrait y être à temps.

Elle leva encore une fois les yeux vers les autres passages, observant les réactions de frustration. Une seule personne semblait détonner. Une dame visiblement âgée avait ouvert un sac en tissu et avait commencé à picorer un ensemble de noix, noisettes et autres fruits à coques. Un mélange qui devait avoir été composé par la personne elle-même au vu des quantités spécifiques des ingrédients. (29 mots). Elle se fit la réflexion qu’à l’avenir, chaque voyage devrait se faire accompagner d’une petite chose à grignoter pour pallier ce genre de cas.

 La jeune femme assise en face d’elle, celle qu’elle avait questionnée quelques instants plus tôt, commença à poser une question. Dakota allait y répondre quand la demoiselle se fit sa propre réponse. Elle dut sourire, et même rire un peu face à cette façon de faire.

– Une part de moi espère que ce n’est que quelque instant. Mais comme vous dites, si le contrôleur va passer, c’est que c’est probablement plus grave. J’ai rarement attendu plus d’une heure pour des arrêts. La majorité tient plutôt à quelques minutes, mais cela arrive à avoir des soucis plus longs. Effectivement, je devais prévenir également qu’il y a un souci.

Elle sortit son téléphone pour constater le manque de réseau. Elle se fit la réflexion qu’elle aurait dû s’en douter. Elle regarda la jeune femme râler en face d’elle, malheureusement, elle ne pouvait lui être d’aucune aide. Elle savait que ses contacts l’attendraient devant les panneaux annonçant les trains. Ils verraient bien qu’elle aurait du retard et ils lui écriraient un message s’ils partaient sans elle. À son arrivée, elle se dépêcherait de trouver un moyen de rejoindre le cortège et son groupe. Pas question de partir en vadrouille alors qu’une si grande menace planait sur la région. Elle reporta son regard sur la jeune femme en face d’elle.

– Bon, nous voilà incapables de donner des informations. J’ai encore la chance que notre point de rendez-vous soit en face des tableaux annonçant les trains. Parfois, je me dis que je devrais prendre un téléphone satellitaire pour ce genre de trajet. J’aurais pu vous être utile. C’est ennuyant quand on ne sait contacter personne.

Elle souriait, c’était un sourire bienveillant, mais un peu contrit. Elle n’était pas heureuse de la situation, cela la frustrait. Elle essayait cependant d’agir de manière calme et avec du recul. Elle était consciente que râler n’arrangerait rien, plus de la moitié du train le faisait déjà suffisamment pour les autres. Elle posa sa tête sur le repose-tête et ferma les yeux un instant, elle se demandait s’il était possible d’ouvrir un peu plus les fenêtres ou bien d’ouvrir les portes. Elle fit aller son éventail devant elle. Elle se redressa à nouveau en regardant sa compagne de fortune. Elle aussi semblait rester calme, une partie qu’elle appréciait.

– Au fait, je m’appelle Dakota, je me rends à une manifestation. Si jamais tu as trop chaud, on peut tenter de se partager mon éventail. Malheureusement, je n’ai rien d’autre à offrir. Et je ne pense pas que les autres passagers vont être d’humeur à s’ouvrir aux autres pour proposer certaines de leurs ressources. J’aurais dû penser à prendre un peu d’eau avec moi.

Selon l’expérience de Dakota, il était rare que les trains aient un long retard. Elle ne pensait pas souvent à prendre une boisson, surtout en manifestation. Peut-être devrait-elle ajouter ça à son kit de voyage ou de manifestante. Elle faisait exprès de voyager léger pour éviter de perdre le moins de choses possible, de se faire voler ses affaires ou même de les abîmer lors de heurts possibles. En général, elle avait un peu de monnaie pour aller chercher quelque chose à l’épicerie ou bien dans une machine. Certains organisateurs de manifestation prévoyaient parfois de l’eau. Que ce soit par forte chaleur ou un risque de lancer de gaz lacrymogène. Elle était peut-être assez extrême, mais pas au point d’aller trop au-devant du danger. Si elle ne tenait pas à son emploi, elle se mettrait certainement bien plus en danger.

Il y a peu, elle avait tenté de recruter Mia, ingénieure en hydrogéologie. Elle l’avait rencontré dans un café, la belle demoiselle était révoltée parce qu’on n’avait pas considéré son avis sur la construction d’un lieu. Dakota s’était rapprochée d’elle au début dans le projet de la consoler. La suite s’était avérée plus complexe. Elle pourrait être un atout pour le groupement. La rousse avait également envie d’avoir une nouvelle excuse pour la revoir. La jeune femme lui plaisait, mais elle n’avait pas osé la séduire alors qu’elle semblait au plus mal. Elle voulait également la connaître un peu plus avant de tenter toute action envers la demoiselle. Elle ne voulait pas la brusquer et risquer de perdre les intérêts pour le groupe. Elle était donc aux prises entre ses sentiments et le besoin du groupe qui défendait ses valeurs.
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