Sinking Past
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Eurydice Sutherland
Eurydice Sutherland
Crusader
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Pseudo : Lapin Magique
Avatar et crédit : Violett Beane • Moi
CW : Drogue • Alcool • Maladie • Abandon
Messages : 5350
Occupation : Chimiste, crée des drogues hallucinogènes
Âge : 27 Quartier : Vit dans une petite maison à Stockbridge, New town
Situation familiale : Célibataire
Don : Il lui arrive de façon aléatoire d’être dans la tête des autres l’espace de maximum cinq secondes. Elle entend leurs pensées, voit ce qu’iels voient et entend ce qu’iels entendent mais elle pense que c’est simplement son imagination.

Pire que dans mes souvenirs • Kai Empty Pire que dans mes souvenirs • Kai

Mar 13 Aoû - 17:58
Pire que dans mes souvenirs
[T.W : consommation d’alcool, tabagisme]

La lumière de stroboscopes me brûle les rétines mais c’est comme ça que je l’aime. La musique impose à mon myocarde un rythme qu’il peine parfois à suivre, ses basses font vibrer mes os et siffler mes oreilles. J’ai la gorge en feu à force de crier avec les autres clients de la boîte de nuit et je dois avouer que l’alcool que j’ai ingéré n’aide pas à la soulager. Ce sera un problème pour la moi de demain lorsqu’elle n’arrivera pas à parler correctement à ses employés mais, pour l’instant, vous voyez bien que je m’en fous.

Je danse, je me pose deux minutes avec des amis ou des personnes que j’ai rencontré ce soir, je me fais payer des verres… Plus tard, je paierai ma tournée aux gens avec qui j’ai passé le plus clair de la soirée mais j’attends de voir qui restera. Ce n’est pas vraiment un critère indispensable pour que j’aligne les billets mais ce soir, je suis moins d’humeur altruiste. Je ne sais pas, il y a quelque chose qui me perturbe et je n’arrive pas à passer outre. La preuve en est que je n’arrête pas de m’imaginer ce que les autres peuvent ressentir plutôt que de me concentrer sur moi-même alors que mes ressentis sont tout de même très forts.

Ca m’agace, je ne sais pas pourquoi je cherche à ce point à fuir ma réalité, ce sentiment que quelque chose se prépare et risque de me tomber dessus. J’en ai marre alors je retourne au bar commander des shots. Vous voyez le cliché de l’employé qui se permet de draguer les clients ? Oui, celui bien lourd et qui n’a absolument pas conscience que son petit numéro est surtout repoussant et gênant. J’y ai eu droit grâce à ce barman dont le badge décline son identité. Oscar, donc. Je n’ai pas le temps de le remettre à sa place que sa collègue le bouscule pour prendre sa place. Amen. Non, je ne suis pas croyante, vous le savez pourtant.

Une fois les shots servis, je les avale comme il se doit avant de retourner danser. L’alcool fait son office, il me fait tourner la tête, brouille mes pensées et mon imaginaire trop invasif ce soir. Je souris enfin, j’ai l’air plus détendu et mes amis me le font remarquer. Nous plaisantons, je danse avec eux en ignorant celles et ceux qui cherchent à se glisser entre nous. Et puis je finis par fatiguer. L’alcool, ça aide à beaucoup de chose mais je trouve pas que ça ait un quelconque effet sur mon endurance. Au contraire, après quelques verres, il finit par m’assommer ; je dois trouver le juste milieu, à chaque fois et ce n’est pas la chose la plus évidente.

Pour me remettre d’aplomb, je décide d’aller fumer. Les autres n’ont pas besoin de m’accompagner, je préfère qu’ils continuent à s’amuser et, de toute façon, je n’en ai pas pour très longtemps. L’air extérieur me fait déjà un bien fou et je me dirige vers un groupe pour taxer une cigarette parée de mon plus beau sourire. Une fois fait, je discute un peu avec ses membres avant qu’ils ne rentrent et me laissent seule sur le trottoir. Je m’avance un petit peu et lève la tête vers le ciel. Il manque des étoiles mais ça reste agréable.
Kai Hendry
Kai Hendry
Scumbag Loser
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Pseudo : Nagel / Thibonosaure.
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CW : Langage vulgaire - incel - machisme - misogynie - homophobie - sexe - violence.
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Pire que dans mes souvenirs • Kai Soy-un-idiota-samuel-garcia
Occupation : Ex-étudiant en droit, crypto-trader & influenceur muscu.
Âge : 25 Quartier : Petit appartement à Wester Hails & la maison Hendry, située à Leith.
Situation familiale : Célibataire, mais c'est parce que je le veux bien, pas parce que je me prends des râteaux.
Date d'arrivée à Edimbourg : Il y a toujours vécu.
Don : Dès qu’il abandonne un projet dans lequel il s’était lancé précédemment, ce projet aboutit mais pour quelqu’un d’autre. Il confère ainsi une chance incroyable à ses rivaux et considère, de son côté, être un « poissard de l’extrême ». Ce qu’il ne réalise pas, c’est que s’il poursuit ses efforts sans baisser les bras, son don lui permettra de réaliser assurément de très grandes choses.

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Pire que dans mes souvenirs • Kai Empty Re: Pire que dans mes souvenirs • Kai

Mar 22 Oct - 0:39
PIRE QUE DANS MES SOUVENIRS
   Au Hive, il y a des mecs fortunés qui ont une fille à chaque bras. Il y a les filles, fortunées ou non, qui esquivent des lassos de bras envoyés çà-et-là comme des pièges à l'aveugle les chercher, les étreindre, les ramener. Il y a aussi et surtout des mecs qui ont un verre à chaque main. Kai fait partie de la dernière catégorie. Il danse, ou tout du moins dessine des cercles avec son bassin comme s'il jouait du cerceau, sauf que celui-ci est une auréole invisible qui lui tombe déjà au bas des chevilles au vu de son déhanché des plus hasardeux et, les mains levées au ciel, il tente de garder remplis les deux verres d'alcool qu'il a emporté avec lui pour éviter qu'un pote ne lui crache dans l'un et ne pisse dans l'autre. Il faut dire que quand certains boivent, ils ne se contrôlent plus, et leurs vessies non plus. On lui a déjà raconté de sombres histoires du genre, à Kai, et depuis il fait très attention à ses boissons. Il est d'ailleurs l'un des rares à ne pas s'étonner ou à s'offenser qu'une fille se balade avec sa consommation, la main cerclant le dessus afin de garder hermétique son verre. Maxwell lui a dit que c'était parce qu'elles manquaient de confiance et qu'elles craignaient qu'on les drogue à leur insu. Il finissait son explication, en règle générale, par une insulte dûment choisie au préalable. Kai hochait la tête mais, au fond de lui, il se disait que si elles étaient comme lui, la drogue ça ne leur faisait pas moins peur qu'une pisse chaude d'un de ses potes bourrés.

Il se déplace en diagonale afin de rejoindre la bande, attablée à un comptoir fluorescent qui vomit toute sa lumière sur les trois marches qui permettent au bar de s'élever au-dessus des têtes ivres dont s'extrait alors Kai avant de poser, dans un geste brutal qui lui valut de s'humidifier les paumes avec le bond de ses deux liquides, ses verres sur la table vernis du Hive. Quand il arrive, Max' explique ses théories sur la société actuelle, sur la dépendance des femmes aux hommes et à leur volonté de s'extraire de leur féminité - laquelle exige leur soumission à l'Homme - au nom d'un prétendu « féministe » qui, en réalité, paradoxalement, les fait devenir des êtres-tierces, en dehors de toute dualité homme - femme et qui, de ce fait, les exclut de tout système ordonné pour les faire se tourner vers le chaos. Toutes ces grandes formules, chacun les connait par coeur à force. Ce sont des mots empruntés ici et là-bas par Max' qui se fait l'anthologie complète des pensées diverses de droite, d'extrême-droite, d'ultra-droite des masculinistes de tout horizon et tout bord - tant qu'ils sont à droite -. Kai ne comprend pas toujours tout, lui qui a un verbe plus discret et moins élaboré que son meilleur ami, mais il hoche toujours la tête. S'il est là ce soir, cependant, ce n'est pas pour une énième réunion politico-sociale alors, il attrape les épaules de Max' et d'un type dont il n'est plus vraiment sûr du nom et il les hèle alors, même si leurs oreilles sont à deux centimètres de sa bouche puant déjà l'alcool :

« Max' ! Jim' ! » Il n'a aucune idée de s'il s'appelle réellement Jim' alors il se reprend : « Les gars ! » C'est plus sûr. « J'ai vu des pétards par là-bas ! Faut pas que les Irakiens mettent la main dessus si vous voyez ce que je veux dire parce que putain, du C4 pareil ... J'ai bien envie que ça me pète dans la main moi ! »

Un blond à la chemise bleue et rose le dévisage. Max' aussi, d'ailleurs. L'analogie, ça n'a jamais été son fort et il est difficile pour lui de comprendre le double-sens de sa phrase. Plusieurs d'entre eux s'esclaffent, amusés de voir qu'à sa métaphore explosive se joint une métaphore sur la flatulence qu'il n'est pas capable de percevoir. Demain, il mettra la faute sur la brume de l'alcool qui a assombri ses pensées et a rendu ardue toute réflexion littéraire et poétique approfondie. Car beaucoup le savent, Kai est un grand poète. Max' s'en est d'ailleurs moqué la dernière fois lorsqu'il a trouvé dans son portable, sur son appli « Notes » quelques lignes d'un rap qu'il a commencé à écrire.

La rue, la rue, la rue c'est incongru mais pas pour nous, nous les mecs les plus connus, de la tess, tu peux pas nous test, on va te traquer jusqu'à Budapest, on va kidnapper ta mère et lui refiler la peste, on est des magiciens de la misère pas des chiens de la galère, nous les billets verts on n'en a que faire, on n'est riches que de nos vers, les mots sont autant de balles qu'on va foutre dans la tête de ton père.

Bref, même s'il avait toute sa prose à revoir, il était au moins convaincu d'une chose : ce soir, ils allaient pouvoir avaler la pilule de l'aigreur masculine et aller se venger auprès d'une femme aux atouts divers. Cependant, lorsqu'il lui fut demandé de désigner les demoiselles qu'il avait tantôt repéré, il se retrouva à désigner du menton un tas de personnes informes duquel il était difficile d'extraire ne serait-ce qu'un individu particulier. La mélasse humaine formait un monstre unique gratifié de mille têtes dont le corps seul était la piste de danse. Les corps ondoyaient, comme soufflés par les grognements de la bête énorme cracheuse de sons électriques. Réajustant les plis de sa chemise bleue, il arracha ses bras des épaules de ses amis, Max' continuant comme avant qu'il ne l'interrompe en frappant parfois du bout des phalanges le bois rouge du comptoir, martelant argument après argument que le progressisme était un fléau, une avancée à reculons. Putain, pas moyen de remettre la main sur la gonzesse lourdement armée de tout à l'heure ... Et maintenant, plus moyen d'attirer l'attention de ses potes. Ruminant dans son coin, Kai interrompit un mec qui passait par là en claquant contre son torse sa main qu'il avait mis en opposition, tandis qu'il marchait à côté de lui.

« T'as une clope ? »

Ils se dévisagèrent mais le regard de Kai dût se faire plus méchant que le sien puisqu'il ne tarda pas à lui diriger un paquet dans sa direction afin qu'il se serve. Une petite branche blanche était dégainée. Il la prit entre deux doigts, le remercia d'un geste de la tête et fit tournoyer la cigarette entre ses doigts avant de se retirer en n'oubliant pas ses deux verres, glissant entre ses lèvres la clope qu'il venait de soustraire à ce type.

Dehors, il n'était plus question d'ondes bombardées dans sa direction, de corps qui s'entremêlent et se confondent, de railleries, de pisse chaude ou de discours vociférés en lutte avec la musique barbare qui assaille chacun. Non, à l'extérieur du Hive, l'atmosphère redescend. La chaleur est encore présente et embaume chacun mais elle se défait peu à peu comme un spectre chaud qui, vaincu par le froid, retourne se terrer dans son domaine de feu, de son et d'alcool. Malgré la cigarette en coin de bouche, Kai prend une rasade de vodka. Il pose son second verre, une tequila fruitée, sur le rebord d'un mur et avale l'entièreté de la vodka qui a l'effet d'un détergent dans sa bouche. Il manque de rôter mais se retient. Quelques fumeurs, autour de lui, l'air vaporeux, le visage livide et creusé par la fatigue ou excentrique et brûlant, encore animé par le feu délirant des soirées du Hive, peuplent les trottoirs alentours, parfois même la route qui n'est plus empruntée que par quelques cavaliers noctambules, rares et fuyants. Quelques lumières crèvent encore l'opaque obscurité de Old Town qui, vieil homme, s'endort dans ses lourdes rides en piquant du nez dans ses étoiles mortes.

Parmi les forces en présence, perdus dans la nuit, cigarettes au bec, Kai voit une femme. Ou plutôt une forme. Ses yeux le trompent et elle lui semble indistincte. Elle s'approche de lui, ou plutôt d'un groupe dans lequel il s'est greffé, ou qui s'est greffé à lui pour profiter également de la bordure du mur afin d'y stocker tous leurs verres. Il garde bien un oeil sur le sien, de peur qu'un ivrogne volant ne se soulage dedans sans doute. Elle demande à ce qu'on lui prête un feu et Kai en profite pour tendre également sa cigarette. Un bras s'élève alors et d'une mèche flamme met la lumière sur les deux embouts. Il se recule et laisse alors les deux regards se croiser autour de ce feu qui se sépare entre eux. La lumière rouge révèle par interstices dans sa danse des aplats de visage qui se superposent dans la brume et la nuit pour finalement lui laisser une impression de déjà-vu.

Qui est-elle ? Il ne le sait. S'il la connait, se dit-il, c'est qu'elle a déjà été dans son lit, sans doute. Il se pare d'un sourire charmeur et se dit aussitôt que cette scène, digne d'un film romantique, ne peut assurément que se finir par une scène olé-olé dans une chambre d'hôtel.

« Bonsoir. Joli sourire. Je me demande bien s'il n'y a que ça de joli... » Clin d'oeil, clin d'oeil. Le deuxième était peut-être de trop, maintenant qu'il y pense. Allez va, il ne fait que multiplier par deux ses chances, après tout.
Eurydice Sutherland
Eurydice Sutherland
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Pire que dans mes souvenirs • Kai Empty Re: Pire que dans mes souvenirs • Kai

Ven 1 Nov - 0:21
Pire que dans mes souvenirs
[T.W : tabagisme, alcool]

Je danse mais je n'arrive pas à m'évader, à lâcher prise. Il y a ce petit quelque chose qui me dérange et sur lequel je n'arrive pas à mettre le doigt. Il fuit, s'échappe, s'évapore à chaque fois que je m'approche. Je ferme les yeux, tente de me concentrer sur la musique, les vibrations qu'elle cause dans tout mon corps, je me colle à un autre mais je ne peux m'empêcher de m'imaginer ce qu'il ressent, ce que les autres voient de nous et entendent. Ça me donne le tournis, encore plus que l'alcool que j'ai ingéré jusqu'à présent. C'est désagréable.

Alors je vais en chercher davantage, persuadée que ça m'aidera. Je sais ce que vous vous dites, ce n'est pas une bonne idée. Je le sais, je suis une grande fille et je fais ce choix en pleine conscience. Enfin... presque. Je tiens encore debout, je ne tangue pas, c'est que ça va. Et puis si je sors c'est pour arrêter de tout conscientiser, de réfléchir à tout tout le temps. Si je sors, c'est pour souffler, respirer, vider mon esprit et là, ça ne fonctionne pas. Vous ne trouvez pas ça injuste ? Avec tout le boulot que je fais ? Je ne crois pas, non.

Je commande des shots à cet Oscar, bien plus lourd que tout ce que j'ai avalé jusqu'à présent mais, heureusement, sa collègue prend le relais et me sert sans plus tarder. Je paie immédiatement après l'avoir remerciée et enquille les verres disposés face à moi. Ça y est, je me sens plus légère, j'ai l'impression de flotter, tout se confond, j'ai l'impression qu'on ne fait plus qu'un, la foule et moi, ça m'aide à ne pas m'imaginer des choses, à trop réfléchir. Ça me détend et je peux enfin m'amuser avec mes amis. Du moins, autant de temps que l'alcool me le permets parce que je finis par rapidement fatiguer. Je m'éclipse donc le temps d'une pause clope bien méritée. Oh je sais, c'est mauvais pour la santé. Mais cette soirée n'a rien de sain. Rien du tout.

L'air frais me fait du bien mais c'est d'un autre type d'air dont j'ai besoin et que je n'ai, bien entendu, pas emmené avec moi. Qu'est-ce que je peux être bête parfois. Je m'approche d'un groupe pour taxer une cigarette et, en plus, un feu, et ils sont bien gentils de m'en payer une. Je discute avec eux sans prêter attention à l'homme qui a profité du briquet en même temps que moi puisqu'il n'a pas dit grand chose. Mais quand les autres rentrent, il n'y a plus que lui et moi. Moi et lui, qui me regarde bizarrement. Je hausse un sourcil et tousse immédiatement en entendant sa phrase d'accroche. C'est encore pire avec les clins d'œil.

- "Joli sourire" ? Pitié.

Je souffle la fumée de ma clope sur le côté et le dévisage. Sa tête me dit quelque chose, sa voix aussi.

- Qui t'a appris ce genre de trucs ?

Sûrement un autre naze qui veut s'assurer qu'il ne choppera personne. Et puis je me perds dans ses yeux et quelque chose me frappe. Oh bah merde. Je me disais bien que je le connaissais.

- Non mais Kai, t'es sérieux ?

De nouveau une bouffée de nicotine. Un frisson me parcourt en me rendant compte que cet abruti vient d'essayer de me draguer.

- T'es tombé si bas que ça ? Bah putain. J'espère que tu trouves du pétrole, histoire d'au moins gagner un truc à faire autant pitié.
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